Contrôles sanguins chez les Américains
Jeux olympiques samedi, 28 juin 2008. 10:11 mercredi, 11 déc. 2024. 15:34
EUGENE - Les athlètes et nageurs américains qualifiés pour les Jeux de Pékin au terme des sélections olympiques qui ont débuté ce week-end seront soumis à des tests sanguins diligentés par l'agence américaine antidopage (USADA), selon le journal Tampa Tribune.
Outre les trois premiers de chaque épreuve, qui obtiennent de fait leurs billets pour Pékin, des tests seront pratiqués au hasard sur d'autres concurrents lors des Championnats des Etats-Unis d'athlétisme à Eugene (Oregon) et de natation à Omaha (Nebraska).
C'est la première fois que la Fédération américaine d'athlétisme a recours à des tests sanguins, selon un porte-parole Jill Geer, interrogé par le journal. Des contrôles urinaires seront aussi pratiqués, mais les contrôles sanguins sont réputés plus performants pour détecter d'éventuelles transfusions, de l'hémoglobine de synthèse ou certaines substances non décelables facilement dans l'urine, comme l'hormone de croissance.
"Nos athlètes ont l'habitude de subir des contrôles antidopage urinaires à n'importe quel moment et n'importe quel lieu, 24h/24, 7 jours/7, en plus des compétitions", a souligné ce porte-parole. "Mais ils devront se préparer à la possibilité de devoir fournir des échantillons de sang également".
La Fédération américaine de natation n'aurait également jamais eu recours auparavant aux tests sanguins.
Outre les trois premiers de chaque épreuve, qui obtiennent de fait leurs billets pour Pékin, des tests seront pratiqués au hasard sur d'autres concurrents lors des Championnats des Etats-Unis d'athlétisme à Eugene (Oregon) et de natation à Omaha (Nebraska).
C'est la première fois que la Fédération américaine d'athlétisme a recours à des tests sanguins, selon un porte-parole Jill Geer, interrogé par le journal. Des contrôles urinaires seront aussi pratiqués, mais les contrôles sanguins sont réputés plus performants pour détecter d'éventuelles transfusions, de l'hémoglobine de synthèse ou certaines substances non décelables facilement dans l'urine, comme l'hormone de croissance.
"Nos athlètes ont l'habitude de subir des contrôles antidopage urinaires à n'importe quel moment et n'importe quel lieu, 24h/24, 7 jours/7, en plus des compétitions", a souligné ce porte-parole. "Mais ils devront se préparer à la possibilité de devoir fournir des échantillons de sang également".
La Fédération américaine de natation n'aurait également jamais eu recours auparavant aux tests sanguins.