Gatlin répète son innoncence
Amateurs samedi, 26 août 2006. 18:42 mercredi, 11 déc. 2024. 06:05
LOS ANGELES (AFP) - Le champion olympique et du monde du 100 m, l'Américain Justin Gatlin, qui risque une suspension de 8 ans après un contrôle antidopage positif a affirmé n'avoir "jamais pris de substances interdites en toute connaissance de cause".
Dans un communiqué diffusé vendredi par son agent, Gatlin réaffirme que "tricher sous n'importe quelle forme est complètement contraire à ce que je suis comme athlète et comme personne".
Il a aussi répété qu'il se battrait contre l'Agence américaine antidopage (USADA) en cas de suspension de huit ans pour le contrôle positif à la testostérone dont il a été l'objet en avril dernier.
"Contrairement à ce qui a été dit, je n'ai pas accepté de sanctions. Et je m'attends même à ce que les procédures se terminent favorablement", a ajouté le co-détenteur du record du monde, qui pourrait perdre sa marque (9.77) en cas de condamnation.
Ce communiqué vient aussi en écho à une information annonçant que la firme américaine Nike mettait fin au contrat de Gatlin et de son entraîneur Trevor Graham, dont les instances dirigeantes cherchent à établir le degré de responsabilité dans ce cas et dans d'autres cas positifs.
Consulté par le New York Times, Dean Stoyer, le porte-parole de Nike, a simplement expliqué qu'il ne pouvait "divulguer les détails" indiquant que Nike avait "mis fin au contrat" de Graham.
Le technicien jamaïcain s'est élevé contre cette décision par l'intermédiaire de son avocat Joseph Zeszortarski.
"Il n'y a absolument aucune base légale à ce que Nike mette fin au contrat de Trevor sur des suspicions et des +on-dit+. Nous avons contacté Nike à ce sujet et attendons une réponse, a expliqué Zeszortarski au New York Times. Nous espérons que nous n'aurons pas à entreprendre des démarches légales mais s'il faut le faire, nous le ferons."
Gatlin, qui vient de subir le deuxième contrôle positif dans sa carrière, encourt théoriquement une suspension à vie, qui peut cependant être réduite dans certains cas, notamment s'il accepte de collaborer avec la justice.
Dans un communiqué diffusé vendredi par son agent, Gatlin réaffirme que "tricher sous n'importe quelle forme est complètement contraire à ce que je suis comme athlète et comme personne".
Il a aussi répété qu'il se battrait contre l'Agence américaine antidopage (USADA) en cas de suspension de huit ans pour le contrôle positif à la testostérone dont il a été l'objet en avril dernier.
"Contrairement à ce qui a été dit, je n'ai pas accepté de sanctions. Et je m'attends même à ce que les procédures se terminent favorablement", a ajouté le co-détenteur du record du monde, qui pourrait perdre sa marque (9.77) en cas de condamnation.
Ce communiqué vient aussi en écho à une information annonçant que la firme américaine Nike mettait fin au contrat de Gatlin et de son entraîneur Trevor Graham, dont les instances dirigeantes cherchent à établir le degré de responsabilité dans ce cas et dans d'autres cas positifs.
Consulté par le New York Times, Dean Stoyer, le porte-parole de Nike, a simplement expliqué qu'il ne pouvait "divulguer les détails" indiquant que Nike avait "mis fin au contrat" de Graham.
Le technicien jamaïcain s'est élevé contre cette décision par l'intermédiaire de son avocat Joseph Zeszortarski.
"Il n'y a absolument aucune base légale à ce que Nike mette fin au contrat de Trevor sur des suspicions et des +on-dit+. Nous avons contacté Nike à ce sujet et attendons une réponse, a expliqué Zeszortarski au New York Times. Nous espérons que nous n'aurons pas à entreprendre des démarches légales mais s'il faut le faire, nous le ferons."
Gatlin, qui vient de subir le deuxième contrôle positif dans sa carrière, encourt théoriquement une suspension à vie, qui peut cependant être réduite dans certains cas, notamment s'il accepte de collaborer avec la justice.