Stoudamire se soumet à un contrôle proposé par un journaliste
Basketball lundi, 8 mars 2004. 13:22 mercredi, 11 déc. 2024. 07:37
PORTLAND (AFP) - Damon Stoudamire, meneur de jeu des Trail Blazers impliqué dans plusieurs affaires de marijuana, s'est soumis à un contrôle antidopage proposé par un de ses journalistes, rapporte le quotidien américain The Oregonian.
"Je l'ai fait car je n'avais rien à cacher", a expliqué Stoudamire au journaliste, dans les colonnes de l'édition dominicale.
Stoudamire a tenu la promesse faite cinq mois plus tôt à l'éditorialiste du Oregonian, après son arrestation en juillet avec une petite quantité de marijuana à l'aéroport de Tucson (Arizona). C'était le troisième incident lié à la drogue en moins d'un an impliquant le joueur.
Vendredi, il a répondu à la demande de l'éditorialiste de l'Oregonian tandis que l'entraîneur Maurice Cheeks tenait ouverte la porte des toilettes afin d'éviter toute tricherie.
Les résultats n'ont révélé aucune trace des cinq produits pouvant être détectés (marijuana, méthamphétamine, ecstasy, cocaïne et opiates). Selon le journal, la marijuana, faiblesse du joueur, peut être détectée jusqu'à 28 jours après consommation.
Stoudamire s'attend aux foudres du syndicat des joueurs de la NBA qui interdit tout contrôle sauvage.
"S'il (le syndicat) apprend que je me suis soumis à un contôle autre que celui du programme, il y a de bonnes chances que cela dérange", a admis Stoudamire qui espère que le syndicat "comprendra que je ne voulais pas me démarquer mais que je devais le faire pour moi".
Stoudamire a fait une démarche que les joueurs de baseball comme Gary Sheffield, dont le nom est mêlé au scandale des stéroïdes à travers l'affaire du laboratoire BALCO, ont affirmé vouloir faire avant de se soumettre au règlement du syndicat des joueurs.
"Je l'ai fait car je n'avais rien à cacher", a expliqué Stoudamire au journaliste, dans les colonnes de l'édition dominicale.
Stoudamire a tenu la promesse faite cinq mois plus tôt à l'éditorialiste du Oregonian, après son arrestation en juillet avec une petite quantité de marijuana à l'aéroport de Tucson (Arizona). C'était le troisième incident lié à la drogue en moins d'un an impliquant le joueur.
Vendredi, il a répondu à la demande de l'éditorialiste de l'Oregonian tandis que l'entraîneur Maurice Cheeks tenait ouverte la porte des toilettes afin d'éviter toute tricherie.
Les résultats n'ont révélé aucune trace des cinq produits pouvant être détectés (marijuana, méthamphétamine, ecstasy, cocaïne et opiates). Selon le journal, la marijuana, faiblesse du joueur, peut être détectée jusqu'à 28 jours après consommation.
Stoudamire s'attend aux foudres du syndicat des joueurs de la NBA qui interdit tout contrôle sauvage.
"S'il (le syndicat) apprend que je me suis soumis à un contôle autre que celui du programme, il y a de bonnes chances que cela dérange", a admis Stoudamire qui espère que le syndicat "comprendra que je ne voulais pas me démarquer mais que je devais le faire pour moi".
Stoudamire a fait une démarche que les joueurs de baseball comme Gary Sheffield, dont le nom est mêlé au scandale des stéroïdes à travers l'affaire du laboratoire BALCO, ont affirmé vouloir faire avant de se soumettre au règlement du syndicat des joueurs.