Le bronze à un nouveau duo de synchro
Amateurs vendredi, 30 nov. 2012. 21:33 vendredi, 13 déc. 2024. 09:58
Montréal - Le duo canadien formé par Stéphanie Leclair et Karine Thomas a remporté la médaille de bronze lors du Trophée mondial, une compétition de nage synchronisée présentée à Tultitlan, au Mexique, vendredi.
À noter que les performances au Trophée mondial sont strictement évaluées d'un point de vue artistique et que le panel des juges est composé d'officiels de la FINA et de célébrités n'ayant pour la plupart jamais vu une compétition de nage synchronisée auparavant. Des accessoires sont également permis lors des routines.
Participant à leur première compétition en duo depuis des années, Stéphanie Leclair et Karine Thomas, toutes deux originaires de Gatineau, ont terminé troisièmes avec un pointage de 93,463, derrière les Chinoises (95,125) et les Ukrainiennes (93,888).
« On s'entraîne ensemble depuis seulement un mois et on est vraiment très contentes de notre résultat. On a encore beaucoup à apprendre de filles comme Marie-Pierre Boudreau-Gagnon et Élise Marcotte, qui étaient là avant nous, mais on va écouter nos entraîneures et suivre leur plan pour devenir encore meilleures », a déclaré Leclair.
Sachant que les juges observaient principalement les éléments artistiques de leur routine, les deux nageuses ont choisi de pousser la thématique du jaguar à fond pour obtenir un maximum de points.
« On portait des costumes et des maquillages de jaguars, on se pavanait comme eux et on avait une bûche de bois pour avoir l'air dans la forêt ou dans la jungle. Les gens ont été impressionnés par nos costumes. »
Épreuve par équipe
Après l'épreuve acrobatique, l'équipe canadienne pointait en quatrième position, avec 92, 400 points. Le trio de tête était composé de la Chine (95, 788), du Japon (95,238) et de l'Ukraine (94,925).
« La moitié des juges sont des célébrités, alors si on tient compte seulement des notes des juges de la FINA, nous serions au troisième rang », précise Isabelle Lecompte, coordonnatrice au Centre d'excellence.
Nageant aux côtés de Geneviève Bélanger, Camille Bowness, Gabrielle Cardinal, Annabelle Frappier, Rachel Fréchette, Sandy Gill, Emilia Kopcik, Lisa Mikelberg, Marie-Lou Morin et Karine Thomas, Stéphanie Leclair tente elle aussi une explication.
«On a été les premières à passer et les juges étaient peut-être rouillés après une longue période sans compétitions. Du côté des célébrités, c'était sûrement la première fois de leur vie qu'elles voyaient de la nage synchronisée. Ça a peut-être joué sur le résultat. Mais on apprécie être ici et on va apprendre de nos erreurs. »
À son avis, l'équipe canadienne a également été désavantagée en utilisant moins d'accessoires que certains adversaires.
« Comme on avait choisi la thématique des araignées, on a débuté la routine en levant de grosses toiles dans les airs. Les gens ont tout de suite crié dans la foule. C'était bien parti. Pendant le reste du numéro, on lançait des araignées et des toiles, mais on n'utilisait jamais autant d'accessoires que les autres pays. Par exemple, les Japonaises grimpaient sur des trucs flottants. Ce n'est pas très difficile, mais ça crée un bel effet quand même. On ne pensait pas que les autres pousseraient autant de ce côté-là. Nos éléments acrobatiques sortaient vraiment de l'ordinaire, mais les célébrités ne savent pas nécessairement à quel point c'est plus difficile. »
La suite de la compétition par équipe aura lieu samedi.
À noter que les performances au Trophée mondial sont strictement évaluées d'un point de vue artistique et que le panel des juges est composé d'officiels de la FINA et de célébrités n'ayant pour la plupart jamais vu une compétition de nage synchronisée auparavant. Des accessoires sont également permis lors des routines.
Participant à leur première compétition en duo depuis des années, Stéphanie Leclair et Karine Thomas, toutes deux originaires de Gatineau, ont terminé troisièmes avec un pointage de 93,463, derrière les Chinoises (95,125) et les Ukrainiennes (93,888).
« On s'entraîne ensemble depuis seulement un mois et on est vraiment très contentes de notre résultat. On a encore beaucoup à apprendre de filles comme Marie-Pierre Boudreau-Gagnon et Élise Marcotte, qui étaient là avant nous, mais on va écouter nos entraîneures et suivre leur plan pour devenir encore meilleures », a déclaré Leclair.
Sachant que les juges observaient principalement les éléments artistiques de leur routine, les deux nageuses ont choisi de pousser la thématique du jaguar à fond pour obtenir un maximum de points.
« On portait des costumes et des maquillages de jaguars, on se pavanait comme eux et on avait une bûche de bois pour avoir l'air dans la forêt ou dans la jungle. Les gens ont été impressionnés par nos costumes. »
Épreuve par équipe
Après l'épreuve acrobatique, l'équipe canadienne pointait en quatrième position, avec 92, 400 points. Le trio de tête était composé de la Chine (95, 788), du Japon (95,238) et de l'Ukraine (94,925).
« La moitié des juges sont des célébrités, alors si on tient compte seulement des notes des juges de la FINA, nous serions au troisième rang », précise Isabelle Lecompte, coordonnatrice au Centre d'excellence.
Nageant aux côtés de Geneviève Bélanger, Camille Bowness, Gabrielle Cardinal, Annabelle Frappier, Rachel Fréchette, Sandy Gill, Emilia Kopcik, Lisa Mikelberg, Marie-Lou Morin et Karine Thomas, Stéphanie Leclair tente elle aussi une explication.
«On a été les premières à passer et les juges étaient peut-être rouillés après une longue période sans compétitions. Du côté des célébrités, c'était sûrement la première fois de leur vie qu'elles voyaient de la nage synchronisée. Ça a peut-être joué sur le résultat. Mais on apprécie être ici et on va apprendre de nos erreurs. »
À son avis, l'équipe canadienne a également été désavantagée en utilisant moins d'accessoires que certains adversaires.
« Comme on avait choisi la thématique des araignées, on a débuté la routine en levant de grosses toiles dans les airs. Les gens ont tout de suite crié dans la foule. C'était bien parti. Pendant le reste du numéro, on lançait des araignées et des toiles, mais on n'utilisait jamais autant d'accessoires que les autres pays. Par exemple, les Japonaises grimpaient sur des trucs flottants. Ce n'est pas très difficile, mais ça crée un bel effet quand même. On ne pensait pas que les autres pousseraient autant de ce côté-là. Nos éléments acrobatiques sortaient vraiment de l'ordinaire, mais les célébrités ne savent pas nécessairement à quel point c'est plus difficile. »
La suite de la compétition par équipe aura lieu samedi.