Volleyball: la série noire se poursuit
Amateurs samedi, 9 juin 2007. 17:11 vendredi, 13 déc. 2024. 17:37
Montréal (Sportcom) - L'équipe canadienne masculine de volleyball a offert une meilleure opposition à la formation finlandaise samedi, mais a tout de subi une cinquième défaite d'affilée dans le cadre de la Ligue mondiale.
Les Finlandais, classés 33es au monde, sont venus à bout des Canadiens, 12es sur l'échiquier mondial, en quatre manches de 26-24, 24-26, 25-18 et 25-23 dans la deuxième rencontre disputée à Lahti.
Fred Winters, de la Colombie-Britannique, a été le meilleur attaquant du Canada avec 20 points, alors que le Québécois Louis-Pierre Mainville en a inscrit 17 et le Britanno-Colombien Brett Youngberg 15.
« Nous avions des consignes à suivre par rapport aux blocs de nos adversaires, a mentionné Mainville, de Notre-Dame-de-l'Île-Perrot. Hier (vendredi) ç'avait été un problème. Aujourd'hui (samedi), ç'a mieux été pour moi. Nous avons joué un match assez intense, mais nous avons fait trop d'erreurs directes. »
Avec les nombreux éclopés et malgré qu'il soit lui même blessé, Paul Duerden a été utilisé dans les deuxième et quatrième manches. Rappelons que Murray Grapentine, nouveau papa, était indisponible.
Le Montréalais Christian Bernier a joué dans trois des quatre manches. Pascal Cardinal, de Pincourt, et Alexandre Gaumont-Casias, de Marieville, sont restés sur la touche en raison de blessures.
« Nous avons encore commis énormément de fautes directes, a dit l'entraîneur national Glenn Hoag. Côté attitude, nous avons été un peu plus combatifs. Notre bilan est cependant plus ou moins reluisant. Je dois regarder ça avec un oeil critique parce qu'il faut que les joueurs apprennent. »
Deux rencontres face aux puissants Brésiliens sont au menu des Canadiens en Ligue mondiale la fin de semaine prochaine, à Belo Horizonte.
« Il faudra aborder ces matchs avec la rage de vaincre. Nous ne nous en allons pas là seulement pour prendre des notes, a affirmé Mainville. Je pense qu'il faudra oublier qu'ils sont les meilleurs au monde pour ne pas se laisser intimider. »
« Le Brésil gère un centre d'entraînement à temps plein et les joueurs y jouent à partir de l'âge de 16 ans. On ne parle pas du même niveau de jeu. Ça va être extrêmement difficile et je ne me fais pas d'illusion », a pour sa part conclu Hoag.
Les Finlandais, classés 33es au monde, sont venus à bout des Canadiens, 12es sur l'échiquier mondial, en quatre manches de 26-24, 24-26, 25-18 et 25-23 dans la deuxième rencontre disputée à Lahti.
Fred Winters, de la Colombie-Britannique, a été le meilleur attaquant du Canada avec 20 points, alors que le Québécois Louis-Pierre Mainville en a inscrit 17 et le Britanno-Colombien Brett Youngberg 15.
« Nous avions des consignes à suivre par rapport aux blocs de nos adversaires, a mentionné Mainville, de Notre-Dame-de-l'Île-Perrot. Hier (vendredi) ç'avait été un problème. Aujourd'hui (samedi), ç'a mieux été pour moi. Nous avons joué un match assez intense, mais nous avons fait trop d'erreurs directes. »
Avec les nombreux éclopés et malgré qu'il soit lui même blessé, Paul Duerden a été utilisé dans les deuxième et quatrième manches. Rappelons que Murray Grapentine, nouveau papa, était indisponible.
Le Montréalais Christian Bernier a joué dans trois des quatre manches. Pascal Cardinal, de Pincourt, et Alexandre Gaumont-Casias, de Marieville, sont restés sur la touche en raison de blessures.
« Nous avons encore commis énormément de fautes directes, a dit l'entraîneur national Glenn Hoag. Côté attitude, nous avons été un peu plus combatifs. Notre bilan est cependant plus ou moins reluisant. Je dois regarder ça avec un oeil critique parce qu'il faut que les joueurs apprennent. »
Deux rencontres face aux puissants Brésiliens sont au menu des Canadiens en Ligue mondiale la fin de semaine prochaine, à Belo Horizonte.
« Il faudra aborder ces matchs avec la rage de vaincre. Nous ne nous en allons pas là seulement pour prendre des notes, a affirmé Mainville. Je pense qu'il faudra oublier qu'ils sont les meilleurs au monde pour ne pas se laisser intimider. »
« Le Brésil gère un centre d'entraînement à temps plein et les joueurs y jouent à partir de l'âge de 16 ans. On ne parle pas du même niveau de jeu. Ça va être extrêmement difficile et je ne me fais pas d'illusion », a pour sa part conclu Hoag.