UFC-Strikeforce : vos réactions?
$content.firstChildCategorie jeudi, 10 juil. 2014. 00:08 vendredi, 18 mars 2011. 10:01À mon poste de travail, un calendrier se trouve à la gauche de mon écran d’ordinateur. Quand je me suis installé pour commencer ma journée au bureau et que je suis tombé sur la nouvelle voulant que Zuffa, la compagnie qui possède le UFC, avait fait l’acquisition de Strikeforce, c’est le premier endroit où j’ai regardé.
12 mars. Ce n’était donc pas une blague de circonstance.
Une heure plus tard, j’essaie encore de mettre de l’ordre dans mes idées. Quand on parle d‘une bombe, c‘en est une vraie.
Voici les grandes lignes de l’entrevue exclusive qu’a accordée Dana White au journaliste Ariel Helwani, de MMAFighting.com.
- Business as usual White a répété à maintes reprises que rien ne changera dans la façon d’opérer des deux compagnies. Les contrats de tous les combattants de Strikeforce seront honorés et les galas de l’organisation continueront d’être diffusés sur Showtime. White a toutefois admis que certains changements, certains visibles et d’autres non, seront apportés au déroulement des événements.
- La motivation principale de Zuffa derrière cette acquisition? “Notre compagnie continue de grandir et de prendre de l’expansion dans différentes parties du monde. Nous avons besoin de plus de combattants de façon à pouvoir organiser plus de combats”, raisonne White.
Les combattants de Strikeforce ne se battront pas pour le UFC et il ne faut pas s’attendre à voir de mégacombat entre les grandes vedettes des deux organisations. Fedor vs. Brock? Overeem vs Velasquez? Nick Diaz vs GSP? White jure qu’il faut oublier ça. Personnellement, permettez-moi d’en douter.
"Estce que des gars du UFC pourraient quitter et se retrouver avec Strikeforce? Absolument”, a toutefois avoué White.
- Scott Coker, avec qui White dit n’avoir aucun problème, demeure le président de Strikeforce et continuera de mener sa barque de la même façon.
- White a toutefois des différends de taille avec plusieurs personnes associées à Strikeforce, mais il n’y voit pas de problème. “Lorenzo (Fertita) peut négocier avec eux”.
- White n’a pas voulu dévoiler le montant de la transaction, mais a laissé entendre qu’elle était de moindre envergure que celle impliquant PRIDE en 2007.
Je vous offre cette tribune pour vous exprimer sur cette nouvelle majeure qui risque de révolutionner le monde des arts martiaux mixtes. Je reviendrai régulièrement mettre mon grain de sel dans les discussions au fur et à mesure que les nouvelles informations commenceront à être assimilées.