(RDS) - En Formule 1, toute est une question de vitesse. Les pilotes atteignent des vitesses vertigineuses en piste et leur vie en dehors du circuit est tout aussi étourdissante.

À 10:00 mardi, Jacques Villeneuve avait donc rendez-vous avec les journalistes. Mais la presse est avide et après une demi-heure de conférence, un autre point de presse, d'une vingtaine de minutes.

Suit une autre rencontre avec un groupe de journalistes spécialisés.

À 13:00, direction centre-ville, dans une réunion d'Intel, important commanditaire de l'écurie Sauber. Quelques mots, un tirage, des photos avec les gagnants. Le temps d'un appel personnel? Impossible, il y a d'autres photos à prendre.

En chemin vers une autre activité promotionnelle, Jacques Villeneuve s'informe de la scène culturelle québécoise.

À 14:00, petit répit avant une séance de signature d'autographes dans un magasin d'électronique de l'ouest de Montréal, suivie d'une énième entrevue dans cette journée de fou, pour parler de sa journée de fou.

"C'est vrai que Montréal, c'est souvent assez fou, mais c'est normal, a commenté Villeneuve. En général, j'essaie d'en faire le plus possible, de maximiser le temps dont je bénéficie."

La journée officielle de travail se termine par une séance d'autographes d'une heure. Malgré les contraintes et l'horaire chargé, Jacques Villeneuve aura toujours gardé le sourire.