Étienne Lalonde Turbide éliminé à Séoul
Amateurs vendredi, 18 mai 2012. 10:26 mercredi, 11 déc. 2024. 18:33
Montréal - Le fleurettiste Étienne Lalonde Turbide n'est pas parvenu à se tailler une place dans le tableau des 64, vendredi, à la Coupe du monde d'escrime de Séoul, en Corée du Sud. Après avoir fait une victoire et quatre défaites en poule, le Montréalais a été éliminé par le Britannique Husayn Rosowsky.
« Ç'a été une journée bizarre », a convenu l'athlète de 23 ans. Sur la piste pour son premier affrontement des poules, Lalonde Turbide devait se mesurer à un escrimeur coréen. « Finalement je n'ai pas tiré tout de suite, car le directeur technique a transféré mon adversaire dans une autre poule. J'ai dû attendre sept matchs avant de tirer et finalement je n'avais que cinq matchs au lieu de six. »
Faisant face à de rudes opposants, le Québécois sentait également que cette attente non-prévue lui avait fait perdre son momentum. « Ça m'a beaucoup déstabilisé et j'avais des adversaires forts en face. En plus, je crois que j'aurais facilement battu le Coréen auquel je devais me mesurer, ce qui m'aurait permis d'ajouter une victoire à ma fiche », a déploré le 43e fleurettiste au monde.
Son dossier d'une victoire et quatre défaites lui a tout de même permis d'accéder au tableau éliminatoire. Opposé à Rosowsky, classé au 86e rang mondial, Lalonde Turbide a baissé pavillon par le pointage de 15-8. « J'ai réalisé, que oui, ce qui s'était passé en poule m'avait déstabilisé, mais aussi que je m'entraînais mal dernièrement à Montréal », a raconté l'escrimeur.
« Ces derniers temps, à l'entraînement, je fais des choses qui ne sont pas justes dans le temps ou dans la distance de l'action, mais comme je n'ai pas vraiment d'adversaires de niveau, je touche quand même. Je n'ai pas su différencier ce qui était juste et ce qui ne l'était pas », a expliqué Lalonde Turbide.
Dès son retour à Montréal, prévu pour dimanche, il poursuivra l'entraînement pour corriger la situation. Il passera ensuite du temps en Italie auprès de son entraîneur, le réputé maître d'armes Giulio Tomassini, avec lequel il pourra continuer le travail avant son prochain tournoi, le Grand Prix de Russie, disputé à Saint-Pétersbourg, les 1er et 2 juin.
« Ç'a été une journée bizarre », a convenu l'athlète de 23 ans. Sur la piste pour son premier affrontement des poules, Lalonde Turbide devait se mesurer à un escrimeur coréen. « Finalement je n'ai pas tiré tout de suite, car le directeur technique a transféré mon adversaire dans une autre poule. J'ai dû attendre sept matchs avant de tirer et finalement je n'avais que cinq matchs au lieu de six. »
Faisant face à de rudes opposants, le Québécois sentait également que cette attente non-prévue lui avait fait perdre son momentum. « Ça m'a beaucoup déstabilisé et j'avais des adversaires forts en face. En plus, je crois que j'aurais facilement battu le Coréen auquel je devais me mesurer, ce qui m'aurait permis d'ajouter une victoire à ma fiche », a déploré le 43e fleurettiste au monde.
Son dossier d'une victoire et quatre défaites lui a tout de même permis d'accéder au tableau éliminatoire. Opposé à Rosowsky, classé au 86e rang mondial, Lalonde Turbide a baissé pavillon par le pointage de 15-8. « J'ai réalisé, que oui, ce qui s'était passé en poule m'avait déstabilisé, mais aussi que je m'entraînais mal dernièrement à Montréal », a raconté l'escrimeur.
« Ces derniers temps, à l'entraînement, je fais des choses qui ne sont pas justes dans le temps ou dans la distance de l'action, mais comme je n'ai pas vraiment d'adversaires de niveau, je touche quand même. Je n'ai pas su différencier ce qui était juste et ce qui ne l'était pas », a expliqué Lalonde Turbide.
Dès son retour à Montréal, prévu pour dimanche, il poursuivra l'entraînement pour corriger la situation. Il passera ensuite du temps en Italie auprès de son entraîneur, le réputé maître d'armes Giulio Tomassini, avec lequel il pourra continuer le travail avant son prochain tournoi, le Grand Prix de Russie, disputé à Saint-Pétersbourg, les 1er et 2 juin.