Alex Rodriguez un joueur fini, les Dodgers 14-0 à l'étranger, la lutte Tigers-Indians et le duo Pettitte-Sabathia ordinaire
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 21:44 lundi, 5 août 2013. 15:25À 38 ans, Alex Rodriguez est-il un joueur fini ?
Le joueur des Yankees a été ordinaire depuis 2011 ans
Avec son rendement depuis 2011, il est difficile de croire que le troisième-but Alex Rodriguez, des Yankees de New York puisse redevenir la terreur des lanceurs adverses, lui qui est vraiment sur la pente descendante.
En effet, après avoir présenté une moyenne de ,370 avec 30 circuits et 125 points produits en 137 matchs en 2010, le talentueux mais controversé joueur n’a pu faire mieux qu’une moyenne de ,276 avec seulement 16 circuits et 62 points produits en 99 matchs en 2011 et une moyenne de ,272 avec 18 circuits et seulement 57 points produits en 122 matchs l’an dernier.
Il est vrai qu’il fut blessé souvent depuis quelques saisons et la présente campagne ne fait pas exception à la règle, car il a raté les 110 premiers matchs des Yankees et pourrait prendre part à son premier match, face aux White Sox de Chicago, au U.S. Cellular Field en ce lundi, 5 août 2013.
En carrière, Rodriguez, qui a eu 38 ans le 27 juillet, a une moyenne de ,300 sur le nez, ayant réussi 647 circuits, 318 buts volés et 1950 points produits en 2524 rencontres, lui qui a endossé l’uniforme des Mariners de Seattle, des Rangers du Texas et des Yankees de New York.
N’oublions pas qu’il possède un contrat qui est encore valide pour cinq ans, qui devrait lui rapporter plus de 100 millions de dollars.
Que réserve l’avenir à ce joueur impliqué dans le scandale du dopage du baseball majeur ?
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La séquence de 14 gains de suite à l’étranger des Dodgers de Los Angeles
Le record de la Ligue nationale est de 17 gains de suite, par les Giants de New York en 1916
Les Dodgers visitent les puissants Cardinals de St. Louis
En ce lundi, 5 août 2013, il sera intéressant de suivre le match entre les Dodgers de Los Angeles contre les Cardinals de St. Louis, au Busch Stadium.
Les Dodgers, qui viennent de remporter 14 gains de suite à l’étranger (une nouvelle marque d’équipe), pourraient s’approcher du record de l’histoire de l Ligue nationale qui est de 17 gains de suite et qui a été réalisé par les Giants de New York, du 9 au 29 mai 1916.
Le dernier revers des Dodgers sur un terrain adverse remonte au 6 juillet, alors qu’ils avaient baissé pavillon 4–2, face aux Giants de San Francisco, au AT&T Park.
Depuis, ils ont triomphé une fois à San Francisco, trois fois contre les Diamondbacks de l’Arizona, trois fois contre les Nationals de Washington, trois fois contre les Blue Jays de Toronto et quatre fois contre les Cubs de Chicago.
Ils amorcent ce soir une série de quatre matchs contre les Cardinals de St. Louis et ils devront balayer cette série pour établir une nouvelle marque de la Ligue nationale.
Voici la séquence de 14 gains de suite à l’étranger des Dodgers de Los Angeles :
6 juillet 2013-Los Angeles 2 à San Francisco 4 (dernier revers)
7 juillet 2013-Los Angeles 4 à San Francisco 1
8 juillet 2013-Los Angeles 6 en Arizona 1
9 juillet 2013-Los Angeles 6 en Arizona 1
10 juillet 2013-Los Angeles 7 en Arizona 5 (14 manches)
19 juillet 2013-Los Angeles 3 à Washington 2
20 juillet 2013-Los Angeles 3 à Washington 1 (10 manches)
21 juillet 2013-Los Angeles 9 à Washington 2
22 juillet 2013-Los Angeles 14 à Toronto 5
23 juillet 2013-Los Angeles 10 à Toronto 9
24 juillet 2013-Los Angeles 8 à Toronto 3 (10 manches)
1 août 2013-Los Angeles 6 à Chicago 4
2 août 2013-Los Angeles 6 à Chicago 2
3 août 2013-Los Angeles 3 à Chicago 0
4 août 2013-Los Angeles 1 à Chicago 0
5 août 2013-Los Angeles à St. Louis
6 août 2013-Los Angeles à St. Louis
7 août 2013-Los Angeles à St. Louis
8 août 2013-Los Angeles à St. Louis
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Une série capitale entre les Tigers de Detroit et les Indians de Cleveland
Les deux équipes luttent pour le premier rang de la section Centrale de l’Américaine
C’est une série très importante de quatre matchs qui débute aujourd’hui entre les Tigers de Detroit et les Indians de Cleveland, au Progressive Field, car ces deux équipes se livrent une très chaude lutte pour le championnat de la section Centrale de la Ligue américaine.
En effet, la formation dirigée par Jim Leyland, qui a remporté le titre de cette section dans les deux dernières saisons, affiche un dossier de 64–45 en 109 matchs, alors qu’à la surprise de plusieurs, la troupe de Terry Francona connaît une excellente saison, comme l’indique son rendement de 62–49 en 111 matchs, elle qui se retrouve avec un mince retard de 3,0 matchs sur les Tigers.
Les Indians, qui avaient connu une fin de saison misérable en 2012, semblent vouloir tenir le coup cette année, eux qui ont une fiche de 37–19 en 56 matchs devant leurs partisans, l’une des meilleures des majeures.
Actuellement, les deux équipes vont très bien, car elles affichent un dossier identique de 10–1 lors de leurs 11 dernières rencontres et les Tigers viennent de signer huit gains de suite.
Les Tigers ont outrageusement dominé les Indians dans les 12 matchs cette saison
En cette saison 2013, on peut dire que les Tigers ont vraiment dominé les Indians, car ils ont un rendement de 9–3 (,750) lors des 12 premières rencontres, les surclassant 78–48 (plus 30) au chapitre des points marqués-concédés.
Encore plus, les Tigers ont une fiche de 5–1 dans les six matchs disputés sur le terrain des Indians comparativement à un dossier de 4–2 dans les six matchs qui ont eu lieu au Comerica Park.
Soulignons que cette fiche est vraiment différente sur celle de l’an dernier, car les Tigers, même s’ils avaient remporté le championnat de leur section, n’avaient pu faire mieux qu’un rendement de 8–10 en 18 matchs contre les Indians, dont 3–6 dans les neuf matchs disputés à Cleveland.
S’ils veulent devancer les Tigers pour le titre de leur section, les Indians ne peuvent pas se permettre de perdre cette série de quatre matchs, mais ils ont aussi la chance de lutter pour une place dans les séries éliminatoires en étant dans la lutte pour les deux autres places disponibles.
Les Tigers ne faciliteront pas la tâche des Indians, car ils auront leurs quatre meilleurs lanceurs lors de cette série, Anibal Sanchez (9–7 et moyenne de 2,59), Justin Verlander (11–8 et moyenne de 3,88), Doug Fister (10–5 et moyenne de 3,52) et Max Scherzer (16–1 et moyenne de 2,85), qui seront au monticule respectivement, de lundi à jeudi.
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Chez les Yankees de NY, Andy Pettitte (7-8) et C.C. Sabathia (9-10) ont des fiches perdantes
Ils ne lancent pas bien, même si l’équipe ne marque pas beaucoup de points
En cette saison 2013, on va retenir que les Yankees de New York ont été la formation la plus touchée par les blessures à des joueurs importants, mais cela n’explique pas le rendement ordinaire des vétérans lanceurs gauchers Andy Pettitte et C.C. Sabathia.
En effet, ces deux excellents lanceurs ont une fiche perdante, Pettitte affichant un dossier de 7–8 avec une haute moyenne de 4,28 en 19 rencontres, alors que Sabathia (il a eu 33 ans le 21 juillet), qui a connu plusieurs mauvais matchs, présente une fiche de 9–10 avec une très haute moyenne de 4,78 en 23 départs, lui qui a concédé pas moins de 24 circuits en 152,2 manches.
Cela fait un dossier combiné de 16–18 avec une moyenne de 4,56 en 42 matchs pour ces deux vétérans, sans oublier que Phil Hughes, qui devait être un bon partant, se retrouve avec une fiche de 4–10 et une moyenne de 4,87 en 21 départs, rien pour aider la formation dirigée par Joe Girardi.
Depuis le match des étoiles, Sabathia a un dossier de 0–2 avec une monstrueuse moyenne de 10,91 en trois matchs, ayant concédé pas moins de 19 points mérités en seulement 15,2 manches, alors que Pettitte, qui a eu 41 ans le 15 juin dernier, a une fiche de 0–2 avec une moyenne de 3,72 en trois matchs, lui qui n’a reçu que cinq maigres points de l’attaque de son équipe.
Soulignons que cette saison, Pettite a atteint le plateau des 250 gains (le 8 juin contre les Mariners de Seattle), lui dont la fiche à vie est de 252–150 avec une moyenne de 3,87 en 520 rencontres, alors que Sabathia a récolté la 200e victoire de sa carrière (le 3 juillet contre les Twins du Minnesota), lui qui est 200–112 avec une moyenne de 3,57 en 406 matchs à vie.
Pettitte, qui tentera de secouer sa guigne, sera confronté aux misérables White Sox de Chicago (40–69 en 109 matchs), une formation qui vient de subir 10 défaites consécutives et contre laquelle il a une fiche à vie de 11–9 avec une moyenne de 4,41 en 24 matchs, dont un piètre rendement de 3–7 avec une astronomique moyenne de 6,30 en 12 matchs au U.S. Cellular Field.
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