L'ex-entraîneur de B. Johnson est mort
Amateurs mercredi, 12 mai 2010. 17:18 vendredi, 13 déc. 2024. 16:30
TORONTO - Le co-architecte d'un des plus grands scandales de l'histoire de l'olympisme est décédé, mercredi.
Il s'agit de Charlie Francis, l'entraîneur du sprinter canadien Ben Johnson qui a été le premier athlète à se voir retirer sa médaille d'or olympique pour utilisation de stéroïdes anabolisants.
Francis, âgé de 61 ans, a rendu l'âme à l'hôpital Sunnybrook de Toronto après avoir combattu le cancer pendant cinq ans, selon un communiqué émis par la famille.
Johnson a échoué un test antidopage pour utilisation de stanozolol après avoir remporté le 100 mètres des Jeux de Séoul en 1988.
Athlétisme Canada a banni Francis à vie dans la foulée du scandale, après qu'il eut admis en 1989 avoir incité Johnson à prendre des stéroides. Johnson était âgé de 15 ans quand Francis a commencé à le diriger au sein du club d'athlétisme de Scarborough.
Au cours de l'enquête, présidée par Charles Dubin, Francis a confié que l'utilisation des produits dopants était monnaie courante à l'époque.
Francis lui-même a été champion canadien de sprint au début des années 1970, atteignant le deuxième tour de la compétition olympique aux Jeux de Munich en 1972.
Après avoir été banni par le Canada, Francis a travaillé en compagnie des sprinters américains Tim Montgomery et Marion Jones en 2003.
Francis laisse dans le deuil son épouse Angela et son fils James. Les détails de la cérémonie funèbre ne sont pas connus.
Il s'agit de Charlie Francis, l'entraîneur du sprinter canadien Ben Johnson qui a été le premier athlète à se voir retirer sa médaille d'or olympique pour utilisation de stéroïdes anabolisants.
Francis, âgé de 61 ans, a rendu l'âme à l'hôpital Sunnybrook de Toronto après avoir combattu le cancer pendant cinq ans, selon un communiqué émis par la famille.
Johnson a échoué un test antidopage pour utilisation de stanozolol après avoir remporté le 100 mètres des Jeux de Séoul en 1988.
Athlétisme Canada a banni Francis à vie dans la foulée du scandale, après qu'il eut admis en 1989 avoir incité Johnson à prendre des stéroides. Johnson était âgé de 15 ans quand Francis a commencé à le diriger au sein du club d'athlétisme de Scarborough.
Au cours de l'enquête, présidée par Charles Dubin, Francis a confié que l'utilisation des produits dopants était monnaie courante à l'époque.
Francis lui-même a été champion canadien de sprint au début des années 1970, atteignant le deuxième tour de la compétition olympique aux Jeux de Munich en 1972.
Après avoir été banni par le Canada, Francis a travaillé en compagnie des sprinters américains Tim Montgomery et Marion Jones en 2003.
Francis laisse dans le deuil son épouse Angela et son fils James. Les détails de la cérémonie funèbre ne sont pas connus.