"Si les Expos partent, je me sentirai comme un homme sans patrie"
Baseball lundi, 10 déc. 2001. 18:28 vendredi, 13 déc. 2024. 17:47
(PC) - Bill Stoneman a été un des premiers héros de l'histoire des Expos quand ils étaient toujours «Nos Amours». Auteur de deux matches sans point ni coup sûr, Stoneman a été un des meilleurs éléments des premières années des Expos. Il est littéralement tombé en amour avec Montréal. Bien implanté dans la communauté, il a même marié une Montréalaise.
Il a ensuite travaillé longtemps au sein du bureau de direction de l'équipe, accédant même au poste de vice-président.
Il admet qu'il est secoué quand il entend parler de dissolution et surtout quand le nom des Expos y est associé. «C'est sûr que mon coeur sera toujours avec les Expos», a dit Stoneman, qui est maintenant directeur général des Angels d'Anaheim.
«J'ai tellement de souvenirs de cette équipe du temps où j'étais joueur et du temps où je travaillais dans le bureau. Une partie de moi sera toujours là. En fait, plusieurs membres de ma famille habitent toujours Montréal.»
Si les Expos disparaissent, Stoneman, qui a quitté l'équipe juste à temps semble-t-il pour éviter les grands bouleversements des dernières années, sera peiné.
«Je me sentirai comme un homme sans patrie, comme un homme dont le pays a été rayé de la carte.» En fait, Stoneman ne veut même pas penser à ce qui se produirait si les Expos et une autre équipe étaient dissoutes.
«Je ne peux pas penser à une séance de repêchage», par exemple. «Je dois travailler avec ce que j'ai sous la main», dit-il. «Je veux améliorer mon équipe. J'ai discuté avec des joueurs autonomes, je discute avec d'autres équipes au sujet de transaction. Je ne peux rien faire de plus.»
Il a ensuite travaillé longtemps au sein du bureau de direction de l'équipe, accédant même au poste de vice-président.
Il admet qu'il est secoué quand il entend parler de dissolution et surtout quand le nom des Expos y est associé. «C'est sûr que mon coeur sera toujours avec les Expos», a dit Stoneman, qui est maintenant directeur général des Angels d'Anaheim.
«J'ai tellement de souvenirs de cette équipe du temps où j'étais joueur et du temps où je travaillais dans le bureau. Une partie de moi sera toujours là. En fait, plusieurs membres de ma famille habitent toujours Montréal.»
Si les Expos disparaissent, Stoneman, qui a quitté l'équipe juste à temps semble-t-il pour éviter les grands bouleversements des dernières années, sera peiné.
«Je me sentirai comme un homme sans patrie, comme un homme dont le pays a été rayé de la carte.» En fait, Stoneman ne veut même pas penser à ce qui se produirait si les Expos et une autre équipe étaient dissoutes.
«Je ne peux pas penser à une séance de repêchage», par exemple. «Je dois travailler avec ce que j'ai sous la main», dit-il. «Je veux améliorer mon équipe. J'ai discuté avec des joueurs autonomes, je discute avec d'autres équipes au sujet de transaction. Je ne peux rien faire de plus.»