Conseil Mondial - L'électronique à l'ordre du jour
Course mercredi, 6 déc. 2000. 15:57 jeudi, 12 déc. 2024. 20:02
MONACO, (AFP) - La liberté totale en matière d'électronique en Formule 1, dès l'an prochain, sera certainement à l'ordre du jour du Conseil Mondial de la Fédération internationale de l'automobile (FIA) vendredi matin à Monaco.
Une unanimité semble en effet se dessiner au sein des équipes de F1 pour qu'aucune restriction ne soit appliquée en ce domaine, dépassant ainsi le seul cadre de l'antipatinage.
Les patrons d'écurie se réuniront donc jeudi matin. Et si tous sont d'accord, la commission de Formule 1 aura à se prononcer dans l'après-midi pour soumettre cette "liberté" à l'approbation du Conseil Mondial.
Max Mosley, président de la FIA, qui déclarait il y a encore peu que "l'électronique était le dopage de la F1", admettait les difficultés rencontrées par la FIA pour effectuer les contrôles. Tant au niveau des moyens techniques qu'humains.
Récemment, fin août à Spa-Francorchamps, Max Mosley faisait également observer que les jeunes passionnés de F1 ne comprenaient pas pourquoi la discipline, sommet de la technologie automobile, ne pouvait pas utiliser toutes les subtilités de cette électronique qui équipe aujourd'hui de plus en plus les voitures de "M. tout le monde".
Partager entre le désir de freiner les performances des monoplaces et la libéralisation de l'électronique afin de mettre tout le monde à égalité, éviter les tricheries, Max Mosley et le Conseil Mondial vont certainement devoir trancher.
Face à une unanimité des patrons d'écurie, la seule possibilité de refus du Conseil Mondial serait alors d'invoquer la sécurité, les monoplaces dotées de l'antipatinage, de l'ABS et bien d'autres "aides au pilotage", gagneraient en effet en efficacité, et donc en performance.
Les hautes instances du sport automobile examineront également le calendrier du Championnat du monde des rallyes, des changements de dates devant intervenir pour deux épreuves, Chypre et Grèce.
Une unanimité semble en effet se dessiner au sein des équipes de F1 pour qu'aucune restriction ne soit appliquée en ce domaine, dépassant ainsi le seul cadre de l'antipatinage.
Les patrons d'écurie se réuniront donc jeudi matin. Et si tous sont d'accord, la commission de Formule 1 aura à se prononcer dans l'après-midi pour soumettre cette "liberté" à l'approbation du Conseil Mondial.
Max Mosley, président de la FIA, qui déclarait il y a encore peu que "l'électronique était le dopage de la F1", admettait les difficultés rencontrées par la FIA pour effectuer les contrôles. Tant au niveau des moyens techniques qu'humains.
Récemment, fin août à Spa-Francorchamps, Max Mosley faisait également observer que les jeunes passionnés de F1 ne comprenaient pas pourquoi la discipline, sommet de la technologie automobile, ne pouvait pas utiliser toutes les subtilités de cette électronique qui équipe aujourd'hui de plus en plus les voitures de "M. tout le monde".
Partager entre le désir de freiner les performances des monoplaces et la libéralisation de l'électronique afin de mettre tout le monde à égalité, éviter les tricheries, Max Mosley et le Conseil Mondial vont certainement devoir trancher.
Face à une unanimité des patrons d'écurie, la seule possibilité de refus du Conseil Mondial serait alors d'invoquer la sécurité, les monoplaces dotées de l'antipatinage, de l'ABS et bien d'autres "aides au pilotage", gagneraient en effet en efficacité, et donc en performance.
Les hautes instances du sport automobile examineront également le calendrier du Championnat du monde des rallyes, des changements de dates devant intervenir pour deux épreuves, Chypre et Grèce.