"Une grève représente la solution de dernier recours"
Baseball lundi, 8 juil. 2002. 20:57 jeudi, 12 déc. 2024. 22:54
ROSEMONT, Illinois (AP) - Les joueurs de baseball, membres du bureau exécutif du syndicat, n'ont pas établi de date à laquelle ils pourraient déclencher une grève, mais ils parleront à leurs coéquipiers de la possibilité qu'il y ait un neuvième arrêt de travail depuis 1972, ont-ils indiqué.
Les membres du bureau exécutif de l'Association des joueurs, réunis dans un hôtel situé près de l'aéroport international O'Hare de Chicago, ont convenu de retourner dans leur équipe respective afin de demander à leurs coéquipiers s'ils sont prêts à faire la grève.
"Du point de vue des joueurs, une grève représente la solution de dernier recours, a souligné le directeur exécutif du syndicat, Donald Fehr. Et nous n'envisagerons pas cette ultime solution tant que les joueurs auront le sentiment qu'il y en a d'autres.
"Nous souhaitons poursuivre, voire intensifier, les discussions de façon sérieuse au cours des prochaines semaines avec les propriétaires d'équipes afin de régler les points en litige."
Au cours de la réunion de lundi qui a duré cinq heures, Fehr a informé les joueurs de la lenteur des négociations, qui reprendront jeudi à New York.
Les propriétaires ont proposé une forte augmentation du taux en ce qui a trait au partage de revenus des équipes et de la taxe sur la masse salariale des équipes riches, ce qui aurait comme conséquence de ralentir l'escalade des salaires.
Le salaire moyen est passé de 51 500 $ en 1976 à 2,38 millions $ à l'ouverture de cette saison.
Les propriétaires soutiennent que seules les équipes fortunées peuvent aspirer aux grands honneurs. Un meilleur partage des revenus et l'imposition d'une taxe sur la masse salariale sont donc cruciaux afin de rétablir l'équilibre entre les équipes sur le terrain.
Fehr a assuré que des discussions entourant l'éventuelle date du déclenchement d'une grève n'étaient pas à l'ordre du jour, lundi.
"Ce n'était absolument pas le but de notre rencontre, a-t-il affirmé. Nous avons, évidemment, discuter de toutes les possibilités envisageables, mais aucune décision n'a été prise."
Les membres du bureau exécutif de l'Association des joueurs, réunis dans un hôtel situé près de l'aéroport international O'Hare de Chicago, ont convenu de retourner dans leur équipe respective afin de demander à leurs coéquipiers s'ils sont prêts à faire la grève.
"Du point de vue des joueurs, une grève représente la solution de dernier recours, a souligné le directeur exécutif du syndicat, Donald Fehr. Et nous n'envisagerons pas cette ultime solution tant que les joueurs auront le sentiment qu'il y en a d'autres.
"Nous souhaitons poursuivre, voire intensifier, les discussions de façon sérieuse au cours des prochaines semaines avec les propriétaires d'équipes afin de régler les points en litige."
Au cours de la réunion de lundi qui a duré cinq heures, Fehr a informé les joueurs de la lenteur des négociations, qui reprendront jeudi à New York.
Les propriétaires ont proposé une forte augmentation du taux en ce qui a trait au partage de revenus des équipes et de la taxe sur la masse salariale des équipes riches, ce qui aurait comme conséquence de ralentir l'escalade des salaires.
Le salaire moyen est passé de 51 500 $ en 1976 à 2,38 millions $ à l'ouverture de cette saison.
Les propriétaires soutiennent que seules les équipes fortunées peuvent aspirer aux grands honneurs. Un meilleur partage des revenus et l'imposition d'une taxe sur la masse salariale sont donc cruciaux afin de rétablir l'équilibre entre les équipes sur le terrain.
Fehr a assuré que des discussions entourant l'éventuelle date du déclenchement d'une grève n'étaient pas à l'ordre du jour, lundi.
"Ce n'était absolument pas le but de notre rencontre, a-t-il affirmé. Nous avons, évidemment, discuter de toutes les possibilités envisageables, mais aucune décision n'a été prise."