Alexandre Despatie se sent d'attaque
Amateurs mardi, 3 avr. 2012. 15:21 samedi, 14 déc. 2024. 08:40
MONTRÉAL - Alexandre Despatie se sent plus d'attaque que jamais et très serein à l'approche du dernier droit menant aux Jeux olympiques de Londres, qui seront ses quatrièmes.
Le plongeur, qui aura 27 ans en juin prochain, a connu toutes sortes d'ennuis de santé au cours des derniers mois, si bien qu'il a dû s'absenter des piscines pendant près d'un an avant de finalement revenir à la compétition à Londres, pour la Coupe du monde servant d'épreuve test en vue des Olympiques, en février dernier.
«Mes performances à Londres ont confirmé que tout allait bien, a-t-il confié au cours d'une conférence de presse visant à lancer la campagne «Un bon départ fait toute la différence», de concert avec Gillette.
«Évidemment, j'avais besoin d'une bonne performance à ce moment-là pour la qualification internationale. Alors je suis hyper content, car ça été un parcours très difficile. Avec les derniers mois, d'avoir pu offrir une performance de la sorte m'a rendu très fier.»
Despatie est alors monté sur la troisième marche du podium au 3 m, une performance qui lui a retiré un certain poids sur les épaules à l'approche des sélections nationales, qui auront lieu à Montréal, à la fin mai.
«Comme je suis déjà qualifié pour les Jeux, j'aborde ces essais très sereinement. À partir de ce moment-ci, en raison des blessures qui m'ont tenu à l'écart de la piscine, ce dont j'ai besoin, c'est d'un important volume d'entraînement, faire beaucoup de plongeons et retrouver un bon niveau de confiance et de la régularité dans mes plongeons», a indiqué Despatie, qui s'entraînera à raison de six fois par semaine d'ici aux JO.
«Même les autres compétitions serviront d'entraînement: on y travaillera sur les éléments techniques qu'on travaille habituellement à l'entraînement. Oui, ce seront des compétitions, mais il ne faudra pas perdre de vue l'objectif ultime, qui demeure Londres.»
Le triple champion du monde et double médaillé olympique en profitera pour ajouter au moins un plongeon à sa liste et à travailler sur sa constance, estimant que le plateau qui prendra part aux Jeux de Londres sera très relevé.
«En ce moment, ça prend des gros plongeons si on veut gagner, car les gars plongent bien et réussissent ces gros plongeons. Le sport a beaucoup changé depuis 2000; ça a même beaucoup changé depuis 2008. Ça continue d'évoluer pour le mieux et les gars sont hyper constants. C'est pour ça que c'est important de retrouver cette régularité.»
Pas de surprises
Pour sa part, l'entraîneur-chef national, Michel Larouche, ne croit pas que les essais nationaux offriront leur lot de surprises.
«Peut-être qu'il y en aura, mais j'aurai tendance à dire qu'il n'y en aura pas vraiment, a-t-il nuancé. Si on regarde l'historique des Championnats canadiens, c'est un peu toujours les mêmes qui terminent de premier à quatrième. Donc les quatre premiers ont des chances de se qualifier.
«Lorsqu'un plongeur fait partie des trois ou quatre meilleurs au pays, remporter les sélections ne constitue pas une surprise.»
Larouche n'a pas voulu mettre une pression indue sur les épaules de ses plongeurs en ne divulgant pas les objectifs que s'est fixés Plongeon Canada.
«On ne veut pas s'aventurer (et donner un chiffre), car on ne veut pas que ça parte en escalade et que ça crée une déception si on n'atteint pas cet objectif.»
Le plongeur, qui aura 27 ans en juin prochain, a connu toutes sortes d'ennuis de santé au cours des derniers mois, si bien qu'il a dû s'absenter des piscines pendant près d'un an avant de finalement revenir à la compétition à Londres, pour la Coupe du monde servant d'épreuve test en vue des Olympiques, en février dernier.
«Mes performances à Londres ont confirmé que tout allait bien, a-t-il confié au cours d'une conférence de presse visant à lancer la campagne «Un bon départ fait toute la différence», de concert avec Gillette.
«Évidemment, j'avais besoin d'une bonne performance à ce moment-là pour la qualification internationale. Alors je suis hyper content, car ça été un parcours très difficile. Avec les derniers mois, d'avoir pu offrir une performance de la sorte m'a rendu très fier.»
Despatie est alors monté sur la troisième marche du podium au 3 m, une performance qui lui a retiré un certain poids sur les épaules à l'approche des sélections nationales, qui auront lieu à Montréal, à la fin mai.
«Comme je suis déjà qualifié pour les Jeux, j'aborde ces essais très sereinement. À partir de ce moment-ci, en raison des blessures qui m'ont tenu à l'écart de la piscine, ce dont j'ai besoin, c'est d'un important volume d'entraînement, faire beaucoup de plongeons et retrouver un bon niveau de confiance et de la régularité dans mes plongeons», a indiqué Despatie, qui s'entraînera à raison de six fois par semaine d'ici aux JO.
«Même les autres compétitions serviront d'entraînement: on y travaillera sur les éléments techniques qu'on travaille habituellement à l'entraînement. Oui, ce seront des compétitions, mais il ne faudra pas perdre de vue l'objectif ultime, qui demeure Londres.»
Le triple champion du monde et double médaillé olympique en profitera pour ajouter au moins un plongeon à sa liste et à travailler sur sa constance, estimant que le plateau qui prendra part aux Jeux de Londres sera très relevé.
«En ce moment, ça prend des gros plongeons si on veut gagner, car les gars plongent bien et réussissent ces gros plongeons. Le sport a beaucoup changé depuis 2000; ça a même beaucoup changé depuis 2008. Ça continue d'évoluer pour le mieux et les gars sont hyper constants. C'est pour ça que c'est important de retrouver cette régularité.»
Pas de surprises
Pour sa part, l'entraîneur-chef national, Michel Larouche, ne croit pas que les essais nationaux offriront leur lot de surprises.
«Peut-être qu'il y en aura, mais j'aurai tendance à dire qu'il n'y en aura pas vraiment, a-t-il nuancé. Si on regarde l'historique des Championnats canadiens, c'est un peu toujours les mêmes qui terminent de premier à quatrième. Donc les quatre premiers ont des chances de se qualifier.
«Lorsqu'un plongeur fait partie des trois ou quatre meilleurs au pays, remporter les sélections ne constitue pas une surprise.»
Larouche n'a pas voulu mettre une pression indue sur les épaules de ses plongeurs en ne divulgant pas les objectifs que s'est fixés Plongeon Canada.
«On ne veut pas s'aventurer (et donner un chiffre), car on ne veut pas que ça parte en escalade et que ça crée une déception si on n'atteint pas cet objectif.»