Ferrari a un problème selon Massa
Course dimanche, 5 avr. 2009. 11:09 mercredi, 11 déc. 2024. 06:43
SEPANG - Le pilote Ferrari Felipe Massa a estimé dimanche à Sepang qu'il y avait "un problème" dans son écurie, après un deuxième week-end sans point au Grand Prix de Malaisie.
Après un abandon sur problème mécanique de Massa et une sortie de piste de son coéquipier Kimi Räikkönen le week-end dernier à Melbourne, la Scuderia a fait montre d'un sens de la stratégie défaillant lors du week-end malaisien, où elle a multiplié les mauvais choix.
Ferrari avait déjà pêché par "présomption", selon son patron, Stefano Domenicali, lors des qualifications samedi, annihilant les chances de Felipe Massa, parti 16e.
Dimanche, elle s'est encore trompée en précipitant le passage aux pneus extra-pluie de Kimi Räikkönen, ce qui a causé une dégringolade au classement pour le Finlandais, soudainement très lent et finalement 14e.
"Il y a un problème", a reconnu Massa, qui a terminé la course neuvième, à la porte des points. "Nous devons analyser nos erreurs et comprendre comment elles peuvent être évitées. Mais il ne faut pas faire de révolution, comme le public, toujours émotif, le demande", a-t-il remarqué.
"Nous n'étions pas géniaux la saison dernière. Nous ne sommes pas devenus stupides cette année", a-t-il ajouté.
"Nous sommes déçus de quitter le circuit les mains vides. Nous avons pris de mauvaises décisions. (...) Il est clair que nous devons sortir rapidement de cette situation, sans panique, mais en assumant, chacun d'entre nous, nos responsabilités", a réagi Domenicali.
"La course a été désastreuse. Nous n'avons pas d'excuse. Nous avons voulu parier sur ce qui pouvait se passer et à chaque fois, il s'est passé le contraire de ce que nous avions prévu", a expliqué Luca Baldisserri, directeur technique de la Scuderia.
"Quand j'ai mis les pneus extra-pluie, il est tombé quelques gouttes. Et quand je suis repassé aux intermédiaires-pluie, le déluge nous est tombé dessus", a opiné Massa.
"Sur le sec, notre rythme n'était pas exceptionnel, mais il représentait probablement notre potentiel aujourd'hui", a poursuivi M. Baldisserri, appelant l'équipe à se "retrousser les manches" au plus vite.
Après un abandon sur problème mécanique de Massa et une sortie de piste de son coéquipier Kimi Räikkönen le week-end dernier à Melbourne, la Scuderia a fait montre d'un sens de la stratégie défaillant lors du week-end malaisien, où elle a multiplié les mauvais choix.
Ferrari avait déjà pêché par "présomption", selon son patron, Stefano Domenicali, lors des qualifications samedi, annihilant les chances de Felipe Massa, parti 16e.
Dimanche, elle s'est encore trompée en précipitant le passage aux pneus extra-pluie de Kimi Räikkönen, ce qui a causé une dégringolade au classement pour le Finlandais, soudainement très lent et finalement 14e.
"Il y a un problème", a reconnu Massa, qui a terminé la course neuvième, à la porte des points. "Nous devons analyser nos erreurs et comprendre comment elles peuvent être évitées. Mais il ne faut pas faire de révolution, comme le public, toujours émotif, le demande", a-t-il remarqué.
"Nous n'étions pas géniaux la saison dernière. Nous ne sommes pas devenus stupides cette année", a-t-il ajouté.
"Nous sommes déçus de quitter le circuit les mains vides. Nous avons pris de mauvaises décisions. (...) Il est clair que nous devons sortir rapidement de cette situation, sans panique, mais en assumant, chacun d'entre nous, nos responsabilités", a réagi Domenicali.
"La course a été désastreuse. Nous n'avons pas d'excuse. Nous avons voulu parier sur ce qui pouvait se passer et à chaque fois, il s'est passé le contraire de ce que nous avions prévu", a expliqué Luca Baldisserri, directeur technique de la Scuderia.
"Quand j'ai mis les pneus extra-pluie, il est tombé quelques gouttes. Et quand je suis repassé aux intermédiaires-pluie, le déluge nous est tombé dessus", a opiné Massa.
"Sur le sec, notre rythme n'était pas exceptionnel, mais il représentait probablement notre potentiel aujourd'hui", a poursuivi M. Baldisserri, appelant l'équipe à se "retrousser les manches" au plus vite.