NBA : la série finale décortiquée
Basketball mardi, 1 juin 2010. 23:00 samedi, 14 déc. 2024. 12:00
La série finale de la NBA opposant les Lakers de Los Angeles aux Celtics de Boston se mettra en branle jeudi soir et d'ici là, le RDS.ca vous offre une analyse des forces en présence.
Pivot (center) : Andrew Bynum c. Kendrick Perkins. Les Lakers ne se sont jamais remis de l'absence de Bymun, blessé à un genou, il y a deux ans en finale face aux Celtics. Il est maintenant de retour, mais est toujours ennuyé par les blessures et c'est pourquoi il n'a joué qu'en moyenne 24 minutes par match depuis le début des séries éliminatoires. Perkins, un excellent joueur défensif, aura la vie beaucoup plus facile après avoir dû se défendre contre Dwight Howard au tour précédent. Égalité.
Ailier fort (power foward) : Pau Gasol c. Kevin Garnett. Cette confrontation pourrait décider l'issue de la série. Garnett aurait aisément eu le dessus il y a deux ans, mais Gasol est plus robuste qu'il l'était et il a connaît des éliminatoires du tonnerre. Toujours excellent défensivement, Garnett a inscrit au moins 18 points lors de chacune des rencontres face aux Cavaliers de Cleveland, mais n'en a marqué plus de 10 qu'une seule fois contre le Magic. Avantage Lakers.
Petit ailier (small foward) : Ron Artest c. Paul Pierce. Artest soulèvera l'ire des partisans des Lakers et de ses entraîneurs avec quelques mauvais lancers, mais il sera pardonné s'il parvient à faire ce que les Lakers n'ont pas réussi il y a deux ans : contrer Pierce. La touche offensive de ce dernier est de retour après qu'il eut brillamment freiné LeBron James en demi-finale de l'Association de l'Est. Artest devra donc être au sommet de sa forme. Avantage Celtics.
Arrière (shooting guard) : Kobe Bryant c. Ray Allen. Bryant a connu une série de rêve en finale de l'Association Ouest face aux Suns de Phoenix, maintenant des moyennes de 33,7 points, 7,2 rebonds et 8,3 assistances par partie. Allen est quant à lui toujours un des meilleurs de sa profession, lui qui a inscrit 24 points et réussi 10 de ses 15 tirs lors de la victoire des Celtics sur les Lakers en saison régulière. Avantage Lakers.
Meneur (point guard) : Derek Fisher c. Rajon Rondo. Rondo a été l'un des meilleurs depuis le début des séries, mais il n'a pas été aussi efficace contre le Magic que face aux Cavaliers. Fisher est quant à lui capable de réussir le gros jeu au bon moment, comme lors du quatrième match de la série finale de l'an dernier. Avantage Celtics.
Substituts : Lamar Odom, Shannon Brown, Jordan Farmar, Sasha Vujacic et Luke Waltom c. Glen Davis, Rasheed Wallace, Tony Allen, Nate Robinson et Michael Finley. Si les joueurs des Celtics demeurent en santé - Davis et Wallace plus particulièrement - ils compteront sur plus de profondeur. Tony Allen aura plusieurs fois l'occasion d'embêter Bryant. Avantage Celtics.
Entraîneurs : Phil Jackson c. Doc Rivers. Après que les Celtics l'eurent battu il y a deux ans, Jackson a remporté son 10e titre - un sommet dans l'histoire de la NBA - en juin dernier. Rivers a minutieusement contrôlé le temps de jeu de ses joueurs vedettes en fin de saison, même si cela privé les Celtics de quelques victoires. Le plus particulier, c'est que les deux hommes ne pourraient même pas être de retour à la barre de leur équipe respective la saison prochaine. Égalité.
*D'après un texte de The Associated Press
Pivot (center) : Andrew Bynum c. Kendrick Perkins. Les Lakers ne se sont jamais remis de l'absence de Bymun, blessé à un genou, il y a deux ans en finale face aux Celtics. Il est maintenant de retour, mais est toujours ennuyé par les blessures et c'est pourquoi il n'a joué qu'en moyenne 24 minutes par match depuis le début des séries éliminatoires. Perkins, un excellent joueur défensif, aura la vie beaucoup plus facile après avoir dû se défendre contre Dwight Howard au tour précédent. Égalité.
Ailier fort (power foward) : Pau Gasol c. Kevin Garnett. Cette confrontation pourrait décider l'issue de la série. Garnett aurait aisément eu le dessus il y a deux ans, mais Gasol est plus robuste qu'il l'était et il a connaît des éliminatoires du tonnerre. Toujours excellent défensivement, Garnett a inscrit au moins 18 points lors de chacune des rencontres face aux Cavaliers de Cleveland, mais n'en a marqué plus de 10 qu'une seule fois contre le Magic. Avantage Lakers.
Petit ailier (small foward) : Ron Artest c. Paul Pierce. Artest soulèvera l'ire des partisans des Lakers et de ses entraîneurs avec quelques mauvais lancers, mais il sera pardonné s'il parvient à faire ce que les Lakers n'ont pas réussi il y a deux ans : contrer Pierce. La touche offensive de ce dernier est de retour après qu'il eut brillamment freiné LeBron James en demi-finale de l'Association de l'Est. Artest devra donc être au sommet de sa forme. Avantage Celtics.
Arrière (shooting guard) : Kobe Bryant c. Ray Allen. Bryant a connu une série de rêve en finale de l'Association Ouest face aux Suns de Phoenix, maintenant des moyennes de 33,7 points, 7,2 rebonds et 8,3 assistances par partie. Allen est quant à lui toujours un des meilleurs de sa profession, lui qui a inscrit 24 points et réussi 10 de ses 15 tirs lors de la victoire des Celtics sur les Lakers en saison régulière. Avantage Lakers.
Meneur (point guard) : Derek Fisher c. Rajon Rondo. Rondo a été l'un des meilleurs depuis le début des séries, mais il n'a pas été aussi efficace contre le Magic que face aux Cavaliers. Fisher est quant à lui capable de réussir le gros jeu au bon moment, comme lors du quatrième match de la série finale de l'an dernier. Avantage Celtics.
Substituts : Lamar Odom, Shannon Brown, Jordan Farmar, Sasha Vujacic et Luke Waltom c. Glen Davis, Rasheed Wallace, Tony Allen, Nate Robinson et Michael Finley. Si les joueurs des Celtics demeurent en santé - Davis et Wallace plus particulièrement - ils compteront sur plus de profondeur. Tony Allen aura plusieurs fois l'occasion d'embêter Bryant. Avantage Celtics.
Entraîneurs : Phil Jackson c. Doc Rivers. Après que les Celtics l'eurent battu il y a deux ans, Jackson a remporté son 10e titre - un sommet dans l'histoire de la NBA - en juin dernier. Rivers a minutieusement contrôlé le temps de jeu de ses joueurs vedettes en fin de saison, même si cela privé les Celtics de quelques victoires. Le plus particulier, c'est que les deux hommes ne pourraient même pas être de retour à la barre de leur équipe respective la saison prochaine. Égalité.
*D'après un texte de The Associated Press