Les Brewers soutiennent Gagné
Baseball mercredi, 19 déc. 2007. 12:27 samedi, 14 déc. 2024. 18:29
Les Brewers de Milwaukee n'ont pas l'intention d'imposer des sanctions au releveur Éric Gagné, lui dont le nom est cité dans le rapport Mitchell. C'est ce que rapporte le Milwaukee Journal-Sentinel.
Le directeur général des Brewers, Doug Melvin, a aussi indiqué au quotidien que l'équipe n'a aucunement l'intention d'annuler le récent contrat d'une saison, d'une valeur de 10 millions de dollars, accordé au Québécois, entente qui a été signée seulement trois jours avant le dévoilement du rapport.
Melvin s'attend aussi à ce que Gagné s'explique au sujet des allégations qui se trouvent dans le rapport Mitchell, mais ne sait pas quand.
« J'ai discuté avec son agent (Scott Boras) et je crois qu'il s'adressera aux médias éventuellement. »
Dans le rapport Mitchell, on fait état que Gagné s'est procuré des hormones de croissance d'un ancien employé des Mets, Kirk Radmoski. Deux envois auraient été faits au releveur.
L'usage d'hormones de croissance n'était pas contre les règles du baseball majeur en 2004, soit l'année où ont eu lieu les envois. Toutefois, l'utilisation d'hormones de croissance sans prescription est illégale aux États-Unis.
Le directeur général des Brewers, Doug Melvin, a aussi indiqué au quotidien que l'équipe n'a aucunement l'intention d'annuler le récent contrat d'une saison, d'une valeur de 10 millions de dollars, accordé au Québécois, entente qui a été signée seulement trois jours avant le dévoilement du rapport.
Melvin s'attend aussi à ce que Gagné s'explique au sujet des allégations qui se trouvent dans le rapport Mitchell, mais ne sait pas quand.
« J'ai discuté avec son agent (Scott Boras) et je crois qu'il s'adressera aux médias éventuellement. »
Dans le rapport Mitchell, on fait état que Gagné s'est procuré des hormones de croissance d'un ancien employé des Mets, Kirk Radmoski. Deux envois auraient été faits au releveur.
L'usage d'hormones de croissance n'était pas contre les règles du baseball majeur en 2004, soit l'année où ont eu lieu les envois. Toutefois, l'utilisation d'hormones de croissance sans prescription est illégale aux États-Unis.