S'il le pouvait, Ladouceur prendrait part à ses propres Jeux!
Amateurs mercredi, 2 mars 2005. 17:44 samedi, 14 déc. 2024. 09:58
ST-HYACINTHE (PC) - Il n'y a aucune fontaine de jouvence à la 40e finale des Jeux du Québec à St-Hyacinthe et il n'y a aucune machine à remonter le temps au village des athlètes mais ça déborde d'enthousiasme et personne n'y échappe.
A vrai dire, c'est contagieux et le directeur général des Jeux, Jean-Claude Ladouceur, a été atteint comme tout le monde.
"Prendre part aux Jeux en tant qu'athlète, c'est la seule chose que je n'ai jamais faite. J'aimerais ça", a-t-il confié en esquissant un sourire, mercredi.
Ladouceur en est à ses 15e Jeux. Il a déjà été entraîneur, responsable d'un sport et chef de mission. Il était aussi le directeur adjoint des Jeux de Granby, en 1995. Sa première participation remonte aux Jeux remonte à Hull en 1981 alors qu'il était entraîneur en athlétisme et accompagnateur.
"Jusqu'à présent, tout se déroule comme je le pensais et même un peu mieux, a-t-il estimé. J'avais beaucoup d'expérience aux Jeux et nous étions bien préparés mais on ne sait jamais tant que le jour J n'est pas arrivé. C'est bien au-delà de mes espérances.
"Hier (mardi) par exemple, c'était le changement de blocs. C'était une journée chargée et il y avait une tempête. Il y a eu des retards et des modifications mais chaque fois que j'appelais quelqu'un, j'avais une réponse positive.
"L'expérience, c'est important, mais il faut aussi être entouré par les bonnes personnes."
Deux délégations, l'Est du Québec et la Côte Nord, ont quitté mercredi plutôt que mardi après avoir passé la nuit à St-Hyacinthe, l'une dans son centre d'hébergement au Collège St-Maurice et l'autre, à l'école René St-Pierre, qui avait été mise en disponibilité en cas de besoin.
Travail d'équipe
Ladouceur note, entre autres, qu'il y a "une belle complicité" avec Jean Bédard, le président du comité organisateur, qui est président des Restaurants Sports Scene Inc. De plus, la bonne entente règne dans l'organisation. Les réunions avec les chefs de service se déroulent dans la bonne humeur. Il n'y a eu que de "petits ajustements à faire" depuis l'ouverture des Jeux.
"Le transport, l'hébergement, la sécurité, tout s'est bien déroulé lors du premier bloc. Il n'y a eu que de petites choses - on manquait d'eau et de jus au Salon des bénévoles, par exemple. Ce sont des choses qui ont été corrigées lors du premier et du deuxième jour.
"C'est l'accomplissement d'un travail d'équipe et quand je me rends sur les sites de compétition, je suis satisfait de voir le beau travail qui a été fait. Je dis mission accomplie sans aucune gêne et avec fierté. C'est l'accomplissement de tout le monde."
Environ 2500 bénévoles contribuent au succès de la finale de St-Hyacinthe qui regroupe 20 disciplines, incluant deux sports en démonstration. Il y a aussi de bonnes assistances et beaucoup d'atmosphère sur les sites de compétition.
"Les Jeux, c'est différent d'un championnat provincial, a signalé Ladouceur. Il y a des caméras sur les sites, des décorations, des drapeaux. C'est ce qui fait que c'est marquant pour un jeune.
"Les Jeux, a-t-il poursuivi, c'est aussi un bel objectif pour les jeunes et c'est très atteignable. C'est accessible et le programme des Jeux du Québec est très bien fait."
Contrairement aux "Ontario Games", note Ladouceur, les Jeux du Québec regroupent les jeunes par région au Québec et c'est un atout. En Ontario, ce sont des "championnats provinciaux qui ont lieu en même temps".
"En Ontario, il n'y a pas l'appartenance par région et c'est ce qui manque. Les jeunes ont besoin d'une appartenance à un groupe, à une école..."
A vrai dire, c'est contagieux et le directeur général des Jeux, Jean-Claude Ladouceur, a été atteint comme tout le monde.
"Prendre part aux Jeux en tant qu'athlète, c'est la seule chose que je n'ai jamais faite. J'aimerais ça", a-t-il confié en esquissant un sourire, mercredi.
Ladouceur en est à ses 15e Jeux. Il a déjà été entraîneur, responsable d'un sport et chef de mission. Il était aussi le directeur adjoint des Jeux de Granby, en 1995. Sa première participation remonte aux Jeux remonte à Hull en 1981 alors qu'il était entraîneur en athlétisme et accompagnateur.
"Jusqu'à présent, tout se déroule comme je le pensais et même un peu mieux, a-t-il estimé. J'avais beaucoup d'expérience aux Jeux et nous étions bien préparés mais on ne sait jamais tant que le jour J n'est pas arrivé. C'est bien au-delà de mes espérances.
"Hier (mardi) par exemple, c'était le changement de blocs. C'était une journée chargée et il y avait une tempête. Il y a eu des retards et des modifications mais chaque fois que j'appelais quelqu'un, j'avais une réponse positive.
"L'expérience, c'est important, mais il faut aussi être entouré par les bonnes personnes."
Deux délégations, l'Est du Québec et la Côte Nord, ont quitté mercredi plutôt que mardi après avoir passé la nuit à St-Hyacinthe, l'une dans son centre d'hébergement au Collège St-Maurice et l'autre, à l'école René St-Pierre, qui avait été mise en disponibilité en cas de besoin.
Travail d'équipe
Ladouceur note, entre autres, qu'il y a "une belle complicité" avec Jean Bédard, le président du comité organisateur, qui est président des Restaurants Sports Scene Inc. De plus, la bonne entente règne dans l'organisation. Les réunions avec les chefs de service se déroulent dans la bonne humeur. Il n'y a eu que de "petits ajustements à faire" depuis l'ouverture des Jeux.
"Le transport, l'hébergement, la sécurité, tout s'est bien déroulé lors du premier bloc. Il n'y a eu que de petites choses - on manquait d'eau et de jus au Salon des bénévoles, par exemple. Ce sont des choses qui ont été corrigées lors du premier et du deuxième jour.
"C'est l'accomplissement d'un travail d'équipe et quand je me rends sur les sites de compétition, je suis satisfait de voir le beau travail qui a été fait. Je dis mission accomplie sans aucune gêne et avec fierté. C'est l'accomplissement de tout le monde."
Environ 2500 bénévoles contribuent au succès de la finale de St-Hyacinthe qui regroupe 20 disciplines, incluant deux sports en démonstration. Il y a aussi de bonnes assistances et beaucoup d'atmosphère sur les sites de compétition.
"Les Jeux, c'est différent d'un championnat provincial, a signalé Ladouceur. Il y a des caméras sur les sites, des décorations, des drapeaux. C'est ce qui fait que c'est marquant pour un jeune.
"Les Jeux, a-t-il poursuivi, c'est aussi un bel objectif pour les jeunes et c'est très atteignable. C'est accessible et le programme des Jeux du Québec est très bien fait."
Contrairement aux "Ontario Games", note Ladouceur, les Jeux du Québec regroupent les jeunes par région au Québec et c'est un atout. En Ontario, ce sont des "championnats provinciaux qui ont lieu en même temps".
"En Ontario, il n'y a pas l'appartenance par région et c'est ce qui manque. Les jeunes ont besoin d'une appartenance à un groupe, à une école..."