Water-polo: les Canadiennes au 6e rang
Amateurs samedi, 15 août 2009. 11:41 mercredi, 11 déc. 2024. 14:40
L'équipe canadienne féminine junior de water-polo s'est incliné 7-5 devant les Italiennes, samedi, dans son match pour l'obtention du cinquième rang au Championnat du monde de Khanty et Mansyisk, en Russie.
« C'est décevant parce qu'on avait une des meilleures équipes présentes ici, mais le fait de ne pas se rendre à la ronde des médailles à brimer le moral des joueuses, a lancé l'entraîneur Nishant Damani. Nous avons manqué d'énergie alors que les Italiennes étaient venues pour l'emporter et avaient plein d'énergie. »
Les Canadiennes ont été les premières à s'inscrire à la marque quand Sarah McIlveen, de l'Ontario, a marqué en avantage numérique au début de la rencontre. La réplique est venue avec un peu plus de deux minutes à faire à la première période.
Les Italiennes ont frappé tôt à la deuxième période en faisant bouger les cordages à deux reprises. McIlveen réduisait l'écart à 3-2 avec un autre filet en avantage numérique, mais les Italiennes ont répliqué avec deux autres buts avant la fin de la demie.
Cette période a été fatale pour les ouailles de Damanimême si elles n'ont jamais baissé les bras. Shae Fournier, de Winnipeg, a déjoué la gardienne italienne à deux reprises en avantage numérique pour ramener tout le monde à 5-4, mais une bourde défensive a permis aux Italiennes de creuser de nouveau l'écart.
Kirstn Mase, de la Colombie-Britannique, a redonné espoir aux Canadiennes en marquant au début du dernier quart. La fin du match a été assez intense, mais dans la dernière minute de jeu, les Italiennes ont marqué le but qui allait couper le souffle aux représentantes de l'unifolié.
C'est la Québécoise Michele Relton, de Kirkland, qui était devant le filet canadien pour cette rencontre. Elle était donc bien placée pour analyser la partie. « Nous avons manqué de vitesse en défensive et ç'a permis à leur grosse attaquante de marquer trois buts, a-t-elle mentionné. Nous n'avons pas joué comme nous étions capables, mais nous nous sommes bien battues. »
Le water-polo en santé au pays
Après avoir vu l'équipe féminine senior rafler la médaille d'argent aux récents Championnats du monde FINA , l'équipe junior a pris le sixième rang, mais rappelons la défaite crève-cœur en prolongation contre les Néerlandaises, qui ont mis la main sur la médaille d'argent après avoir perdu en finale contre la Russie, peut-on dire que le sport est en santé au pays?
« Il y a un très bon développement au niveau local, a lancé Damani. Il y a plusieurs bons clubs à travers le pays et particulièrement au Québec. Ce genre de développement et de présence dans les piscines canadiennes apporte beaucoup au sport. »
Michelle Caron, de Kirkland, Elisabeth Henry, de Longueuil, et Hanna Yelizarova, de LaSalle, étaient les autres Québécoises avec l'équipe nationale et devraient être de retour au prochain championnat du monde junior dans deux ans.
Relton et Chelsea Davison, de Pointe-Claire, ont pour leur part terminé leur stage chez les juniors et tenteront de se tailler une place avec l'équipe canadienne.
« Nous avons la chance de nous entraîner avec elles à Montréal, a conclu Relton. Nous les connaissons bien, alors ça ne sera pas nouveau pour nous d'être en leur compagnie. »
« C'est décevant parce qu'on avait une des meilleures équipes présentes ici, mais le fait de ne pas se rendre à la ronde des médailles à brimer le moral des joueuses, a lancé l'entraîneur Nishant Damani. Nous avons manqué d'énergie alors que les Italiennes étaient venues pour l'emporter et avaient plein d'énergie. »
Les Canadiennes ont été les premières à s'inscrire à la marque quand Sarah McIlveen, de l'Ontario, a marqué en avantage numérique au début de la rencontre. La réplique est venue avec un peu plus de deux minutes à faire à la première période.
Les Italiennes ont frappé tôt à la deuxième période en faisant bouger les cordages à deux reprises. McIlveen réduisait l'écart à 3-2 avec un autre filet en avantage numérique, mais les Italiennes ont répliqué avec deux autres buts avant la fin de la demie.
Cette période a été fatale pour les ouailles de Damanimême si elles n'ont jamais baissé les bras. Shae Fournier, de Winnipeg, a déjoué la gardienne italienne à deux reprises en avantage numérique pour ramener tout le monde à 5-4, mais une bourde défensive a permis aux Italiennes de creuser de nouveau l'écart.
Kirstn Mase, de la Colombie-Britannique, a redonné espoir aux Canadiennes en marquant au début du dernier quart. La fin du match a été assez intense, mais dans la dernière minute de jeu, les Italiennes ont marqué le but qui allait couper le souffle aux représentantes de l'unifolié.
C'est la Québécoise Michele Relton, de Kirkland, qui était devant le filet canadien pour cette rencontre. Elle était donc bien placée pour analyser la partie. « Nous avons manqué de vitesse en défensive et ç'a permis à leur grosse attaquante de marquer trois buts, a-t-elle mentionné. Nous n'avons pas joué comme nous étions capables, mais nous nous sommes bien battues. »
Le water-polo en santé au pays
Après avoir vu l'équipe féminine senior rafler la médaille d'argent aux récents Championnats du monde FINA , l'équipe junior a pris le sixième rang, mais rappelons la défaite crève-cœur en prolongation contre les Néerlandaises, qui ont mis la main sur la médaille d'argent après avoir perdu en finale contre la Russie, peut-on dire que le sport est en santé au pays?
« Il y a un très bon développement au niveau local, a lancé Damani. Il y a plusieurs bons clubs à travers le pays et particulièrement au Québec. Ce genre de développement et de présence dans les piscines canadiennes apporte beaucoup au sport. »
Michelle Caron, de Kirkland, Elisabeth Henry, de Longueuil, et Hanna Yelizarova, de LaSalle, étaient les autres Québécoises avec l'équipe nationale et devraient être de retour au prochain championnat du monde junior dans deux ans.
Relton et Chelsea Davison, de Pointe-Claire, ont pour leur part terminé leur stage chez les juniors et tenteront de se tailler une place avec l'équipe canadienne.
« Nous avons la chance de nous entraîner avec elles à Montréal, a conclu Relton. Nous les connaissons bien, alors ça ne sera pas nouveau pour nous d'être en leur compagnie. »