"Nous n'avons pas eu de très bonnes présences à la plaque"
Baseball vendredi, 3 sept. 2004. 22:52 vendredi, 13 déc. 2024. 03:58
MONTREAL (PC) - Frank Robinson a reconnu que ce fut un de ces soirs où les chances de gagner étaient bien minces.
"Quand votre attaque est inexistante et que vous ne réalisez pas de grands jeux en défensive", c'est très difficile, a-t-il expliqué. "Nous n'avons pas eu de très bonnes présences à la plaque. Quand c'est le cas, on n'y peut rien."
Robinson a décidé d'accorder une chance véritable à Scott Downs d'ici la fin de la saison. Il n'allait pas dénigrer le travail du gaucher. Il veut qu'il retrouve sa confiance et tous ses moyens.
"Downs a été passablement solide pendant six manches, a dit Robinson. Il a limité les dégâts. Nous n'avons pas été capables de fermer la porte en septième."
Quant à Downs, il croyait lui aussi ne pas avoir si mal fait.
"Sur le circuit de Marrero, je lui ai servi une balle tombante à l'extérieur. C'était, à mon avis, un bon lancer.
"En début de saison, rien ne fonctionnait pour les Braves. Mais là, ils ont le vent dans les voiles, tout leur réussit. Chacun des joueurs de la formation peut vous battre. Quand cela se produit et qu'ils ont au monticule un gars qui lance comme Byrd l'a fait ce soir, ils ont de bonnes chances de l'emporter.
"Je pense que je n'ai pas mal fait. En troisième, et même en septième, ce sont des roulants qui ont percé l'avant-champ (ceux de Rafael Furcal et Marcus Giles) qui m'ont causé des ennuis. Je n'étais pas fatigué en septième, mais je comprenais la situation. Nous étions encore dans le match et nous pouvions nous en tirer."
Le joueur d'inter Alex Gonzalez a obtenu un des quatre coups sûrs des Expos face à Paul Byrd quand il a récolté un simple dans la gauche en deuxième, un roulant qui a percé l'avant-champ.
"Byrd a bien lancé, a-t-il dit. Il avait un plan de match et l'a suivi à la lettre. C'est la raison pour laquelle il nous a gardés hors d'équilibre pendant tout le match.
"Il a une bonne glissante, mais il a aussi cette rapide qui file vers l'intérieur. Nous avions besoin de placer des coureurs sur les buts pour l'ébranler un peu, mais nous ne l'avons pas fait."
"Quand votre attaque est inexistante et que vous ne réalisez pas de grands jeux en défensive", c'est très difficile, a-t-il expliqué. "Nous n'avons pas eu de très bonnes présences à la plaque. Quand c'est le cas, on n'y peut rien."
Robinson a décidé d'accorder une chance véritable à Scott Downs d'ici la fin de la saison. Il n'allait pas dénigrer le travail du gaucher. Il veut qu'il retrouve sa confiance et tous ses moyens.
"Downs a été passablement solide pendant six manches, a dit Robinson. Il a limité les dégâts. Nous n'avons pas été capables de fermer la porte en septième."
Quant à Downs, il croyait lui aussi ne pas avoir si mal fait.
"Sur le circuit de Marrero, je lui ai servi une balle tombante à l'extérieur. C'était, à mon avis, un bon lancer.
"En début de saison, rien ne fonctionnait pour les Braves. Mais là, ils ont le vent dans les voiles, tout leur réussit. Chacun des joueurs de la formation peut vous battre. Quand cela se produit et qu'ils ont au monticule un gars qui lance comme Byrd l'a fait ce soir, ils ont de bonnes chances de l'emporter.
"Je pense que je n'ai pas mal fait. En troisième, et même en septième, ce sont des roulants qui ont percé l'avant-champ (ceux de Rafael Furcal et Marcus Giles) qui m'ont causé des ennuis. Je n'étais pas fatigué en septième, mais je comprenais la situation. Nous étions encore dans le match et nous pouvions nous en tirer."
Le joueur d'inter Alex Gonzalez a obtenu un des quatre coups sûrs des Expos face à Paul Byrd quand il a récolté un simple dans la gauche en deuxième, un roulant qui a percé l'avant-champ.
"Byrd a bien lancé, a-t-il dit. Il avait un plan de match et l'a suivi à la lettre. C'est la raison pour laquelle il nous a gardés hors d'équilibre pendant tout le match.
"Il a une bonne glissante, mais il a aussi cette rapide qui file vers l'intérieur. Nous avions besoin de placer des coureurs sur les buts pour l'ébranler un peu, mais nous ne l'avons pas fait."