Carpentier apprend à la dure école
Course mardi, 1 avr. 2008. 13:43 samedi, 14 déc. 2024. 13:53
Patrick est à nouveau allé à la dure école du NASCAR ce week-end. Après des essais peu concluant le vendredi, il a quand même réussi à qualifier sa Dodge no 10 en 37e place. On l'a vu en parfait contrôle durant ces deux tours qui décidaient du reste du week-end. Il ne faut pas se le cacher; Patrick doit se concentrer sur un objectif cette saison ; atteindre le top 35 d'ici la fin de l'année.
J'ai bien l'impression qu'au sixième de la saison, les 192 points de retard qu'il a accumulés, seront durs à aller chercher pour atteindre la 35e position. J'ai aussi confiance, qu'à moins d'une catastrophe ou d'une météo récalcitrante, Patrick se qualifiera pour chacune des courses.
Depuis le début, pas une seule fois il est passé à côté quand venait le temps de faire ces fameux deux tours rapides. Il a beau dire qu'il ne sera plus gentil en course et qu'il va commencer à être moins poli, il devra trouver l'équilibre entre patience et défiance. Ce qu'il a fait lors de la dernière course.
On doit se réjouir de sa 29e position à Martinsville où la course s'est déroulée avec un haut niveau de tension. D'abord à cause de la configuration de la piste, mais aussi à cause des conditions. La petite bruine qui tombait constamment, a ironiquement attisé le feu qui consume les bouillants cerveaux quand on ne sait pas au juste à quel moment la course sera interrompue à cause de la pluie.
Personne n'a donné de chances à personne et Patrick a tenu son bout. En milieu de peloton, à la mi-course après avoir roulé 7e à cause d'une stratégie d'arrêt aux puits, Patrick a survécu à deux tête-à-queue et devancé douze pilotes pourtant partis devant lui, et ce, sur une piste où il n'avait jamais mis les pieds, encore moins roulé. Parmi eux, des gars comme Kenseth, Skinner, Mayfield, Elliott, Waltrip, Sorensen, Riggs et Robby Gordon, toujours en piste et n'ayant pas eu de problèmes mécaniques.
Dans le métier on dit, une année pour apprendre, l'autre pour performer. Dans le cas de Carpentier, je crois qu'il n'aura pas cette latitude. Ce sera une demi-saison pour apprendre, l'autre pour grimper dans le top 35 afin de pouvoir commencer l'année 2009 de la bonne façon et y rester.
Heureusement pour lui, on visite en général les circuits à deux reprises durant une saison. C'est donc à partir du début juillet, alors qu'on retournera à Daytona, que Patrick aura alors encore plus de pression. Ce qui me rassure, c'est qu'il la gère de mieux en mieux et de fort belle façon.
J'ai bien l'impression qu'au sixième de la saison, les 192 points de retard qu'il a accumulés, seront durs à aller chercher pour atteindre la 35e position. J'ai aussi confiance, qu'à moins d'une catastrophe ou d'une météo récalcitrante, Patrick se qualifiera pour chacune des courses.
Depuis le début, pas une seule fois il est passé à côté quand venait le temps de faire ces fameux deux tours rapides. Il a beau dire qu'il ne sera plus gentil en course et qu'il va commencer à être moins poli, il devra trouver l'équilibre entre patience et défiance. Ce qu'il a fait lors de la dernière course.
On doit se réjouir de sa 29e position à Martinsville où la course s'est déroulée avec un haut niveau de tension. D'abord à cause de la configuration de la piste, mais aussi à cause des conditions. La petite bruine qui tombait constamment, a ironiquement attisé le feu qui consume les bouillants cerveaux quand on ne sait pas au juste à quel moment la course sera interrompue à cause de la pluie.
Personne n'a donné de chances à personne et Patrick a tenu son bout. En milieu de peloton, à la mi-course après avoir roulé 7e à cause d'une stratégie d'arrêt aux puits, Patrick a survécu à deux tête-à-queue et devancé douze pilotes pourtant partis devant lui, et ce, sur une piste où il n'avait jamais mis les pieds, encore moins roulé. Parmi eux, des gars comme Kenseth, Skinner, Mayfield, Elliott, Waltrip, Sorensen, Riggs et Robby Gordon, toujours en piste et n'ayant pas eu de problèmes mécaniques.
Dans le métier on dit, une année pour apprendre, l'autre pour performer. Dans le cas de Carpentier, je crois qu'il n'aura pas cette latitude. Ce sera une demi-saison pour apprendre, l'autre pour grimper dans le top 35 afin de pouvoir commencer l'année 2009 de la bonne façon et y rester.
Heureusement pour lui, on visite en général les circuits à deux reprises durant une saison. C'est donc à partir du début juillet, alors qu'on retournera à Daytona, que Patrick aura alors encore plus de pression. Ce qui me rassure, c'est qu'il la gère de mieux en mieux et de fort belle façon.