F1 : des contrats seraient à renégocier
Course lundi, 9 janv. 2012. 12:03 vendredi, 13 déc. 2024. 18:05
PARIS - Les financeurs publics des Grands Prix de Formule 1 d'Espagne, à Barcelone, et d'Europe, à Valence, souhaitent que les contrats de ces épreuves soient renégociés avec Bernie Ecclestone, le grand argentier de la F1, ont-ils déclaré en fin de semaine dans la presse espagnole.
Le premier à ouvrir le feu a été José Ciscar, le vice-président de la Generalitat Valenciana, la province de Valence. Après une première édition réussie, en 2008, un contrat de cinq ans a été signé en 2009 avec M. Ecclestone pour une course disputée en front de mer, façon GP de Monaco, sur un circuit provisoire.
« Tous les gros événements font l'objet d'une étude complète, car ils ne sont pas rentables dans les conditions actuelles », a dit M. Ciscar, pour qui « les circonstances nous obligent à fixer des priorités ».
« On ne peut rien écarter et il faut trouver des solutions équilibrées, sans être imprudents », a ajouté l'élu provincial.
Les financeurs publics du GP d'Espagne à Barcelone, qui ont signé un contrat jusqu'en 2016, sont du même avis, sauf qu'ils mettent dans le même panier le Grand Prix moto auquel participent de nombreux pilotes catalans.
« Nous pourrions reconsidérer l'accueil des Grands Prix de F1 et de moto », a affirmé Andreu Mas-Colell, le ministre de l'Économie de la Catalogne, sur les ondes de la radio catalane RAC1.
« Il n'est pas sûr que nous pouvons encore nous les offrir dans la situation actuelle, a-t-il ajouté, car en ce moment il faut regarder de très près la manière dont nous dépensons notre argent. »
Il y a toujours eu un Grand Prix de F1 à Barcelone depuis 1991 et le contrat actuel court jusqu'en 2016. « Il y a des contrats qui sont plus chers à respecter qu'à briser », a conclu le ministre catalan.
Le premier à ouvrir le feu a été José Ciscar, le vice-président de la Generalitat Valenciana, la province de Valence. Après une première édition réussie, en 2008, un contrat de cinq ans a été signé en 2009 avec M. Ecclestone pour une course disputée en front de mer, façon GP de Monaco, sur un circuit provisoire.
« Tous les gros événements font l'objet d'une étude complète, car ils ne sont pas rentables dans les conditions actuelles », a dit M. Ciscar, pour qui « les circonstances nous obligent à fixer des priorités ».
« On ne peut rien écarter et il faut trouver des solutions équilibrées, sans être imprudents », a ajouté l'élu provincial.
Les financeurs publics du GP d'Espagne à Barcelone, qui ont signé un contrat jusqu'en 2016, sont du même avis, sauf qu'ils mettent dans le même panier le Grand Prix moto auquel participent de nombreux pilotes catalans.
« Nous pourrions reconsidérer l'accueil des Grands Prix de F1 et de moto », a affirmé Andreu Mas-Colell, le ministre de l'Économie de la Catalogne, sur les ondes de la radio catalane RAC1.
« Il n'est pas sûr que nous pouvons encore nous les offrir dans la situation actuelle, a-t-il ajouté, car en ce moment il faut regarder de très près la manière dont nous dépensons notre argent. »
Il y a toujours eu un Grand Prix de F1 à Barcelone depuis 1991 et le contrat actuel court jusqu'en 2016. « Il y a des contrats qui sont plus chers à respecter qu'à briser », a conclu le ministre catalan.