"Je suis heureux de voir les Braves quitter la ville"
Baseball mardi, 29 juil. 2003. 00:22 mercredi, 11 déc. 2024. 07:28
MONTREAL (PC) - "Je n'ai jamais une telle série de toute ma carrière", a commenté Frank Robinson après avoir assisté au quatrième match des siens contre les Braves. On aurait dit que le script avait été écrit à Hollywood, tellement il y a eu des choses étranges qui ne cessaient de se poursuivre d'un côté comme de l'autre.
"Il y a eu quelques matches très plaisants, mais le dernier l'a été beaucoup moins pour moi. Je suis heureux de voir les Braves quitter la ville, croyez-moi."
Drôle de coincidence puisque John Smoltz, l'as releveur des Braves qui a mérité son 38e sauvetage, mais non sans avoir vu les Expos réduire l'écart à deux points, était lui aussi heureux de quitter.
"Oui, je suis heureux de quitter le Stade olympique et ce n'est pas trop tôt, a dit Smoltz. Imaginez un peu si les Expos disputaient tous leurs matches ici, ce serait l'enfer. Ils sont redoutables, ce sont des bagarreurs de ruelles. C'est presque dommage pour les Expos qui doivent jouer seulement la moitié de leurs matches ici, qu'ils doivent effectuer tous ces voyages. Imaginez s'il y avait 30000 spectateurs ici. Orlando Cabrera est un des meilleurs joueurs d'inter de la Ligue nationale, de tout le baseball en fait. Leurs jeunes joueurs sont devenus très bons. J'ai effectué deux bons tirs et ils les ont frappés tous deux."
Smoltz a fait cette déclaration après que Cabrera eût claqué un simple de deux points en fin de neuvième.
Si Cabrera a encore produit, Vladimir Guerrero a claqué deux circuits, produit un autre point en neuvième et donné la frousse aux Braves. Son premier circuit a atterri à 502 pieds du marbre.
"Je taquinais Vlad dans l'abri, a dit Cabrera à l'issue du premier circuit. Je lui disais qu'il était tellement long que dans la Ligue d'hiver de Colombie, un tel circuit compte pour deux points.
"Je pense qu'on peut dire que Vlad est vraiment de retour. Il nous a manqué de temps aujourd'hui, mais les Braves savent de quel bois on se chauffe. Nous pouvons marquer des points. Nous avons le vent dans les voiles et il reste à espérer que nous frapperons de la même façon contre les Cards.
"Pour ce qui est de mon simple contre Smoltz, il lance avec tellement de force que j'ai lancé tout simplement le bâton vers la balle. Mais j'ai fait bon contact."
Tout ce que Robinson déplorait est le fait que son partant Javier Vazquez a connu une bien piètre performance dans un bien mauvais moment.
"Je pensais que Vazquez allait nous donner une solide performance, qu'il allait travailler pendant plus longtemps.
"On n'a pas su stopper Marcus Giles. Il est un trop bon frappeur pour qu'on continue de lui offrir des tirs semblables à ceux que nous lui avons servis. Quand on lui offre ces tirs, il va nous continuer de nous tuer."
Quant à Vazquez, il ne cherchait pas d'excuse. "J'ai effectué de mauvais tirs et j'imagine que Giles est tellement en forme qu'il voit la balle grosse comme un ballon de plage de ces temps-ci. Je voulais fermer la porte, je ne l'ai pas fait."
Robinson mentionnait qu'il croyait qu'il fallait maintenant permettre à Guerrero de relaxer un peu pour ménager son dos.
"Je l'ai déjà vu s'élancer avec plus de force, a-t-il dit. Je suis heureux de voir qu'il peut s'élancer de la sorte, mais il devra relaxer aussi. Nous aurons besoin de lui d'ici la fin pour produire des points."
Robinson était surtout inquiet de l'état de santé de Jose Vidro, utilisé comme frappeur suppléant, et de son releveur numéron un Rocky Biddle.
"C'est notre lot quotidien: une autre blessure", a dit Robinson.
Biddle s'est blessé au genou droit en tentant de capter un roulant de Rafael Furcal en neuvième. La balle s'est bfinalement retrouvée dans le territoire des fausses balles.
"C'est une blessure que je traîne depuis quelques semaines déjà, a dit Biddle. J'ai déjà été opéré à ce genou il y a cinq ans. J'ai même changé mes habitudes d'entraînement pour tenter d'éviter le pire.
"Je sais que je devrai y voir après la fin de la saison. Là je veux qu'on me traite pour me permettre d'aider cette équipe d'ici la fin."
"Il y a eu quelques matches très plaisants, mais le dernier l'a été beaucoup moins pour moi. Je suis heureux de voir les Braves quitter la ville, croyez-moi."
Drôle de coincidence puisque John Smoltz, l'as releveur des Braves qui a mérité son 38e sauvetage, mais non sans avoir vu les Expos réduire l'écart à deux points, était lui aussi heureux de quitter.
"Oui, je suis heureux de quitter le Stade olympique et ce n'est pas trop tôt, a dit Smoltz. Imaginez un peu si les Expos disputaient tous leurs matches ici, ce serait l'enfer. Ils sont redoutables, ce sont des bagarreurs de ruelles. C'est presque dommage pour les Expos qui doivent jouer seulement la moitié de leurs matches ici, qu'ils doivent effectuer tous ces voyages. Imaginez s'il y avait 30000 spectateurs ici. Orlando Cabrera est un des meilleurs joueurs d'inter de la Ligue nationale, de tout le baseball en fait. Leurs jeunes joueurs sont devenus très bons. J'ai effectué deux bons tirs et ils les ont frappés tous deux."
Smoltz a fait cette déclaration après que Cabrera eût claqué un simple de deux points en fin de neuvième.
Si Cabrera a encore produit, Vladimir Guerrero a claqué deux circuits, produit un autre point en neuvième et donné la frousse aux Braves. Son premier circuit a atterri à 502 pieds du marbre.
"Je taquinais Vlad dans l'abri, a dit Cabrera à l'issue du premier circuit. Je lui disais qu'il était tellement long que dans la Ligue d'hiver de Colombie, un tel circuit compte pour deux points.
"Je pense qu'on peut dire que Vlad est vraiment de retour. Il nous a manqué de temps aujourd'hui, mais les Braves savent de quel bois on se chauffe. Nous pouvons marquer des points. Nous avons le vent dans les voiles et il reste à espérer que nous frapperons de la même façon contre les Cards.
"Pour ce qui est de mon simple contre Smoltz, il lance avec tellement de force que j'ai lancé tout simplement le bâton vers la balle. Mais j'ai fait bon contact."
Tout ce que Robinson déplorait est le fait que son partant Javier Vazquez a connu une bien piètre performance dans un bien mauvais moment.
"Je pensais que Vazquez allait nous donner une solide performance, qu'il allait travailler pendant plus longtemps.
"On n'a pas su stopper Marcus Giles. Il est un trop bon frappeur pour qu'on continue de lui offrir des tirs semblables à ceux que nous lui avons servis. Quand on lui offre ces tirs, il va nous continuer de nous tuer."
Quant à Vazquez, il ne cherchait pas d'excuse. "J'ai effectué de mauvais tirs et j'imagine que Giles est tellement en forme qu'il voit la balle grosse comme un ballon de plage de ces temps-ci. Je voulais fermer la porte, je ne l'ai pas fait."
Robinson mentionnait qu'il croyait qu'il fallait maintenant permettre à Guerrero de relaxer un peu pour ménager son dos.
"Je l'ai déjà vu s'élancer avec plus de force, a-t-il dit. Je suis heureux de voir qu'il peut s'élancer de la sorte, mais il devra relaxer aussi. Nous aurons besoin de lui d'ici la fin pour produire des points."
Robinson était surtout inquiet de l'état de santé de Jose Vidro, utilisé comme frappeur suppléant, et de son releveur numéron un Rocky Biddle.
"C'est notre lot quotidien: une autre blessure", a dit Robinson.
Biddle s'est blessé au genou droit en tentant de capter un roulant de Rafael Furcal en neuvième. La balle s'est bfinalement retrouvée dans le territoire des fausses balles.
"C'est une blessure que je traîne depuis quelques semaines déjà, a dit Biddle. J'ai déjà été opéré à ce genou il y a cinq ans. J'ai même changé mes habitudes d'entraînement pour tenter d'éviter le pire.
"Je sais que je devrai y voir après la fin de la saison. Là je veux qu'on me traite pour me permettre d'aider cette équipe d'ici la fin."