"On avait besoin de cette victoire"
Baseball jeudi, 18 juil. 2002. 20:14 vendredi, 13 déc. 2024. 12:24
MONTREAL (PC) - Les Expos ont la bonne pointure avec Bartolo Colon. Ils avaient besoin d'une victoire pour terminer leur séjour de huit matchs et ils ne pouvaient avoir meilleur homme au monticule.
Infatigable, Colon a effectué 134 lancers pour réaliser un deuxième match complet de suite. Il a limité les Mets à un point malgré 13 coups sûrs, concédé deux buts sur balles et enregistré quatre retraits au bâton.
"On avait besoin de cette victoire autant qu'un homme avec un pied malade a besoin d'un soulier mou", a signalé Frank Robinson.
"On a eu des difficultés durant notre séjour alors qu'on avait bien joué à domicile jusqu'à présent et on est maintenant en mesure d'entreprendre notre voyage avec une attitude positive, a-t-il ajouté. On a eu de la difficulté à l'étranger cette saison. Il faut espérer qu'on pourra renverser la vapeur."
Les Mets ont rempli les sentiers lors des deux dernières manches, mais Colon a résisté pour remporter sa troisième victoire en quatre départs avec les Expos. Il a puisé dans ses réserves pour mettre fin à la huitième en retirant Rey Ordonez au bâton avec une super-rapide.
"Ordonez est un des meilleurs frappeurs de balle rapide dans le baseball et j'étais un peu nerveux en voyant que Colon tenait à lancer une rapide, a expliqué Michael Barrett. Mais quand on a une rapide de 99 milles à l'heure, il faut croire qu'on peut se permettre ça..."
Colon, qui totalise 13 victoires avec ses 10 victoires avec les Indians, est devenu le premier lanceur des Expos depuis trois ans à réaliser deux matchs complets de suite. Javier Vazquez avait réalisé l'exploit contre les Pirates de Pittsburgh et les Cubs de Chicago, les 23 et 28 juillet 1999.
T.J. Tucker était prêt dans l'enclos lors des deux dernières manches, mais Robinson n'a pas eu besoin de faire appel à lui.
"Je me sens bien. Je n'ai aucun problème, a dit Colon par le biais de Manny Acta, qui agissait comme interprète. Le seul moment où j'ai ressenti la fatigue, c'est en septième."
A-t-il déjà totalisé plus de 134 lancers?
"En 1999, j'avais effectué 139 lancers contre les Yankees", a-t-il précisé.
En ce qui concerne le retrait au bâton d'Ordonez, Colon a dit: "Ce fut un moment vraiment émotif. Je ne cherchais pas à le retirer au bâton. Je voulais simplement obtenir un retrait."
Les Expos ont réalisé quelques beaux jeux pour appuyer Colon, mais ils étaient chancelants en défensive au début du match.
"Je ne porte vraiment pas attention à cela, a dit Colon. Il y a de bons jours et de mauvais jours."
Wil Cordero et Vladimir Guerrero ont produit les deux points à l'aide de circuits en solo tandis que Jose Vidro et Fernando Tatis, entre autres, ont réalisé de belles pièces défensives.
"On a fait un peu de tout et c'est pourquoi on a remporté la victoire", a noté Robinson.
Il s'agissait du 107e circuit de Guerrero au Stade olympique, ce qui lui a permis de dépasser Gary Carter pour le plus grand nombre de circuits par un joueur au Stade olympique.
Robinson nie
D'autre part, Frank Robinson a nié l'information d'un journal de New York selon laquelle il s'apprêtait à remettre sa démission, lundi soir, mais que le directeur général Omar Minaya l'a convaincu de ne pas le faire.
"Personne ne me convainc de faire quoi que ce soit, a affirmé Robinson. Je prends mes propres décisions."
Infatigable, Colon a effectué 134 lancers pour réaliser un deuxième match complet de suite. Il a limité les Mets à un point malgré 13 coups sûrs, concédé deux buts sur balles et enregistré quatre retraits au bâton.
"On avait besoin de cette victoire autant qu'un homme avec un pied malade a besoin d'un soulier mou", a signalé Frank Robinson.
"On a eu des difficultés durant notre séjour alors qu'on avait bien joué à domicile jusqu'à présent et on est maintenant en mesure d'entreprendre notre voyage avec une attitude positive, a-t-il ajouté. On a eu de la difficulté à l'étranger cette saison. Il faut espérer qu'on pourra renverser la vapeur."
Les Mets ont rempli les sentiers lors des deux dernières manches, mais Colon a résisté pour remporter sa troisième victoire en quatre départs avec les Expos. Il a puisé dans ses réserves pour mettre fin à la huitième en retirant Rey Ordonez au bâton avec une super-rapide.
"Ordonez est un des meilleurs frappeurs de balle rapide dans le baseball et j'étais un peu nerveux en voyant que Colon tenait à lancer une rapide, a expliqué Michael Barrett. Mais quand on a une rapide de 99 milles à l'heure, il faut croire qu'on peut se permettre ça..."
Colon, qui totalise 13 victoires avec ses 10 victoires avec les Indians, est devenu le premier lanceur des Expos depuis trois ans à réaliser deux matchs complets de suite. Javier Vazquez avait réalisé l'exploit contre les Pirates de Pittsburgh et les Cubs de Chicago, les 23 et 28 juillet 1999.
T.J. Tucker était prêt dans l'enclos lors des deux dernières manches, mais Robinson n'a pas eu besoin de faire appel à lui.
"Je me sens bien. Je n'ai aucun problème, a dit Colon par le biais de Manny Acta, qui agissait comme interprète. Le seul moment où j'ai ressenti la fatigue, c'est en septième."
A-t-il déjà totalisé plus de 134 lancers?
"En 1999, j'avais effectué 139 lancers contre les Yankees", a-t-il précisé.
En ce qui concerne le retrait au bâton d'Ordonez, Colon a dit: "Ce fut un moment vraiment émotif. Je ne cherchais pas à le retirer au bâton. Je voulais simplement obtenir un retrait."
Les Expos ont réalisé quelques beaux jeux pour appuyer Colon, mais ils étaient chancelants en défensive au début du match.
"Je ne porte vraiment pas attention à cela, a dit Colon. Il y a de bons jours et de mauvais jours."
Wil Cordero et Vladimir Guerrero ont produit les deux points à l'aide de circuits en solo tandis que Jose Vidro et Fernando Tatis, entre autres, ont réalisé de belles pièces défensives.
"On a fait un peu de tout et c'est pourquoi on a remporté la victoire", a noté Robinson.
Il s'agissait du 107e circuit de Guerrero au Stade olympique, ce qui lui a permis de dépasser Gary Carter pour le plus grand nombre de circuits par un joueur au Stade olympique.
Robinson nie
D'autre part, Frank Robinson a nié l'information d'un journal de New York selon laquelle il s'apprêtait à remettre sa démission, lundi soir, mais que le directeur général Omar Minaya l'a convaincu de ne pas le faire.
"Personne ne me convainc de faire quoi que ce soit, a affirmé Robinson. Je prends mes propres décisions."