D'autres records tombent
Amateurs jeudi, 27 mars 2008. 10:04 mercredi, 11 déc. 2024. 04:33
SYDNEY, Australie - L'Australien Eamon Sullivan a amélioré le record du 50 mètres libre une nouvelle fois en 21,41 secondes, jeudi, pendant que sa coéquipière Libby Trickett faisait de même au 100 mètres libre.
C'est la troisième fois au cours des six dernières semaines que le record du 50 mètres chez les hommes est abaissé, alors que Alexander Popov l'a détenu pendant presque huit ans.
Sullivan, participant aux demi-finales du 50 mètres dans le cadre des sélections australiennes au Centre aquatique international de Sydney, a amélioré le record du monde de 21,50 secondes réussi par le Français Alain Bernard aux championnats européens le week-end dernier à Eindhoven, au Pays-Bas.
Bernard avait lui-même amélioré la précédente marque de Sullivan, de 21,56, établie le 17 février dans le cadre de l'omnium de la Nouvelle Galles du Sud dans la même piscine. Popov avait fixé le record du monde à 21,64 à Moscou, le 16 juin 2000.
Sullivan était motivé après avoir raté par seulement deux centièmes de seconde le record du monde du 100 m libre de Bernard, mercredi.
"C'est agréable de reprendre le record à Alain après avoir frôlé celui du 100 mètres la veille, a-t-il confié. Je me sentais en grande forme pendant l'échauffement et j'ai très bien nagé."
Sullivan, âgé de 22 ans, s'est dit confiant d'être capable d'améliorer encore son record en finale, vendredi.
"J'espère pouvoir aller plus vite en finale, et reprendre encore quelques centièmes de seconde."
C'était la deuxième fois que Trickett, anciennement Lenton, abaissait la barrière des 53 secondes, mais son précédent chrono de 52,99 lors d'un duel dans la piscine de Sydney n'avait pas été homologué par la FINA parce qu'elle avait nagé contre l'Américain Michael Phelps.
"Je tenais tellement à réaliser ce record, a dit Trickett. Surtout depuis ce duel l'année dernière. Je le voulais tellement que je n'en reviens pas maintenant que je l'ai réussi."
Trickett a détrôné l'Allemande Britta Steffen qui détenait le temps de référence en 53,30 depuis le 2 août 2006 à Budapest. La championne australienne, quintuple médaillée d'or aux Mondiaux de Melbourne, prouve qu'elle est bien la reine sur les distances courtes.
C'est la troisième fois au cours des six dernières semaines que le record du 50 mètres chez les hommes est abaissé, alors que Alexander Popov l'a détenu pendant presque huit ans.
Sullivan, participant aux demi-finales du 50 mètres dans le cadre des sélections australiennes au Centre aquatique international de Sydney, a amélioré le record du monde de 21,50 secondes réussi par le Français Alain Bernard aux championnats européens le week-end dernier à Eindhoven, au Pays-Bas.
Bernard avait lui-même amélioré la précédente marque de Sullivan, de 21,56, établie le 17 février dans le cadre de l'omnium de la Nouvelle Galles du Sud dans la même piscine. Popov avait fixé le record du monde à 21,64 à Moscou, le 16 juin 2000.
Sullivan était motivé après avoir raté par seulement deux centièmes de seconde le record du monde du 100 m libre de Bernard, mercredi.
"C'est agréable de reprendre le record à Alain après avoir frôlé celui du 100 mètres la veille, a-t-il confié. Je me sentais en grande forme pendant l'échauffement et j'ai très bien nagé."
Sullivan, âgé de 22 ans, s'est dit confiant d'être capable d'améliorer encore son record en finale, vendredi.
"J'espère pouvoir aller plus vite en finale, et reprendre encore quelques centièmes de seconde."
C'était la deuxième fois que Trickett, anciennement Lenton, abaissait la barrière des 53 secondes, mais son précédent chrono de 52,99 lors d'un duel dans la piscine de Sydney n'avait pas été homologué par la FINA parce qu'elle avait nagé contre l'Américain Michael Phelps.
"Je tenais tellement à réaliser ce record, a dit Trickett. Surtout depuis ce duel l'année dernière. Je le voulais tellement que je n'en reviens pas maintenant que je l'ai réussi."
Trickett a détrôné l'Allemande Britta Steffen qui détenait le temps de référence en 53,30 depuis le 2 août 2006 à Budapest. La championne australienne, quintuple médaillée d'or aux Mondiaux de Melbourne, prouve qu'elle est bien la reine sur les distances courtes.