Chasse et pêche, économie et relève
Chasse et pêche vendredi, 24 juil. 2009. 18:44 vendredi, 13 déc. 2024. 09:55
Jean Pagé
Comme contribution à notre économie, il est essentiel d'assurer une stabilité future à la chasse, la pêche et autres activités récréatives associées à la faune et au plein air. C'est d'ailleurs pour cette raison, que depuis nombre d'années, j'ai suggéré par les moyens qui m'étaient donnés, que le retour du ministère du Tourisme, de la Chasse et de la pêche était souhaitable et que le loisir pourrait y être associé, tout comme la situation prévalait jadis.
C'était l'époque où les politiciens avaient réalisé, que toutes ces activités appartenaient au même univers. Ceux qui connurent ces années pourront vous mentionner, que ce furent les périodes de succès et d'épanouissement d'un ministère, maintenant englouti pour ne point écrire étranglé par les autres. Le retour à cette formule se traduirait aussi de façon positive pour la relève.
Exemple de la pêche aux États-Unis
Les chiffres publiés dans les paragraphes qui suivront vous sembleront invraisemblables, mais ils ne pourraient être plus véridiques, proportionnellement ils ressemblent aux nôtres. Ils viennent confirmer l'essentiel de notre introduction.
Selon International Association of Fish and Wildlife des États-Unis : « Il y aurait 44.3 millions de pêcheurs aux États-Unis, ces derniers contribueraient de $116 milliards en production économique globale.
Pour s'adonner à la pratique de son sport préféré, le pêcheur dépenserait en moyenne, $ 1 200. au cours de l'année. Ceci totaliserait $ 41.5 milliards en ventes au détail et $ 7,3 milliards en taxes fédérales et autres. Sur le plan salarial, les employés du monde la pêche recevraient quelque $ 30 milliards.
Quant à la chasse, ceux qui la pratiquaient au cours de la dernière année ont maintenu les voyages, donc les visites dans les motels, hôtels, restaurants, stations d'essence et autres commerces contribuant à la pratique de leur sport.
La chasse est une activité saine. Il existe de nombreux avantages pour la santé, d'être un adepte de l'une ou l'autre des activités de plein air. Voilà une tradition américaine, qui englobe la plupart des ethnies, des races, religions et individus ayant des opinions politiques. »
Comparaisons avec le Canada
Nos données canadiennes sont peut-être moins récentes, mais elles sont tout de même très significatives - elles se comparent très bien, si nous tenons compte de notre population, comparativement à celle des E.-U.
L'enquête sur les utilisateurs de la nature au Canada, permettait d'apprendre que les diverses activités, étant associées à la nature, représentaient $11.7 milliards. Statistique Canada, pour obtenir ce résultat et ceux qui suivront, consultait 86,951 Canadiens âgés de 15 ans et plus.
Les dernières statistiques précisent que, 20 millions de Canadiens, donc 84.6% de la population âgée de 15 ans et plus, ont participé à une ou plusieurs activités reliées à la faune du Canada, ceci incluant les pêcheurs, chasseurs, trappeurs, observateurs d'oiseaux, campeurs et autres.
·18,6 p.c. des Canadiens effectuaient des déplacements, ou voyages en rapport avec la faune.
·17,7% ont pratiqué la pêche récréative. Ils ont effectué en moyenne 12,5 déplacements au cours d'une année et ont consacré 17,2 jours dans la pratique de cette activité.
·Environ un Canadien sur 20 ou 5,1 % a chassé les animaux sauvages. Ils ont effectué en moyenne 12,7 déplacements pour séjourner 16,9 jours où ils pratiquaient leur activité.
·Près des trois-quarts des Canadiens ou 74.5 % , selon des activités ou observations variées, ont eu un contact direct avec la nature.
·Le nombre des visiteurs des États-Unis, qui se rendent au Canada pour des activités fauniques dont la pêche, serait de 1,1 million. Les Américains nous visiteraient, deux fois plus que les Canadiens se rendant aux E.-U. pour s'adonner aux mêmes activités.
C'était l'époque où les politiciens avaient réalisé, que toutes ces activités appartenaient au même univers. Ceux qui connurent ces années pourront vous mentionner, que ce furent les périodes de succès et d'épanouissement d'un ministère, maintenant englouti pour ne point écrire étranglé par les autres. Le retour à cette formule se traduirait aussi de façon positive pour la relève.
Exemple de la pêche aux États-Unis
Les chiffres publiés dans les paragraphes qui suivront vous sembleront invraisemblables, mais ils ne pourraient être plus véridiques, proportionnellement ils ressemblent aux nôtres. Ils viennent confirmer l'essentiel de notre introduction.
Selon International Association of Fish and Wildlife des États-Unis : « Il y aurait 44.3 millions de pêcheurs aux États-Unis, ces derniers contribueraient de $116 milliards en production économique globale.
Pour s'adonner à la pratique de son sport préféré, le pêcheur dépenserait en moyenne, $ 1 200. au cours de l'année. Ceci totaliserait $ 41.5 milliards en ventes au détail et $ 7,3 milliards en taxes fédérales et autres. Sur le plan salarial, les employés du monde la pêche recevraient quelque $ 30 milliards.
Quant à la chasse, ceux qui la pratiquaient au cours de la dernière année ont maintenu les voyages, donc les visites dans les motels, hôtels, restaurants, stations d'essence et autres commerces contribuant à la pratique de leur sport.
La chasse est une activité saine. Il existe de nombreux avantages pour la santé, d'être un adepte de l'une ou l'autre des activités de plein air. Voilà une tradition américaine, qui englobe la plupart des ethnies, des races, religions et individus ayant des opinions politiques. »
Comparaisons avec le Canada
Nos données canadiennes sont peut-être moins récentes, mais elles sont tout de même très significatives - elles se comparent très bien, si nous tenons compte de notre population, comparativement à celle des E.-U.
L'enquête sur les utilisateurs de la nature au Canada, permettait d'apprendre que les diverses activités, étant associées à la nature, représentaient $11.7 milliards. Statistique Canada, pour obtenir ce résultat et ceux qui suivront, consultait 86,951 Canadiens âgés de 15 ans et plus.
Les dernières statistiques précisent que, 20 millions de Canadiens, donc 84.6% de la population âgée de 15 ans et plus, ont participé à une ou plusieurs activités reliées à la faune du Canada, ceci incluant les pêcheurs, chasseurs, trappeurs, observateurs d'oiseaux, campeurs et autres.
·18,6 p.c. des Canadiens effectuaient des déplacements, ou voyages en rapport avec la faune.
·17,7% ont pratiqué la pêche récréative. Ils ont effectué en moyenne 12,5 déplacements au cours d'une année et ont consacré 17,2 jours dans la pratique de cette activité.
·Environ un Canadien sur 20 ou 5,1 % a chassé les animaux sauvages. Ils ont effectué en moyenne 12,7 déplacements pour séjourner 16,9 jours où ils pratiquaient leur activité.
·Près des trois-quarts des Canadiens ou 74.5 % , selon des activités ou observations variées, ont eu un contact direct avec la nature.
·Le nombre des visiteurs des États-Unis, qui se rendent au Canada pour des activités fauniques dont la pêche, serait de 1,1 million. Les Américains nous visiteraient, deux fois plus que les Canadiens se rendant aux E.-U. pour s'adonner aux mêmes activités.
