Alonso se plaint des pneus Pirelli
Course lundi, 14 mars 2011. 09:44 mercredi, 11 déc. 2024. 06:27
MADRID - Le pilote espagnol de l'écurie Ferrari, Fernando Alonso, s'est plaint des pneus Pirelli équipant à partir de cette saison les écuries de Formule 1, après des critiques émises par le champion du monde Sebastian Vettel, dans une entrevue publiée lundi.
"Avec les Pirelli, nous ne pouvons pas freiner aussi fort (...) et la traction s'est détériorée", a expliqué le coureur à El Pais, soulignant qu'avec les pneus du fabricant italien qui ont remplacé ceux du Japonais Bridgestone, "il faut faire beaucoup plus attention".
"Avant j'arrivais à la fin d'une ligne droite et je freinais de toutes mes forces. Si je fais cela maintenant, ils (les pneus, ndlr) se bloquent, surtout ceux de derrière", explique l'Espagnol.
Alonso, qui a fait des essais avec la nouvelle Ferrari à la fin de la semaine dernière sur le circuit espagnol de Montmelo, près de Barcelone, indique aussi qu'il doit réaccélérer plus progressivement en sortie de courbe pour éviter de perdre l'adhérence.
Le champion du monde en titre, l'Allemand Sebastian Vettel, avait lui aussi critiqué fin février les pneus Pirelli, estimant que ceux-ci "se dégradaient trop vite."
Pirelli a été choisi par la Fédération internationale de l'automobile (Fia) comme fournisseur unique des pneus de la F1 pour 2011, 2012 et 2013, en remplacement de Bridgestone, qui a quitté la compétition en fin de saison.
L'ouverture de la saison 2011 aura lieu le 27 mars lors du Grand Prix de Melbourne (Australie).
Il préfère les ferrari blanches
Dans un autre ordre d'idée, Alonso a assuré qu'il préfère la couleur blanche au rouge traditionnel pour les voitures Ferrari, le constructeur italien pour lequel il court en Formule 1.
Le double champion de F1 (2005 et 2006 avec l'écurie Renault) qui est depuis 2010 pilote de la "scuderia", raconte qu'il a beaucoup surpris les dirigeants de la firme de Maranello, le siège de Ferrari dans le nord de l'Italie, en expliquant qu'il voulait pour lui-même une voiture blanche plutôt que rouge.
"Ils ont eu beaucoup de mal à l'accepter", raconte le pilote. "Avant cela, ils ont voulu me convaincre et m'ont montré tout une gamme de rouges et de jaunes, mais ils n'ont pas réussi".
Le pilote, dont la F1 de course reste rouge comme le veut la tradition Ferrari (avec des ailerons blancs), indique avoir "pas mal" de voitures dans son garage personnel, dont "trois Ferrari : une Enzo, une 458 Italia et une California".
Une fois en dehors des circuits, Alonso, 29 ans, confie qu'il préfère passer "inaperçu" même s'il reste "fier" de porter le rouge Ferrari pour tout évènement officiel de son écurie.
"Avec les Pirelli, nous ne pouvons pas freiner aussi fort (...) et la traction s'est détériorée", a expliqué le coureur à El Pais, soulignant qu'avec les pneus du fabricant italien qui ont remplacé ceux du Japonais Bridgestone, "il faut faire beaucoup plus attention".
"Avant j'arrivais à la fin d'une ligne droite et je freinais de toutes mes forces. Si je fais cela maintenant, ils (les pneus, ndlr) se bloquent, surtout ceux de derrière", explique l'Espagnol.
Alonso, qui a fait des essais avec la nouvelle Ferrari à la fin de la semaine dernière sur le circuit espagnol de Montmelo, près de Barcelone, indique aussi qu'il doit réaccélérer plus progressivement en sortie de courbe pour éviter de perdre l'adhérence.
Le champion du monde en titre, l'Allemand Sebastian Vettel, avait lui aussi critiqué fin février les pneus Pirelli, estimant que ceux-ci "se dégradaient trop vite."
Pirelli a été choisi par la Fédération internationale de l'automobile (Fia) comme fournisseur unique des pneus de la F1 pour 2011, 2012 et 2013, en remplacement de Bridgestone, qui a quitté la compétition en fin de saison.
L'ouverture de la saison 2011 aura lieu le 27 mars lors du Grand Prix de Melbourne (Australie).
Il préfère les ferrari blanches
Dans un autre ordre d'idée, Alonso a assuré qu'il préfère la couleur blanche au rouge traditionnel pour les voitures Ferrari, le constructeur italien pour lequel il court en Formule 1.
Le double champion de F1 (2005 et 2006 avec l'écurie Renault) qui est depuis 2010 pilote de la "scuderia", raconte qu'il a beaucoup surpris les dirigeants de la firme de Maranello, le siège de Ferrari dans le nord de l'Italie, en expliquant qu'il voulait pour lui-même une voiture blanche plutôt que rouge.
"Ils ont eu beaucoup de mal à l'accepter", raconte le pilote. "Avant cela, ils ont voulu me convaincre et m'ont montré tout une gamme de rouges et de jaunes, mais ils n'ont pas réussi".
Le pilote, dont la F1 de course reste rouge comme le veut la tradition Ferrari (avec des ailerons blancs), indique avoir "pas mal" de voitures dans son garage personnel, dont "trois Ferrari : une Enzo, une 458 Italia et une California".
Une fois en dehors des circuits, Alonso, 29 ans, confie qu'il préfère passer "inaperçu" même s'il reste "fier" de porter le rouge Ferrari pour tout évènement officiel de son écurie.