De beaux compliments pour Martin
Baseball mercredi, 1 avr. 2009. 13:07 samedi, 14 déc. 2024. 05:35
Même s'il n'est âgé que de 26 ans, Russell Martin est considéré comme un pilier des Dodgers de Los Angeles.
Et à la veille d'entreprendre sa quatrième saison dans le baseball majeur, le receveur étoile fait preuve d'une belle sagesse.
Martin entreprend la saison 2009, bien reposé, après une longue saison qui s'est terminée à la mi-octobre alors que les Dodgers ont été éliminés à trois parties d'une participation à la Série mondiale.
«Ce fut une année incroyable et particulièrement dans les séries, je me rappelerai de ces souvenirs toute ma vie», raconte le Québécois.
Au cours de sa troisième saison dans les majeures, le receveur s'est imposé comme l'un des piliers des Dodgers, une opinion que partage Tommy Lasorda.
«C'est un receveur exceptionnel et il frappe autour de 15 circuits par saison en plus d'obtenir de nombreux points produits», relate Lasorda avec admiration. «C'est pratiquement impossible de dénicher un receveur qui en fait autant, mais au-delà de tout ça, il est un jeune homme merveilleux.»
Selon l'ancien gérant des Dodgers, Martin continuera de s'améliorer, mais il devra être plus constant et aussi moins intense.
«C'est seulement que j'adore jouer et quand ce n'est pas le cas, je suis fatiguant», avoue Martin en toute honnêteté. «Tous les joueurs sur le banc sont exaspérés de voir sur le banc parce que j'ai trop d'énergie. Mais je crois que je vais me calmer cette année. Pour le bien de l'équipe, je crois que c'est préférable que j'obtienne du repos et que je possède plus d'énergie en fin de saison quand c'est le plus important.»
Le Québécois de 26 ans démontre une belle maturité. Il admet son erreur d'avoir participé à 155 matchs la saison dernière.
«On apprend de nos erreurs et c'est ce que j'ai fait. C'était une erreur de participer à autant de matchs», note-t-il.
Dans la saison morte, Martin a évité l'arbitrage salarial en acceptant un contrat d'un an d'une valeur de près de quatre millions de dollars. Il sera à la recherche d'un contrat à long terme à l'issue de la prochaine saison.
D'après un reportage de Jean-Luc Legendre
Et à la veille d'entreprendre sa quatrième saison dans le baseball majeur, le receveur étoile fait preuve d'une belle sagesse.
Martin entreprend la saison 2009, bien reposé, après une longue saison qui s'est terminée à la mi-octobre alors que les Dodgers ont été éliminés à trois parties d'une participation à la Série mondiale.
«Ce fut une année incroyable et particulièrement dans les séries, je me rappelerai de ces souvenirs toute ma vie», raconte le Québécois.
Au cours de sa troisième saison dans les majeures, le receveur s'est imposé comme l'un des piliers des Dodgers, une opinion que partage Tommy Lasorda.
«C'est un receveur exceptionnel et il frappe autour de 15 circuits par saison en plus d'obtenir de nombreux points produits», relate Lasorda avec admiration. «C'est pratiquement impossible de dénicher un receveur qui en fait autant, mais au-delà de tout ça, il est un jeune homme merveilleux.»
Selon l'ancien gérant des Dodgers, Martin continuera de s'améliorer, mais il devra être plus constant et aussi moins intense.
«C'est seulement que j'adore jouer et quand ce n'est pas le cas, je suis fatiguant», avoue Martin en toute honnêteté. «Tous les joueurs sur le banc sont exaspérés de voir sur le banc parce que j'ai trop d'énergie. Mais je crois que je vais me calmer cette année. Pour le bien de l'équipe, je crois que c'est préférable que j'obtienne du repos et que je possède plus d'énergie en fin de saison quand c'est le plus important.»
Le Québécois de 26 ans démontre une belle maturité. Il admet son erreur d'avoir participé à 155 matchs la saison dernière.
«On apprend de nos erreurs et c'est ce que j'ai fait. C'était une erreur de participer à autant de matchs», note-t-il.
Dans la saison morte, Martin a évité l'arbitrage salarial en acceptant un contrat d'un an d'une valeur de près de quatre millions de dollars. Il sera à la recherche d'un contrat à long terme à l'issue de la prochaine saison.
D'après un reportage de Jean-Luc Legendre