InterBox se place sous la Loi sur la faillite
Boxe jeudi, 18 mars 2004. 21:40 vendredi, 13 déc. 2024. 07:03
MONTREAL (PC) - Les ennuis financiers d'InterBox ont atteint un autre niveau, jeudi, alors que Hans-Karl Muelhegg, le président de l'organisation sportive montréalaise, a placé la compagnie sous la protection de la loi sur les faillites.
Bernard Barré, l'ancien directeur technique d'InterBox, a confirmé la nouvelle en début de soirée jeudi. M. Barré et InterBox ont d'ailleurs réglé les derniers détails de leur séparation mercredi matin. Selon M. Barré, le directeur général Yvon Michel a également mis fin à son association avec l'organisation dans la journée de mercredi.
M. Barré a indiqué que ce dernier rebondissement ne menaçait pas la présentation du gala du 20 mars, au Casino de Montréal, qui sera organisé par Promotions Premier Round.
Ce gala saluera le retour de Leonard Dorin et devrait servir de prélude à un combat de championnat du monde des super légers entre Dorin et le Montréalais Arturo Gatti, possiblement en juillet, à Atlantic City.
Le gala du 10 avril, à Québec, doit également avoir lieu tel que prévu, a fait savoir M. Barré.
Précisions
Dans un communiqué acheminé jeudi soir, InterBox confirme que la mise sous la protection de la loi sur les faillites remontait au lundi 15 mars.
Le communiqué précise aussi que l'annulation du combat de championnat du monde des poids légers auquel devait participer Dorin, en octobre en Roumanie, avait incité M. Muehlegg à se départir de son entreprise.
Yvon Michel avait ensuite soumis une offre d'achat que M. Muehlegg avait acceptée.
Toutefois, M. Michel n'a pu obtenir les ressources financières requises pour compléter l'achat et la vente ne s'est pas matérialisée.
Selon le communiqué, InterBox, toujours active, élabore un plan de restructuration dans le but de continuer ses opérations et de maximiser les intérêts des créanciers afin de leur présenter une proposition dans les semaines à venir.
"Durant ce processus, le président a, entre autres, la tâche de tenir compte et d'évaluer toute offre sérieuse concernant l'acquisition d'InterBox", peut-on également lire dans le communiqué.
La direction d'InterBox n'émettra aucun autre commentaire tant qu'il n'y aura pas du nouveau dans cette affaire.
Ouellet furieux
Par ailleurs, selon une nouvelle publiée dans le site internet de RDS.ca, jeudi, Stéphane Ouellet demande que son combat du 10 avril face à Otis Grant dans la Vieille Capitale soit repoussé.
Le controversé pugiliste de Jonquière attend toujours son permis de la Régie de la sécurité dans les sports, sans quoi il lui est interdit de monter dans un ring de boxe.
Ouellet se dit persécuté par le secrétaire général du Conseil mondial de la boxe, Mario Latraverse, qu'il accuse de lui mettre des bâtons dans les roues.
Latraverse a pour sa part réfuté ces accusations, précisant que le dossier de Ouellet ne relevait plus de lui.
Bernard Barré, l'ancien directeur technique d'InterBox, a confirmé la nouvelle en début de soirée jeudi. M. Barré et InterBox ont d'ailleurs réglé les derniers détails de leur séparation mercredi matin. Selon M. Barré, le directeur général Yvon Michel a également mis fin à son association avec l'organisation dans la journée de mercredi.
M. Barré a indiqué que ce dernier rebondissement ne menaçait pas la présentation du gala du 20 mars, au Casino de Montréal, qui sera organisé par Promotions Premier Round.
Ce gala saluera le retour de Leonard Dorin et devrait servir de prélude à un combat de championnat du monde des super légers entre Dorin et le Montréalais Arturo Gatti, possiblement en juillet, à Atlantic City.
Le gala du 10 avril, à Québec, doit également avoir lieu tel que prévu, a fait savoir M. Barré.
Précisions
Dans un communiqué acheminé jeudi soir, InterBox confirme que la mise sous la protection de la loi sur les faillites remontait au lundi 15 mars.
Le communiqué précise aussi que l'annulation du combat de championnat du monde des poids légers auquel devait participer Dorin, en octobre en Roumanie, avait incité M. Muehlegg à se départir de son entreprise.
Yvon Michel avait ensuite soumis une offre d'achat que M. Muehlegg avait acceptée.
Toutefois, M. Michel n'a pu obtenir les ressources financières requises pour compléter l'achat et la vente ne s'est pas matérialisée.
Selon le communiqué, InterBox, toujours active, élabore un plan de restructuration dans le but de continuer ses opérations et de maximiser les intérêts des créanciers afin de leur présenter une proposition dans les semaines à venir.
"Durant ce processus, le président a, entre autres, la tâche de tenir compte et d'évaluer toute offre sérieuse concernant l'acquisition d'InterBox", peut-on également lire dans le communiqué.
La direction d'InterBox n'émettra aucun autre commentaire tant qu'il n'y aura pas du nouveau dans cette affaire.
Ouellet furieux
Par ailleurs, selon une nouvelle publiée dans le site internet de RDS.ca, jeudi, Stéphane Ouellet demande que son combat du 10 avril face à Otis Grant dans la Vieille Capitale soit repoussé.
Le controversé pugiliste de Jonquière attend toujours son permis de la Régie de la sécurité dans les sports, sans quoi il lui est interdit de monter dans un ring de boxe.
Ouellet se dit persécuté par le secrétaire général du Conseil mondial de la boxe, Mario Latraverse, qu'il accuse de lui mettre des bâtons dans les roues.
Latraverse a pour sa part réfuté ces accusations, précisant que le dossier de Ouellet ne relevait plus de lui.