Un défi pour les volleyeurs canadiens
Amateurs samedi, 25 sept. 2010. 20:27 vendredi, 13 déc. 2024. 17:51
Glenn Hoag savait que ses protégés de l'équipe nationale de volleyball en auraient plein les bras en première ronde du Championnat du monde. Samedi, les Polonais ont confirmé ses appréhensions, défaisant les Canadiens 25-22, 25-21, 25-13 à Trieste, en Italie.
Les joueurs du pays, 20es au classement international, ont été en avance à quelques occasions dans les deux premières manches, mais les champions d'Europe, 6es au monde, ont su profiter de l'inexpérience de leurs adversaires et des encouragements de plusieurs centaines de leurs compatriotes.
Louis-Pierre Mainville, de Notre-Dame-de-l'Île-Perrot, capitaine de la formation nationale, a réussi une attaque marquante en première manche. Olivier Faucher, de Plessisville, libéro remplaçant, n'était pas en uniforme pour ce premier duel du groupe F, baptisé le « groupe de la mort ».
« Nous avons très bien commencé le match. Ça jouait très fort d'un côté comme de l'autre, mais nous avons échappé le premier set à la toute fin, a indiqué Mainville. Vers la fin du deuxième, nous avons senti que l'expérience des Polonais prenait le dessus. Dans le troisième set, c'est comme si nous avions arrêté d'y croire. Nous n'avons jamais été dans le coup. »
Les Canadiens ne bénéficieront d'aucun répit puisqu'ils rencontreront les Serbes, classés 4es et médaillés de bronze en Ligue mondiale, dimanche et les Allemands, 11es au monde, lundi. Les trois premiers de chaque groupe poursuivent leur chemin.
« Il faudra maintenir la pression sur nos rivaux et jouer fort tout au long du match », a avancé Mainville.
Un bon examen
« Ça va être extrêmement difficile, avait avoué Hoag avant le début du tournoi. Ce sont trois pays qui peuvent aspirer au podium. Disons que ça va me permettre de voir où l'équipe en est. »
Peu de joueurs ayant aidé le Canada à se classer 11e au Championnat du monde de 2006 sont en Italie. « Ce qui nous manque, c'est de l'expérience et des matchs, précisait le Sherbrookois. Nous passons notre temps à nous entraîner. »
Il est vrai que les représentants de la feuille d'érable ont peu joué ces dernières semaines, si ce ne sont que quelques rencontres préparatoires contre les formations cubaine et tchèque ainsi que contre les clubs professionnels ACH volley Bled et Remat Zalau.
« Nous voyons de belles choses, mais nous sommes inconstants », résumait l'entraîneur au sujet de ces duels amicaux. « Je suis content d'affronter de bonnes équipes au mondial. C'est plaisant pour mes gars, ils travaillent tellement fort. »
« Je veux qu'ils jouent chaque point comme si c'était le dernier et qu'ils se concentrent sur l'exécution », concluait Hoag.
Les joueurs du pays, 20es au classement international, ont été en avance à quelques occasions dans les deux premières manches, mais les champions d'Europe, 6es au monde, ont su profiter de l'inexpérience de leurs adversaires et des encouragements de plusieurs centaines de leurs compatriotes.
Louis-Pierre Mainville, de Notre-Dame-de-l'Île-Perrot, capitaine de la formation nationale, a réussi une attaque marquante en première manche. Olivier Faucher, de Plessisville, libéro remplaçant, n'était pas en uniforme pour ce premier duel du groupe F, baptisé le « groupe de la mort ».
« Nous avons très bien commencé le match. Ça jouait très fort d'un côté comme de l'autre, mais nous avons échappé le premier set à la toute fin, a indiqué Mainville. Vers la fin du deuxième, nous avons senti que l'expérience des Polonais prenait le dessus. Dans le troisième set, c'est comme si nous avions arrêté d'y croire. Nous n'avons jamais été dans le coup. »
Les Canadiens ne bénéficieront d'aucun répit puisqu'ils rencontreront les Serbes, classés 4es et médaillés de bronze en Ligue mondiale, dimanche et les Allemands, 11es au monde, lundi. Les trois premiers de chaque groupe poursuivent leur chemin.
« Il faudra maintenir la pression sur nos rivaux et jouer fort tout au long du match », a avancé Mainville.
Un bon examen
« Ça va être extrêmement difficile, avait avoué Hoag avant le début du tournoi. Ce sont trois pays qui peuvent aspirer au podium. Disons que ça va me permettre de voir où l'équipe en est. »
Peu de joueurs ayant aidé le Canada à se classer 11e au Championnat du monde de 2006 sont en Italie. « Ce qui nous manque, c'est de l'expérience et des matchs, précisait le Sherbrookois. Nous passons notre temps à nous entraîner. »
Il est vrai que les représentants de la feuille d'érable ont peu joué ces dernières semaines, si ce ne sont que quelques rencontres préparatoires contre les formations cubaine et tchèque ainsi que contre les clubs professionnels ACH volley Bled et Remat Zalau.
« Nous voyons de belles choses, mais nous sommes inconstants », résumait l'entraîneur au sujet de ces duels amicaux. « Je suis content d'affronter de bonnes équipes au mondial. C'est plaisant pour mes gars, ils travaillent tellement fort. »
« Je veux qu'ils jouent chaque point comme si c'était le dernier et qu'ils se concentrent sur l'exécution », concluait Hoag.