Hamilton revient sur le GP de Malaisie
Course jeudi, 14 avr. 2011. 09:28 jeudi, 12 déc. 2024. 22:42
SHANGHAI - Lewis Hamilton (McLaren) a estimé jeudi à Shanghai, où se courra dimanche le Grand Prix de Chine de Formule 1, qu'il aurait pu se battre pour la victoire en Malaisie s'il n'avait pas été dépassé au départ par Nick Heidfeld (Lotus Renault).
"Oui. J'aurais pu me battre pour la victoire. J'ai été retenu pas mal de tours" par l'Allemand, a observé le Britannique, 8e à Sepang, qui a fortement usé ses pneus en essayant de dépasser le pilote Lotus Renault, ce qui l'a pénalisé dans la suite de la course.
"Ensuite, une fois que je l'ai passé, je faisais plus ou moins le même temps que (Sebastian Vettel, le vainqueur). J'aurais pu m'accrocher. Ou pas? Cela reste très conditionnel. Dans mon deuxième train de pneus, je le rattrapais. Cela aurait été proche", a remarqué Hamilton.
"Mais ensuite, la course a tourné au désastre. Donc ça ne compte pas vraiment", a déclaré le pilote McLaren, piégé par ses gommes puis pénalisé après-course pour avoir zigzagué devant Fernando Alonso (Ferrari) afin d'empêcher l'Espagnol de le dépasser.
"C'était une situation confortable pour moi. Parce que Lewis était un peu plus rapide", a de son côté admis Vettel (Red Bull).
"Mais ensuite, avec mes autres trains de pneus, j'avais Lewis et Jenson (Button - McLaren, 2e) derrière moi et nous avons été capables de réagir", a constaté l'Allemand, pour qui le facteur Heidfeld était "important", même si "trop de 'si'" grèvent l'hypothèse d'une lutte entre Hamilton et lui.
"Oui. J'aurais pu me battre pour la victoire. J'ai été retenu pas mal de tours" par l'Allemand, a observé le Britannique, 8e à Sepang, qui a fortement usé ses pneus en essayant de dépasser le pilote Lotus Renault, ce qui l'a pénalisé dans la suite de la course.
"Ensuite, une fois que je l'ai passé, je faisais plus ou moins le même temps que (Sebastian Vettel, le vainqueur). J'aurais pu m'accrocher. Ou pas? Cela reste très conditionnel. Dans mon deuxième train de pneus, je le rattrapais. Cela aurait été proche", a remarqué Hamilton.
"Mais ensuite, la course a tourné au désastre. Donc ça ne compte pas vraiment", a déclaré le pilote McLaren, piégé par ses gommes puis pénalisé après-course pour avoir zigzagué devant Fernando Alonso (Ferrari) afin d'empêcher l'Espagnol de le dépasser.
"C'était une situation confortable pour moi. Parce que Lewis était un peu plus rapide", a de son côté admis Vettel (Red Bull).
"Mais ensuite, avec mes autres trains de pneus, j'avais Lewis et Jenson (Button - McLaren, 2e) derrière moi et nous avons été capables de réagir", a constaté l'Allemand, pour qui le facteur Heidfeld était "important", même si "trop de 'si'" grèvent l'hypothèse d'une lutte entre Hamilton et lui.