Même avec une éventuelle compensation financière de 30 millions $ US, les écuries de Formule Un sont toujours réticentes face un éventuel retour sur le circuit Gilles-Villeneuve en 2004.

Le promoteur du Grand Prix du Canada, Normand Legault, a assisté vendredi à une réunion de la commission F1 de la Fédération internationale de l'automobile, à Londres. Le sort du Grand Prix du Canada a été débattu pendant une trentaine de minutes.

Il semble que, pour quelques écuries, il n'est pas acceptable que le Canada achète une place au calendrier alors que d'autres pays ont amendé leur loi pour y rester.

Selon M. Legault, certaines écuries craignent un effet domino.

D'autres, comme Williams et Toyota, ont réitéré leur désir de voir l'épreuve canadienne demeurer au calendrier. Toutefois, il faudrait l'unanimité des dix écuries pour ajouter une 18e course.

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