Webb au sommet de son art en Arizona
Baseball vendredi, 16 mai 2008. 20:42 mercredi, 11 déc. 2024. 10:34
PHOENIX - Brandon Webb connaît une autre séquence heureuse.
L'année dernière, il avait blanchi les frappeurs adverses pendant 42 manches d'affilée. Cette année, l'as lanceur des Diamondbacks de l'Arizona a remporté ses neuf premiers départs.
C'est une belle réussite. Mais Webb, un Kentuckien décontracté qui se relaxe entre ses départs en jouant de la guitare dans le vestiaire, n'en fait pas une grosse affaire.
"Je n'ai rien accompli que j'estime incroyable", a confié Webb, qui a poursuivi sa séquence avec une victoire de 8-5 contre les Rockies du Colorado, jeudi soir.
"Maintenant si je parvenais à lancer pendant neuf manches sans avoir besoin d'aide et à avoir le sentiment que je domine totalement chaque équipe, alors je me dirais, 'c'est très bien.' Mais j'ai obtenu l'aide de l'enclos des releveurs et l'offensive m'a procuré des points, et ça aide beaucoup."
Avant leur match de vendredi, les Diamondbacks avaient un dossier de 26-15, le meilleur des ligues majeures. Quel est le rôle de Webb dans leurs succès? Qu'il suffise de dire que le reste du personnel de lanceurs a un dossier combiné de 17-15.
Webb, un spécialiste de la balle tombante, est devenu un émule de Randy Johnson - un lanceur fiable comme le lever du soleil au-dessus des Superstitions Mountains de l'Arizona. Johnson avait connu le précédent meilleur début de saison pour un lanceur des Diamondbacks, savourant la victoire à ses sept premiers départs en 2000. Aujourd'hui âgé de 44 ans, Johnson revient à la suite d'une opération au dos et il peine souvent à franchir le cap de cinq manches.
Webb a pris la relève de Johnson à titre de lanceur dominant de l'équipe.
"Ce que Brandon continue de faire est vraiment phénoménal. On le voit s'améliorer sans cesse", a mentionné le gérant des Diamondbacks, Bob Melvin.
En plus de son dossier de 9-0, Webb affiche une moyenne de 2,56 et il a alloué seulement 46 coups sûrs en 63 manches et un tiers. Il a retiré 49 frappeurs au bâton, un sommet d'équipe, accordé 17 buts sur balles et il a cédé seulement deux circuits.
Webb en a fait du chemin depuis 2004, lorsqu'il a mené la ligue avec 16 défaites, 119 buts sur balles et 17 mauvais lancers. A cette époque, Webb tentait de retirer chaque frappeur au bâton parce qu'il ne faisait pas confiance à sa défensive.
"Les gens me disent, 'Que fais-tu de différent de 2004?', a souligné Webb. Rien. Je fais exactement les mêmes choses."
Pas tout à fait. Webb a modifié son approche depuis la saison de misère de 2004, quand les Diamondbacks ont perdu 111 matches.
En 2005, les Diamondbacks ont consolidé leur champ intérieur avec Craig Counsell et Royce Clayton. Webb a commencé à obtenir plus de prises avec sa balle tombante, permettant aux frappeurs de cogner la balle au sol.
Ces dernières années, il a ajouté une balle courbe et un changement de vitesse, confondant ainsi les frappeurs. Il a remporté le trophée Cy Young dans la Ligue nationale en 2006 et il a terminé deuxième derrière Jake Peavy des Padres de Sas Diego l'année dernière.
L'année dernière, il avait blanchi les frappeurs adverses pendant 42 manches d'affilée. Cette année, l'as lanceur des Diamondbacks de l'Arizona a remporté ses neuf premiers départs.
C'est une belle réussite. Mais Webb, un Kentuckien décontracté qui se relaxe entre ses départs en jouant de la guitare dans le vestiaire, n'en fait pas une grosse affaire.
"Je n'ai rien accompli que j'estime incroyable", a confié Webb, qui a poursuivi sa séquence avec une victoire de 8-5 contre les Rockies du Colorado, jeudi soir.
"Maintenant si je parvenais à lancer pendant neuf manches sans avoir besoin d'aide et à avoir le sentiment que je domine totalement chaque équipe, alors je me dirais, 'c'est très bien.' Mais j'ai obtenu l'aide de l'enclos des releveurs et l'offensive m'a procuré des points, et ça aide beaucoup."
Avant leur match de vendredi, les Diamondbacks avaient un dossier de 26-15, le meilleur des ligues majeures. Quel est le rôle de Webb dans leurs succès? Qu'il suffise de dire que le reste du personnel de lanceurs a un dossier combiné de 17-15.
Webb, un spécialiste de la balle tombante, est devenu un émule de Randy Johnson - un lanceur fiable comme le lever du soleil au-dessus des Superstitions Mountains de l'Arizona. Johnson avait connu le précédent meilleur début de saison pour un lanceur des Diamondbacks, savourant la victoire à ses sept premiers départs en 2000. Aujourd'hui âgé de 44 ans, Johnson revient à la suite d'une opération au dos et il peine souvent à franchir le cap de cinq manches.
Webb a pris la relève de Johnson à titre de lanceur dominant de l'équipe.
"Ce que Brandon continue de faire est vraiment phénoménal. On le voit s'améliorer sans cesse", a mentionné le gérant des Diamondbacks, Bob Melvin.
En plus de son dossier de 9-0, Webb affiche une moyenne de 2,56 et il a alloué seulement 46 coups sûrs en 63 manches et un tiers. Il a retiré 49 frappeurs au bâton, un sommet d'équipe, accordé 17 buts sur balles et il a cédé seulement deux circuits.
Webb en a fait du chemin depuis 2004, lorsqu'il a mené la ligue avec 16 défaites, 119 buts sur balles et 17 mauvais lancers. A cette époque, Webb tentait de retirer chaque frappeur au bâton parce qu'il ne faisait pas confiance à sa défensive.
"Les gens me disent, 'Que fais-tu de différent de 2004?', a souligné Webb. Rien. Je fais exactement les mêmes choses."
Pas tout à fait. Webb a modifié son approche depuis la saison de misère de 2004, quand les Diamondbacks ont perdu 111 matches.
En 2005, les Diamondbacks ont consolidé leur champ intérieur avec Craig Counsell et Royce Clayton. Webb a commencé à obtenir plus de prises avec sa balle tombante, permettant aux frappeurs de cogner la balle au sol.
Ces dernières années, il a ajouté une balle courbe et un changement de vitesse, confondant ainsi les frappeurs. Il a remporté le trophée Cy Young dans la Ligue nationale en 2006 et il a terminé deuxième derrière Jake Peavy des Padres de Sas Diego l'année dernière.
