Samedi après-midi dans un gymnase de Philadelphie. Il est 15 heures et j‘attends Bernard Hopkins depuis 15 minutes. La “légende” se pointe 15 minutes plus tard, avec un retard de 30 minutes.

Je suis nerveux car j‘ai peur qu‘il invoque un horaire ultra-chargé pour annuler notre rencontre. Et je ne peux pas revenir à Montréal sans entrevue!

Je demande donc une petite entrevue de 5 minutes. Finalement l'entretien aura duré près d'une demi-heure! Bernard Hopkins a été donc très généreux et j'ai pu tirer de cette entrevue de 3 reportages. Le premier porte uniquement sur son entraînement et les deux autres seront diffusés quelques jours avant son combat du 18 décembre au Colisée Pepsi de Québec contre Jean Pascal.

Monsieur Hopkins dit qu‘il est présentement à 75% de sa forme optimale. Il a débuté son “sparring“ il y a deux semaines. “The Executioner“ dit qu‘il s‘entraîne dans le ring contre des boxeurs comme Pascal, soit “de bons jeunes boxeurs ambitieux et qui croient tout connaître.”

Je n‘ai pas été témoin de sparring. J‘ai vu une “petite“ séance d‘entraînement d‘après-midi en compagnie de son entraîneur Nazim Richardson. Un peu de “shawdow boxing” mais aucune démonstration de force ou de vitesse de sa part.

Même si l‘entraînement en tant que tel m‘a laissé sur ma faim, j‘avoue que cet homme de 45 ans m‘a grandement impressionné par son intelligence.

Et sa simplicité…

Hopkins entend servir une leçon à Pascal

(Cliquez sur le lien pour voir le reportage)