"La survie des Expos dépendra du baseball majeur"
Baseball jeudi, 30 nov. 2000. 00:53 vendredi, 13 déc. 2024. 17:45
JONQUIÈRE (PC) - Jacques Ménard croit toujours aux possibilités d'un avenir long et intéressant pour les Expos à Montréal. Un peu à l'image de Jeffrey Loria, qui notait la semaine dernière que la survie de l'équipe ne dépend pas uniquement d'un stade bien rempli au centre-ville, Jacques Ménard estime cependant que le contenu de la prochaine convention collective du baseball majeur jouera un rôle majeur sur les chances de survie des équipes des petits marchés.
À ce niveau, il croit que le baseball a intérêt à imiter ce qui se passe dans d'autres sports, principalement dans la NFL.
"La survie des Expos dépendra en partie de la stratégie de M. Loria mais aussi en grande partie du baseball majeur, a mentionné Ménard, mercredi, dans une entrevue accordé au Quotidien lors de son passage au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Je pense que le baseball croit encore aux chances de Montréal et aux petits marchés et se démène pour faire en sorte qu'ils puissent survivre. C'est un peu dans ce sens que le commissaire Bud Selig faisait une intervention devant un comité du Congrès américain, il y a quelques jours.
"Dans la négociation de la prochaine convention collective se trouvera toute la question du partage des revenus et de l'équilibre qu'il faut restaurer entre les équipes pour que tous les partisans aient confiance que leur équipe a une véritable chance de gagner. En ce moment, il faut bien admettre que seulement sept ou huit équipes ont vraiment une chance. Pour la plupart des équipes de baseball, ce n'est pas sain. Même au plan financier, cela fait des mauvaises affaires."
À ce niveau, il croit que le baseball a intérêt à imiter ce qui se passe dans d'autres sports, principalement dans la NFL.
"La survie des Expos dépendra en partie de la stratégie de M. Loria mais aussi en grande partie du baseball majeur, a mentionné Ménard, mercredi, dans une entrevue accordé au Quotidien lors de son passage au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Je pense que le baseball croit encore aux chances de Montréal et aux petits marchés et se démène pour faire en sorte qu'ils puissent survivre. C'est un peu dans ce sens que le commissaire Bud Selig faisait une intervention devant un comité du Congrès américain, il y a quelques jours.
"Dans la négociation de la prochaine convention collective se trouvera toute la question du partage des revenus et de l'équilibre qu'il faut restaurer entre les équipes pour que tous les partisans aient confiance que leur équipe a une véritable chance de gagner. En ce moment, il faut bien admettre que seulement sept ou huit équipes ont vraiment une chance. Pour la plupart des équipes de baseball, ce n'est pas sain. Même au plan financier, cela fait des mauvaises affaires."