Les esprits s'échauffent en Grèce
Basketball jeudi, 21 mai 2009. 22:42 vendredi, 13 déc. 2024. 16:35
ATHENES - Panathinaikos a battu ses grands rivaux Olympiakos 69-67 lors du premier match de la finale de la Ligue grecque de basketball, jeudi, mais la police anti-émeute a dû intervenir en fin de match pour maîtriser les partisans présents à l'intérieur et à l'extérieur de l'enceinte.
L'ancien joueur des Hawks d'Atlanta, Josh Childress, a marqué 23 points pour Olympiakos, le club hôte.
La rencontre a dû être interrompue pendant une vingtaine de minutes au moment où il restait 1:25 au cadran et que Panathinaikos menait 60-58.
Les supporters d'Olympiakos ont lancé une fusée éclairante, des bouteilles de plastique et autres objets en direction du banc du Panathinaikos pendant un temps d'arrêt, obligeant les joueurs à quitter les lieux afin d'assurer leur sécurité.
Un chronométreur a été légèrement blessé, et une partie du banc des joueurs et du terrain affichaient d'importantes traces de brûlures.
Certains partisans ont tenté de prendre le terrain d'assaut, se montrant sourds à l'appel au calme lancé par les joueurs d'Olympiakos.
La police anti-émeute a dû pénétrer dans l'enceinte afin de contenir les supporters. Environ 200 d'entre eux ont d'ailleurs affronté les policiers à l'issue de la partie, tentant même de prendre d'assaut les vestiaires.
Le deuxième match de cette finale trois de cinq doit avoir lieu lundi prochain au domicile de Panathinaikos.
L'ancien joueur des Hawks d'Atlanta, Josh Childress, a marqué 23 points pour Olympiakos, le club hôte.
La rencontre a dû être interrompue pendant une vingtaine de minutes au moment où il restait 1:25 au cadran et que Panathinaikos menait 60-58.
Les supporters d'Olympiakos ont lancé une fusée éclairante, des bouteilles de plastique et autres objets en direction du banc du Panathinaikos pendant un temps d'arrêt, obligeant les joueurs à quitter les lieux afin d'assurer leur sécurité.
Un chronométreur a été légèrement blessé, et une partie du banc des joueurs et du terrain affichaient d'importantes traces de brûlures.
Certains partisans ont tenté de prendre le terrain d'assaut, se montrant sourds à l'appel au calme lancé par les joueurs d'Olympiakos.
La police anti-émeute a dû pénétrer dans l'enceinte afin de contenir les supporters. Environ 200 d'entre eux ont d'ailleurs affronté les policiers à l'issue de la partie, tentant même de prendre d'assaut les vestiaires.
Le deuxième match de cette finale trois de cinq doit avoir lieu lundi prochain au domicile de Panathinaikos.