"Toute ma vie, j'ai voulu être un 'closer'"
Baseball mardi, 19 mars 2002. 18:17 samedi, 14 déc. 2024. 17:41
PORT ST. LUCIE, Floride (PC) - Scott Strickland travaille avec l'instructeur Dick Pole depuis quelque temps déjà et il a maintenant une arme secrète. "J'ai toujours eu quelques difficultés contre les frappeurs gauchers. Mais mon attitude est différente cette année. Je ne vous dévoilerai certes pas mon secret."
Strickland, qui a lancé en première manche du match de mardi que les Expos ont gagné 4-2 face aux Mets de New York, bataille avec quelques autres candidats pour le poste de releveur numéro un chez les Expos.
"Toute ma vie, j'ai voulu être un 'closer'. J'attends ce jour depuis si longtemps, a dit Strickland. J'aime ce rôle. C'est en fin de match que tout se passe. On a la chance d'être un héros ou un zéro."
Strickland sait que Frank Robinson n'a pas encore pris de décision quant à la composition finale de son enclos des releveurs. Il veut lui montrer qu'il mérite le poste.
"Je pense que le poste est ouvert, a dit Strickland. On ne me le donnera pas. Il faut que je montre au gérant que je veux le poste et que je le mérite. Il faut travailler fort pour avoir ce poste et croyez-moi, je l'ai fait. Je ne suis pas vraiment un releveur de 'situation'. Comme 'closer', je dois être capable de retirer autant les gauchers que les droitiers."
Brian Schneider a claqué son premier circuit du camp en quatrième manche, a obtenu deux coups sûrs en quatre présences et a harponné Roger Cedeno en tentative de vol dès la manche initiale. Il a sa place au sein de l'équipe.
Après le match, il avait des ecchymoses partout, résultat de quelques fausses balles.
Mais son patron était satisfait de son travail.
"Nous avons deux bons receveurs maintenant en Michael Barrett et Schneider, a dit Frank Robinson. Schneider travaille bien derrière le marbre, il a un bon bras et il s'élance bien."
Schneider, lui, ne voulait pas s'emballer.
"Ca fait plaisir d'entendre dire que le gérant nous a déjà choisi, a dit Schneider. Mais cela m'indique qu'il me faut travailler encore plus fort. Je ne veux rien prendre pour acquis."
Peter Bergeron a connu un de ses meilleurs matches avec deux coups sûrs en trois présences, dont un au champ intérieur.
"Nous travaillons fort avec Bergeron pour qu'il puisse se servir de sa grande rapidité. Nous voulons qu'il frappe la balle en flèche, au sol également, a dit Robinson. S'il se met à frapper comme cela, il met beaucoup de pression sur la défensive. Et s'il frappe au sol, il obtiendra sa part de coups sûrs à l'avant-champ."
Andres Galarraga, avec un simple en septième contre le releveur numéro un des Mets, Armando Benitez, et Tomas De La Rosa ont produit les autres points des Expos. L'autre a été le résultat d'une erreur de Rey Ordonez.
Jeromy Burnitz a claqué un circuit en solo contre le Cubain Osvaldo Fernandez en deuxième manche. L'autre point des Mets a été produit par un simple de Jack McEwing en huitième contre Joey Eischen, qui a connu une manche passablement difficile. Les Mets ont d'ailleurs laissé trois coureurs sur les sentiers en huitième. Ils l'ont fait également en neuvième contre Darwin Cubillan.
Le directeur général Omar Minaya a assisté au match. Il a bien aimé ce qu'il a vu.
"Nous approchons de la fin et les deux équipes ont utilisé beaucoup de joueurs réguliers, a dit Minaya. Le match a été disputé avec beaucoup plus d'intensité, à un niveau différent des derniers matches."
Minaya, qui était auparavant directeur adjoint avec les Mets, a apprécié le solide coup sûr au centre de Galarraga, son premier du camp.
"Ce fut un coup sûr important pour Galarraga, surtout qu'il a été réussi contre Benitez.
Strickland, qui a lancé en première manche du match de mardi que les Expos ont gagné 4-2 face aux Mets de New York, bataille avec quelques autres candidats pour le poste de releveur numéro un chez les Expos.
"Toute ma vie, j'ai voulu être un 'closer'. J'attends ce jour depuis si longtemps, a dit Strickland. J'aime ce rôle. C'est en fin de match que tout se passe. On a la chance d'être un héros ou un zéro."
Strickland sait que Frank Robinson n'a pas encore pris de décision quant à la composition finale de son enclos des releveurs. Il veut lui montrer qu'il mérite le poste.
"Je pense que le poste est ouvert, a dit Strickland. On ne me le donnera pas. Il faut que je montre au gérant que je veux le poste et que je le mérite. Il faut travailler fort pour avoir ce poste et croyez-moi, je l'ai fait. Je ne suis pas vraiment un releveur de 'situation'. Comme 'closer', je dois être capable de retirer autant les gauchers que les droitiers."
Brian Schneider a claqué son premier circuit du camp en quatrième manche, a obtenu deux coups sûrs en quatre présences et a harponné Roger Cedeno en tentative de vol dès la manche initiale. Il a sa place au sein de l'équipe.
Après le match, il avait des ecchymoses partout, résultat de quelques fausses balles.
Mais son patron était satisfait de son travail.
"Nous avons deux bons receveurs maintenant en Michael Barrett et Schneider, a dit Frank Robinson. Schneider travaille bien derrière le marbre, il a un bon bras et il s'élance bien."
Schneider, lui, ne voulait pas s'emballer.
"Ca fait plaisir d'entendre dire que le gérant nous a déjà choisi, a dit Schneider. Mais cela m'indique qu'il me faut travailler encore plus fort. Je ne veux rien prendre pour acquis."
Peter Bergeron a connu un de ses meilleurs matches avec deux coups sûrs en trois présences, dont un au champ intérieur.
"Nous travaillons fort avec Bergeron pour qu'il puisse se servir de sa grande rapidité. Nous voulons qu'il frappe la balle en flèche, au sol également, a dit Robinson. S'il se met à frapper comme cela, il met beaucoup de pression sur la défensive. Et s'il frappe au sol, il obtiendra sa part de coups sûrs à l'avant-champ."
Andres Galarraga, avec un simple en septième contre le releveur numéro un des Mets, Armando Benitez, et Tomas De La Rosa ont produit les autres points des Expos. L'autre a été le résultat d'une erreur de Rey Ordonez.
Jeromy Burnitz a claqué un circuit en solo contre le Cubain Osvaldo Fernandez en deuxième manche. L'autre point des Mets a été produit par un simple de Jack McEwing en huitième contre Joey Eischen, qui a connu une manche passablement difficile. Les Mets ont d'ailleurs laissé trois coureurs sur les sentiers en huitième. Ils l'ont fait également en neuvième contre Darwin Cubillan.
Le directeur général Omar Minaya a assisté au match. Il a bien aimé ce qu'il a vu.
"Nous approchons de la fin et les deux équipes ont utilisé beaucoup de joueurs réguliers, a dit Minaya. Le match a été disputé avec beaucoup plus d'intensité, à un niveau différent des derniers matches."
Minaya, qui était auparavant directeur adjoint avec les Mets, a apprécié le solide coup sûr au centre de Galarraga, son premier du camp.
"Ce fut un coup sûr important pour Galarraga, surtout qu'il a été réussi contre Benitez.