Un duel Canada-USA à la piscine
Amateurs mardi, 24 juil. 2007. 13:46 mercredi, 11 déc. 2024. 07:53
RIO DE JANEIRO, Brésil - L'équipe canadienne briguera deux médailles lors des épreuves de nage synchronisée aux Jeux panaméricains, à compter de mercredi, à Rio. Mais l'objectif ultime est surtout de devancer leurs grandes rivales, les Américaines.
Car le pays qui remportera la médaille d'or dans l'épreuve par équipes sera qualifié d'office pour les Jeux olympiques de Pékin. Le duo, composé de Marie-Pier Boudreau Gagnon et Isabelle Rampling, sera également à l'oeuvre à ces jeux.
"Nous avons vraiment une opportunité de remporter une médaille et c'est rafraîchissant parce que, malgré notre dur travail, il est difficile de décrocher un podium sur la scène internationale, a révélé Isabelle Taillon, l'entraîneure en chef de l'équipe canadienne. Ici, nous bataillerons pour la médaille d'or avec les Américaines et ça promet d'être très intéressant."
Depuis plusieurs années, les Américaines devancent les Canadiennes dans les grandes compétitions internationales. Elles occupent respectivement les 5e et 6e rangs au classement mondial.
"Elles nous devancent toujours de peu. Cette fois, nous allons essayer d'inverser les rôles, a poursuivi Taillon. Mais il faut se concentrer sur nos performances, bien nager nos routines pour maximiser nos chances."
Malgré tout, Taillon affiche une certaine dose de confiance et pour cause.
"Dans l'exécution technique de nos programmes, nous avons fait un grand pas en avant. Techniquement, nous sommes vraiment plus fortes qu'aux championnats du monde. Et pour le programme libre, nous avons apporté des changements chorégraphiques depuis les mondiaux. Certaines poussées sont désormais plus acrobatiques et encore plus spectaculaires."
Outre le Canada et les Etats-Unis, les équipes du Brésil et du Mexique batailleront également pour une place sur le podium.
"Nous ne prenons rien pour acquis, a prévenu Taillon. Les Brésiliennes, par exemple, sont exceptionnelles au niveau de leurs poussées acrobatiques. La fille de l'entraîneure de l'équipe russe habite le Brésil et elles viennent souvent faire des stages d'entraînement ici. J'ai l'impression que c'est la raison pour laquelle le Brésil s'améliore autant."
Si l'équipe canadienne ne parvient pas à se qualifier pour Pékin cette semaine, elle aura d'autres occasions de le faire, tant en duo qu'en équipes. La Chine est déjà assurée de sa qualification à titre de pays hôte et les Russes ont gagné le championnat européen. L'Australie et un pays d'Afrique seront également invités.
"Les positions 6, 7 et 8 se joueront lors d'un tournoi de sélection le printemps prochain. Et advenant le cas où notre sélection se jouerait à ce moment-là, je considère que nous aurions de bonnes chances de finir parmi les trois premières. Par contre, comme nous n'avons pas beaucoup d'opportunités en nage synchronisée de compétitionner les unes contre les autres, il faut attaquer et y aller à fond quand elles se présentent."
Car le pays qui remportera la médaille d'or dans l'épreuve par équipes sera qualifié d'office pour les Jeux olympiques de Pékin. Le duo, composé de Marie-Pier Boudreau Gagnon et Isabelle Rampling, sera également à l'oeuvre à ces jeux.
"Nous avons vraiment une opportunité de remporter une médaille et c'est rafraîchissant parce que, malgré notre dur travail, il est difficile de décrocher un podium sur la scène internationale, a révélé Isabelle Taillon, l'entraîneure en chef de l'équipe canadienne. Ici, nous bataillerons pour la médaille d'or avec les Américaines et ça promet d'être très intéressant."
Depuis plusieurs années, les Américaines devancent les Canadiennes dans les grandes compétitions internationales. Elles occupent respectivement les 5e et 6e rangs au classement mondial.
"Elles nous devancent toujours de peu. Cette fois, nous allons essayer d'inverser les rôles, a poursuivi Taillon. Mais il faut se concentrer sur nos performances, bien nager nos routines pour maximiser nos chances."
Malgré tout, Taillon affiche une certaine dose de confiance et pour cause.
"Dans l'exécution technique de nos programmes, nous avons fait un grand pas en avant. Techniquement, nous sommes vraiment plus fortes qu'aux championnats du monde. Et pour le programme libre, nous avons apporté des changements chorégraphiques depuis les mondiaux. Certaines poussées sont désormais plus acrobatiques et encore plus spectaculaires."
Outre le Canada et les Etats-Unis, les équipes du Brésil et du Mexique batailleront également pour une place sur le podium.
"Nous ne prenons rien pour acquis, a prévenu Taillon. Les Brésiliennes, par exemple, sont exceptionnelles au niveau de leurs poussées acrobatiques. La fille de l'entraîneure de l'équipe russe habite le Brésil et elles viennent souvent faire des stages d'entraînement ici. J'ai l'impression que c'est la raison pour laquelle le Brésil s'améliore autant."
Si l'équipe canadienne ne parvient pas à se qualifier pour Pékin cette semaine, elle aura d'autres occasions de le faire, tant en duo qu'en équipes. La Chine est déjà assurée de sa qualification à titre de pays hôte et les Russes ont gagné le championnat européen. L'Australie et un pays d'Afrique seront également invités.
"Les positions 6, 7 et 8 se joueront lors d'un tournoi de sélection le printemps prochain. Et advenant le cas où notre sélection se jouerait à ce moment-là, je considère que nous aurions de bonnes chances de finir parmi les trois premières. Par contre, comme nous n'avons pas beaucoup d'opportunités en nage synchronisée de compétitionner les unes contre les autres, il faut attaquer et y aller à fond quand elles se présentent."