L'appartement de Crittenton fouillé
Basketball jeudi, 14 janv. 2010. 14:59 samedi, 14 déc. 2024. 04:37
La police de la Virginie a fouillé l'appartement du garde Javaris Crittenton des Wizards de Washington à la recherche d'une arme à feu mais les dossiers judiciaires indiquent que rien n'a été trouvé.
Les fouilles ont été faites jeudi.
Crittenton a été dispensé par l'équipe d'entraînement et des matchs pendant que les policiers poursuivent leur enquête au sujet de sa prise de bec avec son coéquipier Gilbert Arenas.
Arenas avait déclaré qu'il avait sorti de son casier une arme déchargée pour faire une blague à son coéquipier.
L'avocat de Crittenton, Peter White, a refusé de commenter. Crittenton a toutefois déclaré par l'intermédiaire de son avocat, qu'il n'avait rien fait de mal.
Par ailleurs, Les avocats d'Arenas négocient un accord avec la justice pour que leur client échappe à la prison, selon le quotidien Washington Post jeudi.
Citant des sources anonymes, le quotidien américain assure que des négociations sont en cours entre les avocats d'Arenas et le bureau du procureur chargé de l'affaire pour que le joueur n'aille pas en prison et ne soit pas condamné par le grand jury convoqué la semaine dernière.
Arenas, 28 ans, est notamment accusé d'avoir entreposé des armes déchargées dans son casier, faisant fi du règlement de la NBA qui interdit aux joueurs d'en porter dans tous les bâtiments liés à la NBA.
Sous le coup d'une enquête criminelle, le joueur risque jusqu'à cinq ans de prison pour chaque arme qu'il a apportée - quatre selon ses dires - et donc encourt jusqu'à 20 ans au total.
À cette peine pourrait s'ajouter quatre ans pour possession d'armes à feu non enregistrées.
Arenas a été suspendu la semaine dernière par la NBA, pour une durée indéfinie et sans salaire, en attendant les conclusions de l'enquête menée par la Ligue.
Le joueur a présenté ses excuses, tout en affirmant avoir apporté ces armes, sans chargeur ni munitions, dans son casier au vestiaire parce qu'il ne voulait plus les garder chez lui à cause de ses enfants.
Cependant, selon le Washington Post, le joueur aurait apporté ces armes après une dispute avec l'un des ses coéquipiers, Javaris Crittenton, autour d'une dette de jeu. Crittenton ayant menacé de tirer dans le genou gauche d'Arenas, où le joueur avait été opéré, ce dernier aurait disposé les quatre armes sur une chaise à côté du casier de son coéquipier, assorties d'une note: "Choisis-en une".
La semaine dernière, Arenas s'est de nouveau attiré les foudres de son club et du commissaire après avoir posé, hilare, au milieu de ses coéquipiers, en les pointant avec ses doigts comme s'ils étaient des pistolets, avant un match face à Philadelphie.
Les fouilles ont été faites jeudi.
Crittenton a été dispensé par l'équipe d'entraînement et des matchs pendant que les policiers poursuivent leur enquête au sujet de sa prise de bec avec son coéquipier Gilbert Arenas.
Arenas avait déclaré qu'il avait sorti de son casier une arme déchargée pour faire une blague à son coéquipier.
L'avocat de Crittenton, Peter White, a refusé de commenter. Crittenton a toutefois déclaré par l'intermédiaire de son avocat, qu'il n'avait rien fait de mal.
Par ailleurs, Les avocats d'Arenas négocient un accord avec la justice pour que leur client échappe à la prison, selon le quotidien Washington Post jeudi.
Citant des sources anonymes, le quotidien américain assure que des négociations sont en cours entre les avocats d'Arenas et le bureau du procureur chargé de l'affaire pour que le joueur n'aille pas en prison et ne soit pas condamné par le grand jury convoqué la semaine dernière.
Arenas, 28 ans, est notamment accusé d'avoir entreposé des armes déchargées dans son casier, faisant fi du règlement de la NBA qui interdit aux joueurs d'en porter dans tous les bâtiments liés à la NBA.
Sous le coup d'une enquête criminelle, le joueur risque jusqu'à cinq ans de prison pour chaque arme qu'il a apportée - quatre selon ses dires - et donc encourt jusqu'à 20 ans au total.
À cette peine pourrait s'ajouter quatre ans pour possession d'armes à feu non enregistrées.
Arenas a été suspendu la semaine dernière par la NBA, pour une durée indéfinie et sans salaire, en attendant les conclusions de l'enquête menée par la Ligue.
Le joueur a présenté ses excuses, tout en affirmant avoir apporté ces armes, sans chargeur ni munitions, dans son casier au vestiaire parce qu'il ne voulait plus les garder chez lui à cause de ses enfants.
Cependant, selon le Washington Post, le joueur aurait apporté ces armes après une dispute avec l'un des ses coéquipiers, Javaris Crittenton, autour d'une dette de jeu. Crittenton ayant menacé de tirer dans le genou gauche d'Arenas, où le joueur avait été opéré, ce dernier aurait disposé les quatre armes sur une chaise à côté du casier de son coéquipier, assorties d'une note: "Choisis-en une".
La semaine dernière, Arenas s'est de nouveau attiré les foudres de son club et du commissaire après avoir posé, hilare, au milieu de ses coéquipiers, en les pointant avec ses doigts comme s'ils étaient des pistolets, avant un match face à Philadelphie.