Marion Jones choquée
Amateurs lundi, 21 août 2006. 23:48 samedi, 14 déc. 2024. 05:03
WASHINGTON (AFP) - L'ancienne championne olympique Marion Jones a déclaré lundi qu'elle était "choquée" par les informations de presse annonçant qu'elle était positive à un contrôle antidopage lors des Championnats des Etats-Unis en juin.
La déclaration, diffusée par son avocat Howard Jacobs, constitue la première réaction de la sprinteuse américaine depuis que les médias américains ont rapporté vendredi que l'athlète de 30 ans avait été testée positive au test de l'EPO (érythropoïétine).
"J'ai été choquée quand j'ai été informée du résultat positif pour l'échantillon A", a déclaré Marion Jones.
"J'ai demandé que le test de mon échantillon B soit expédié et réalisé le plus tôt possible", a-t-elle ajouté.
"Je voudrais aussi noter que seuls mes avocats ont l'autorité de parler en mon nom sur ce sujet et je ne ferai aucun commentaire avant que les résultats de l'échantillon B soient publiés", a déclaré la sprinteuse.
Le délai normal pour l'analyse de l'échantillon B est de deux semaines après celle de l'échantillon A, ce qui mènerait à début septembre.
Selon la presse américaine, Marion Jones a donné un échantillon de son urine après le premier tour du 100 m dames des Championnats des Etats-Unis, le 23 juin, et il a fallu deux mois pour obtenir les résultats complets de l'analyse.
S'il était confirmé, ce contrôle positif conduirait à la suspension automatique pour deux ans de la sprinteuse, ainsi que la perte de toutes ses performances depuis le contrôle fin juin.
Steve Riddick, l'entraîneur de l'athlète américaine, a réfuté samedi les accusations de dopage à l'EPO lancées par la presse américaine à son encontre.
"Il est virtuellement impossible que Marion Jones prenne de l'EPO et courre aux Championnats des Etats-Unis. Pour moi, cela n'a simplement aucun sens", a-t-il déclaré.
La déclaration, diffusée par son avocat Howard Jacobs, constitue la première réaction de la sprinteuse américaine depuis que les médias américains ont rapporté vendredi que l'athlète de 30 ans avait été testée positive au test de l'EPO (érythropoïétine).
"J'ai été choquée quand j'ai été informée du résultat positif pour l'échantillon A", a déclaré Marion Jones.
"J'ai demandé que le test de mon échantillon B soit expédié et réalisé le plus tôt possible", a-t-elle ajouté.
"Je voudrais aussi noter que seuls mes avocats ont l'autorité de parler en mon nom sur ce sujet et je ne ferai aucun commentaire avant que les résultats de l'échantillon B soient publiés", a déclaré la sprinteuse.
Le délai normal pour l'analyse de l'échantillon B est de deux semaines après celle de l'échantillon A, ce qui mènerait à début septembre.
Selon la presse américaine, Marion Jones a donné un échantillon de son urine après le premier tour du 100 m dames des Championnats des Etats-Unis, le 23 juin, et il a fallu deux mois pour obtenir les résultats complets de l'analyse.
S'il était confirmé, ce contrôle positif conduirait à la suspension automatique pour deux ans de la sprinteuse, ainsi que la perte de toutes ses performances depuis le contrôle fin juin.
Steve Riddick, l'entraîneur de l'athlète américaine, a réfuté samedi les accusations de dopage à l'EPO lancées par la presse américaine à son encontre.
"Il est virtuellement impossible que Marion Jones prenne de l'EPO et courre aux Championnats des Etats-Unis. Pour moi, cela n'a simplement aucun sens", a-t-il déclaré.