AMA: Le président blâme aussi la G.-B.
Amateurs mercredi, 2 mai 2012. 12:27 mercredi, 11 déc. 2024. 13:23
MELBOURNE, Australie - L'Association olympique britannique (BOA) a été «témoin» de son échec dans sa tentative de maintenir les suspensions à vie aux athlètes reconnus coupables de dopage sportif, a déclaré le président de l'Agence mondiale antidopage (AMA) John Fahey mercredi.
Fahey a réfuté les allégations de la BOA qui stipulent que le code de l'AMA doit être réformé à la suite de la décision du Tribunal arbitral du sport (TAS) de renverser une sanction à vie.
S'il s'attend à ce que le résultat de la réforme actuelle de l'AMA entraîne une augmentation de la suspension de deux ans pour une première infraction, Fahey estime que la proposition de la BOA de bannir les athlètes fautifs pour quatre ans incluant les JO suivants ne tiendrait pas la route en cour.
Le TAS a déterminé lundi que le règlement de la BOA était invalide et qu'il contrevenait au code global de l'AMA. Le TAS a précisé qu'une suspension à vie représentait une sanction supplémentaire pour la même infraction.
Cette décision a permis au sprinter britannique Dwain Chambers et au cycliste David Millar, qui ont écopé d'une suspension de deux ans chacun, d'être admissibles pour les Jeux de Londres.
Fahey a réfuté les allégations de la BOA qui stipulent que le code de l'AMA doit être réformé à la suite de la décision du Tribunal arbitral du sport (TAS) de renverser une sanction à vie.
S'il s'attend à ce que le résultat de la réforme actuelle de l'AMA entraîne une augmentation de la suspension de deux ans pour une première infraction, Fahey estime que la proposition de la BOA de bannir les athlètes fautifs pour quatre ans incluant les JO suivants ne tiendrait pas la route en cour.
Le TAS a déterminé lundi que le règlement de la BOA était invalide et qu'il contrevenait au code global de l'AMA. Le TAS a précisé qu'une suspension à vie représentait une sanction supplémentaire pour la même infraction.
Cette décision a permis au sprinter britannique Dwain Chambers et au cycliste David Millar, qui ont écopé d'une suspension de deux ans chacun, d'être admissibles pour les Jeux de Londres.