Alonso chez Renault l'an prochain?
Course lundi, 6 août 2007. 10:04 samedi, 14 déc. 2024. 18:54
MADRID - Le champion du monde de Formule 1, l'Espagnol Fernando Alonso, a déclaré qu'il ne savait pas s'il allait rester chez McLaren-Mercedes en raison de sa rivalité avec le Britannique Lewis Hamilton, a rapporté lundi le quotidien Marca.
"Je ne sais pas", a répondu dimanche Alonso au journal espagnol qui lui demandait s'il pensait rester dans l'écurie McLaren-Mercedes, avec laquelle il est sous contrat pour encore trois saisons.
Le pilote espagnol a été pénalisé dimanche au départ du Grand Prix de Hongrie, finalement remporté par Hamilton, après une décision polémique de la FIA.
Marca rapporte que juste après la course, le père d'Alonso et son manager, Luis Garcia-Abad, se sont entretenus durant une vingtaine de minutes avec Flavio Briatore, le patron italien de l'écurie Renault.
L'écurie française, sous les couleurs de laquelle Alonso a remporté ses deux titres de champion du monde (2005, 2006) aimerait bien récupérer le pilote espagnol qui intéresse également BMW, selon Marca.
Mais le contrat liant Alonso et McLaren est "en béton" et "Alonso est prisonnier d'une cage dorée dont il ne peut s'échapper", sauf "accord mutuel à l'amiable" entre les deux parties, assure le journal.
Alonso aurait demandé à McLaren de choisir pour le futur entre lui et Hamilton, la nouvelle coqueluche des Britanniques.
Rivalité
"Le Championnat est loin d'être facile, mais nous pratiquons un sport où il y a beaucoup de rivalité, de compétitivité", a déclaré dimanche soir Alonso, interrogé par la radio espagnole Cadena Ser.
La FIA avait rétrogradé Fernando Alonso de la pôle à la 6e position sur la grille de départ et décidé de ne pas créditer McLaren-Mercedes des points acquis en course par ses pilotes pour avoir empêché volontairement Hamilton d'effectuer son dernier tour de qualifications en le bloquant dans son stand.
"La décision a été étrange", a réitéré le pilote espagnol sur les ondes de la Cadena Ser.
Le patron de l'écurie Ron Dennis a expliqué que Hamilton était lui-même à l'origine de cet incident, alors que le Britannique a récupéré la pôle et en a profité pour remporter le Grand Prix.
"Ce qui est clair, c'est ce que tout le monde a vu dimanche. Ce que Ron Dennis a dit, c'est que c'est la première fois qu'un pilote désobéit à son équipe, c'est la première fois que je le vois aussi", a déclaré Alonso.
Au classement général, à six courses de la fin du Championnat, Hamilton est en tête, sept points devant Alonso.
"Je ne sais pas", a répondu dimanche Alonso au journal espagnol qui lui demandait s'il pensait rester dans l'écurie McLaren-Mercedes, avec laquelle il est sous contrat pour encore trois saisons.
Le pilote espagnol a été pénalisé dimanche au départ du Grand Prix de Hongrie, finalement remporté par Hamilton, après une décision polémique de la FIA.
Marca rapporte que juste après la course, le père d'Alonso et son manager, Luis Garcia-Abad, se sont entretenus durant une vingtaine de minutes avec Flavio Briatore, le patron italien de l'écurie Renault.
L'écurie française, sous les couleurs de laquelle Alonso a remporté ses deux titres de champion du monde (2005, 2006) aimerait bien récupérer le pilote espagnol qui intéresse également BMW, selon Marca.
Mais le contrat liant Alonso et McLaren est "en béton" et "Alonso est prisonnier d'une cage dorée dont il ne peut s'échapper", sauf "accord mutuel à l'amiable" entre les deux parties, assure le journal.
Alonso aurait demandé à McLaren de choisir pour le futur entre lui et Hamilton, la nouvelle coqueluche des Britanniques.
Rivalité
"Le Championnat est loin d'être facile, mais nous pratiquons un sport où il y a beaucoup de rivalité, de compétitivité", a déclaré dimanche soir Alonso, interrogé par la radio espagnole Cadena Ser.
La FIA avait rétrogradé Fernando Alonso de la pôle à la 6e position sur la grille de départ et décidé de ne pas créditer McLaren-Mercedes des points acquis en course par ses pilotes pour avoir empêché volontairement Hamilton d'effectuer son dernier tour de qualifications en le bloquant dans son stand.
"La décision a été étrange", a réitéré le pilote espagnol sur les ondes de la Cadena Ser.
Le patron de l'écurie Ron Dennis a expliqué que Hamilton était lui-même à l'origine de cet incident, alors que le Britannique a récupéré la pôle et en a profité pour remporter le Grand Prix.
"Ce qui est clair, c'est ce que tout le monde a vu dimanche. Ce que Ron Dennis a dit, c'est que c'est la première fois qu'un pilote désobéit à son équipe, c'est la première fois que je le vois aussi", a déclaré Alonso.
Au classement général, à six courses de la fin du Championnat, Hamilton est en tête, sept points devant Alonso.