La cour donne raison à la veuve de Gatti
Boxe vendredi, 16 déc. 2011. 14:48 samedi, 14 déc. 2024. 15:51
MONTRÉAL - La Cour supérieure du Québec a donné raison, vendredi, à la veuve d'Arturo Gatti dans le procès sur la succession du défunt champion mondial de boxe.
La veuve d'Arturo Gatti, Amanda Rodrigues, s'opposait à la famille de l'ancien boxeur dans cette affaire.
Le clan Gatti, ainsi que la mère du premier enfant de l'ex-pugiliste, ont fait valoir devant la cour que Mme Rodrigues avait manipulé Arturo Gatti pour qu'il modifie son testament quelques semaines avant sa mort et lui lègue toute sa fortune, aujourd'hui évaluée à 3,4 millions de dollars.
Arturo Gatti est mort au Brésil en 2009. Les enquêteurs brésiliens ont conclu au suicide, une thèse rejetée par la famille du défunt. Au cours du récent procès, les avocats du clan Gatti ont multiplié les questions accusatrices à l'endroit de la veuve de l'ancien boxeur sur les circonstances de sa mort.
Un coroner québécois, Jean Brochu, a récemment rendu public son rapport dans lequel il s'est dit incapable de conclure à l'intervention d'un tiers dans la mort de Gatti.
La juge Claudine Roy a estimé que le controversé testament était valide et que Mme Rodrigues n'avait pas contrôlé ni manipulé le boxeur afin qu'il le signe.
« M. Gatti a volontairement signé le testament de 2009 et nommé Mme Rodrigues légataire universelle », indique le jugement.
Cette décision met ainsi fin aux revendications du clan Gatti, qui tenait plutôt compte d'un testament rédigé en 2007 aux États-Unis qui lui léguait toute la fortune de l'ancien boxeur. Aucun exemplaire signé de ce document n'a pu être retrouvé.
Au cours du procès, la juge s'est inquiétée du fait que la fortune de l'ancien boxeur soit dilapidée en frais judiciaires, notamment dans deux autres affaires jugées aux États-Unis.
La juge Claudine Roy a écrit dans son verdict qu'Arturo Gatti et Amanda Rodrigues ont certes pu avoir leur part de disputes, mais qu'ils formaient encore un couple quand l'ex-boxeur est mort.
L'ex-champion mondial dans deux catégories, qui a tiré sa révérence en 2007, a connu la renommée avec un record de 40 victoires et neuf défaites.
La veuve d'Arturo Gatti, Amanda Rodrigues, s'opposait à la famille de l'ancien boxeur dans cette affaire.
Le clan Gatti, ainsi que la mère du premier enfant de l'ex-pugiliste, ont fait valoir devant la cour que Mme Rodrigues avait manipulé Arturo Gatti pour qu'il modifie son testament quelques semaines avant sa mort et lui lègue toute sa fortune, aujourd'hui évaluée à 3,4 millions de dollars.
Arturo Gatti est mort au Brésil en 2009. Les enquêteurs brésiliens ont conclu au suicide, une thèse rejetée par la famille du défunt. Au cours du récent procès, les avocats du clan Gatti ont multiplié les questions accusatrices à l'endroit de la veuve de l'ancien boxeur sur les circonstances de sa mort.
Un coroner québécois, Jean Brochu, a récemment rendu public son rapport dans lequel il s'est dit incapable de conclure à l'intervention d'un tiers dans la mort de Gatti.
La juge Claudine Roy a estimé que le controversé testament était valide et que Mme Rodrigues n'avait pas contrôlé ni manipulé le boxeur afin qu'il le signe.
« M. Gatti a volontairement signé le testament de 2009 et nommé Mme Rodrigues légataire universelle », indique le jugement.
Cette décision met ainsi fin aux revendications du clan Gatti, qui tenait plutôt compte d'un testament rédigé en 2007 aux États-Unis qui lui léguait toute la fortune de l'ancien boxeur. Aucun exemplaire signé de ce document n'a pu être retrouvé.
Au cours du procès, la juge s'est inquiétée du fait que la fortune de l'ancien boxeur soit dilapidée en frais judiciaires, notamment dans deux autres affaires jugées aux États-Unis.
La juge Claudine Roy a écrit dans son verdict qu'Arturo Gatti et Amanda Rodrigues ont certes pu avoir leur part de disputes, mais qu'ils formaient encore un couple quand l'ex-boxeur est mort.
L'ex-champion mondial dans deux catégories, qui a tiré sa révérence en 2007, a connu la renommée avec un record de 40 victoires et neuf défaites.