Tiozzo et Michalczewski s'affrontent enfin
Boxe vendredi, 25 févr. 2005. 09:57 vendredi, 13 déc. 2024. 15:52
HAMBOURG (AFP) - Monarque des mi-lourds WBA, le boxeur français Fabrice Tiozzo entend défendre son titre, samedi à Hambourg, face à l'Allemand Dariusz Michalczewski.
Hormis l'Américain Virgil Hill lui ayant infligé ses deux revers dont un en un round en 2000, Tiozzo n'aura jamais affronté aussi redoutable rival que ce gaillard d'origine polonaise, arrivé en Allemagne en 1988 avant de retourner à Gdansk il y a trois ans.
Si le tenant du titre collectionne 46 victoires (dont 31 avant la limite), le dauphin compte 48 succès (dont 38 abrégés), n'ayant essentiellement connu la désillusion, aux points, que des mains du Mexicain Julio Cesar Gonzalez, il y a 16 mois, pour le titre WBO.
Les points communs entre les deux vont de l'âge (34 pour Tiozzo contre 35) à la force de frappe. Pour faire mousser l'événement, le promoteur met judicieusement en exergue la "légende vivante aux 27 championnats du monde" (Michalczewski) et le "mythe" (Tiozzo), seul pugiliste français à avoir décroché des titres de mi-lourds et de lourd-légers.
"Tiozzo boxe bien, frappe fort, a besoin d'argent mais je suis sûr de gagner", indique Michalczewski ajoutant qu'à l'heure du combat (21h30 GMT) qu'il jure d'être fidèle de nouveau à son sobriquet: le "Tigre".
"Je vais donc aller dans sa gueule et la lui défoncer", claironne Tiozzo se réjouissant à l'avance que "des millions téléspectateurs assisteront à cela".
"Ce combat m'excite. Il sera plus facile, plus sain, et plus court que contre Branco. Le style de Michalczewski me conviendra davantage, poursuit-il. Je fais le pari qu'il ne me battra pas avant la limite, ni aux points. De toutes manières, le combat n'ira pas au bout".
Le champion semble fin prêt physiquement mais par coquetterie ou agacement, il a pris le parti, jusqu'à la pesée, de cultiver le mystère concernant son poids, ce satané ennemi lui collant trop souvent à la peau.
Hormis l'Américain Virgil Hill lui ayant infligé ses deux revers dont un en un round en 2000, Tiozzo n'aura jamais affronté aussi redoutable rival que ce gaillard d'origine polonaise, arrivé en Allemagne en 1988 avant de retourner à Gdansk il y a trois ans.
Si le tenant du titre collectionne 46 victoires (dont 31 avant la limite), le dauphin compte 48 succès (dont 38 abrégés), n'ayant essentiellement connu la désillusion, aux points, que des mains du Mexicain Julio Cesar Gonzalez, il y a 16 mois, pour le titre WBO.
Les points communs entre les deux vont de l'âge (34 pour Tiozzo contre 35) à la force de frappe. Pour faire mousser l'événement, le promoteur met judicieusement en exergue la "légende vivante aux 27 championnats du monde" (Michalczewski) et le "mythe" (Tiozzo), seul pugiliste français à avoir décroché des titres de mi-lourds et de lourd-légers.
"Tiozzo boxe bien, frappe fort, a besoin d'argent mais je suis sûr de gagner", indique Michalczewski ajoutant qu'à l'heure du combat (21h30 GMT) qu'il jure d'être fidèle de nouveau à son sobriquet: le "Tigre".
"Je vais donc aller dans sa gueule et la lui défoncer", claironne Tiozzo se réjouissant à l'avance que "des millions téléspectateurs assisteront à cela".
"Ce combat m'excite. Il sera plus facile, plus sain, et plus court que contre Branco. Le style de Michalczewski me conviendra davantage, poursuit-il. Je fais le pari qu'il ne me battra pas avant la limite, ni aux points. De toutes manières, le combat n'ira pas au bout".
Le champion semble fin prêt physiquement mais par coquetterie ou agacement, il a pris le parti, jusqu'à la pesée, de cultiver le mystère concernant son poids, ce satané ennemi lui collant trop souvent à la peau.