Un programme antidopage rigoureux
Amateurs lundi, 13 mars 2006. 16:48 mercredi, 11 déc. 2024. 09:47
MELBOURNE, Australie (PC) - Les organisateurs des XVIIIes Jeux du Commonwealth, qui s'ouvriront mercredi, à Melbourne, ont pris l'engagement de faire la vie dure aux tricheurs. Ils ont en effet annoncé qu'ils soumettront presque un athlète sur quatre à des tests de dépistage pendant les 11 jours de compétitions.
Le président de la Fédération des Jeux du Commonwealth, Mike Fennell, a indiqué qu'il s'agissait du programme antidopage le plus rigoureux de l'histoire de ces Jeux.
Un nombre record de 4500 athlètes provenant de 71 pays participeront aux Jeux de Melbourne.
Lors des récents Jeux olympiques de Turin, c'est quelque 1200 contrôles antidopage qui ont été effectués sur un total de 2600 athlètes.
"Le dopage dans le sport est une préoccupation importante, a précisé Fennell. Mais nous sommes conscients que les contrôles pendant la compétition ne suffisent pas. C'est la raison pour laquelle nous avons travaillé de concert avec l'Agence mondiale antidopage (AMA) et l'Agence antidopage australienne pour implanter un programme de contrôles avant le début des Jeux."
Les athlètes pourraient avoir à se soumettre à des tests de dépistage sanguin et d'urine avant et après leur compétition.
"C'est un programme beaucoup plus étendu que celui que nous avions à Manchester en 2002, a précisé le directeur exécutif des Jeux, Mike Hooper. Le message que nous voulons envoyer à tout athlète qui est assez bête pour prendre le risque de tricher, c'est que nous allons l'attraper."
A Manchester, seulement quatre athètes avaient été pris en défaut.
Les tests ont commencé dès l'ouverture du village des athlètes, le 6 mars.
Le président de la Fédération des Jeux du Commonwealth, Mike Fennell, a indiqué qu'il s'agissait du programme antidopage le plus rigoureux de l'histoire de ces Jeux.
Un nombre record de 4500 athlètes provenant de 71 pays participeront aux Jeux de Melbourne.
Lors des récents Jeux olympiques de Turin, c'est quelque 1200 contrôles antidopage qui ont été effectués sur un total de 2600 athlètes.
"Le dopage dans le sport est une préoccupation importante, a précisé Fennell. Mais nous sommes conscients que les contrôles pendant la compétition ne suffisent pas. C'est la raison pour laquelle nous avons travaillé de concert avec l'Agence mondiale antidopage (AMA) et l'Agence antidopage australienne pour implanter un programme de contrôles avant le début des Jeux."
Les athlètes pourraient avoir à se soumettre à des tests de dépistage sanguin et d'urine avant et après leur compétition.
"C'est un programme beaucoup plus étendu que celui que nous avions à Manchester en 2002, a précisé le directeur exécutif des Jeux, Mike Hooper. Le message que nous voulons envoyer à tout athlète qui est assez bête pour prendre le risque de tricher, c'est que nous allons l'attraper."
A Manchester, seulement quatre athètes avaient été pris en défaut.
Les tests ont commencé dès l'ouverture du village des athlètes, le 6 mars.