Iakovou relevé de ses fonctions
Amateurs vendredi, 4 avr. 2008. 10:04 vendredi, 13 déc. 2024. 16:00
ATHENES - L'entraîneur de l'équipe grecque d'haltérophilie, Christos Iakovou, a été suspendu de ses fonctions vendredi à la suite d'un contrôle antidopage positif de onze de ses athlètes, a annoncé la Fédération.
Onze haltérophiles -cinq hommes et six femmes, dont les noms n'ont pas été publiés- ont été testés positifs au cours d'un contrôle inopiné diligenté par l'Agence mondiale antidopage (AMA) et effectué le 7 mars à Athènes, a indiqué un communiqué de la Fédération.
Dans l'attente des résultats de l'analyse sur les échantillons B des athlètes mis en cause requise par la Fédération, Christos Iakovou a présenté sa démission et a été suspendu par le Conseil d'administration de la Fédération.
"De nouveaux tests ont été requis pour les échantillons B et une commission d'enquête sera formée ultérieurement", a précisé la Fédération. "En attendant que cette affaire soit clarifiée, Mr Iakovou a été suspendu."
Le contrôle inopiné avait été pratiqué alors que l'équipe grecque s'entraînait à Athènes dans le cadre de sa préparation pour les Championnats d'Europe en Italie, du 11 au 20 avril.
"Si les premiers résultats (des tests) étaient confirmés, cela ouvrirait une page noire dans l'histoire, pavée d'or, de l'haltérophilie grecque", a jugé le secrétaire général de la Fédération internationale (IWF), Yiannis Sgouros, ancien dirigeant de la Fédération grecque pendant près de vingt ans. "Mais cela ne saurait ternir les performances qui ont fait la gloire de l'haltérophilie grecque ces dernières années."
L'haltérophilie est l'une des disciplines-phares du sport grec, qui lui a notamment rapporté 18 médailles olympiques dont 8 d'or.
Le soupçon plane sur les performances grecques depuis les Jeux d'Athènes en 2004 quand l'une des vedettes de l'équipe, Leonidas Sampanis, avait été sanctionné par le Comité international olympique (CIO) pour s'être dopé à la testostérone et avait perdu sa médaille de bronze des moins de 62 kg.
Cette nouvelle affaire pourrait, de fait, compromettre les chances de la Grèce de participer aux épreuves d'haltérophilie des Jeux de Pékin, a indiqué à l'AFP un représentant de la Fédération, les règlements prévoyant une telle interdiction si plus de deux des représentants grecs devaient être suspendus. "Si les contrôles sont confirmés, la Fédération grecque sera pénalisée et personne n'ira à Pékin", a dit ce responsable.
Onze haltérophiles -cinq hommes et six femmes, dont les noms n'ont pas été publiés- ont été testés positifs au cours d'un contrôle inopiné diligenté par l'Agence mondiale antidopage (AMA) et effectué le 7 mars à Athènes, a indiqué un communiqué de la Fédération.
Dans l'attente des résultats de l'analyse sur les échantillons B des athlètes mis en cause requise par la Fédération, Christos Iakovou a présenté sa démission et a été suspendu par le Conseil d'administration de la Fédération.
"De nouveaux tests ont été requis pour les échantillons B et une commission d'enquête sera formée ultérieurement", a précisé la Fédération. "En attendant que cette affaire soit clarifiée, Mr Iakovou a été suspendu."
Le contrôle inopiné avait été pratiqué alors que l'équipe grecque s'entraînait à Athènes dans le cadre de sa préparation pour les Championnats d'Europe en Italie, du 11 au 20 avril.
"Si les premiers résultats (des tests) étaient confirmés, cela ouvrirait une page noire dans l'histoire, pavée d'or, de l'haltérophilie grecque", a jugé le secrétaire général de la Fédération internationale (IWF), Yiannis Sgouros, ancien dirigeant de la Fédération grecque pendant près de vingt ans. "Mais cela ne saurait ternir les performances qui ont fait la gloire de l'haltérophilie grecque ces dernières années."
L'haltérophilie est l'une des disciplines-phares du sport grec, qui lui a notamment rapporté 18 médailles olympiques dont 8 d'or.
Le soupçon plane sur les performances grecques depuis les Jeux d'Athènes en 2004 quand l'une des vedettes de l'équipe, Leonidas Sampanis, avait été sanctionné par le Comité international olympique (CIO) pour s'être dopé à la testostérone et avait perdu sa médaille de bronze des moins de 62 kg.
Cette nouvelle affaire pourrait, de fait, compromettre les chances de la Grèce de participer aux épreuves d'haltérophilie des Jeux de Pékin, a indiqué à l'AFP un représentant de la Fédération, les règlements prévoyant une telle interdiction si plus de deux des représentants grecs devaient être suspendus. "Si les contrôles sont confirmés, la Fédération grecque sera pénalisée et personne n'ira à Pékin", a dit ce responsable.