"Le plus difficile pour nous"
Course vendredi, 30 juin 2006. 18:59 vendredi, 13 déc. 2024. 17:45
INDIANAPOLIS (AP) - Le circuit d'Indianapolis donne du fil à retordre au champion du monde Fernando Alonso.
"Indianapolis a certainement été le circuit le plus difficile pour nous", a reconnu le champion du monde espagnol qui ne s'est jamais classé mieux que 15e au Grand Prix des Etats-Unis, dont la prochaine édition sera disputée dimanche.
D'accord il n'était pas compétitif à sa première visite au volant d'une Minardi en 2001, mais il n'a pas connu plus de succès chez Renault en 2003 et 2004.
"La voiture n'a jamais été compétitive ici et je ne sais pas pourquoi, a-t-il indiqué vendredi. Nous avons été très malchanceux. Espérons que cette fois sera la bonne, mais j'ai des doutes, c'est certain."
Malgré tout, Alonso n'a pas jugé bon participer à la première séance d'essais libres vendredi matin et il a attendu que presque la moitié de la session d'après-midi soit passée avant d'aller tester sa Renault en piste.
"Un vendredi normal pour moi", a-t-il dit simplement.
Michael Schumacher a passé plus de temps sur la piste au volant de sa Ferrari.
L'ancien champion allemand n'a été devancé que par le pilote essayeur de Honda Anthony Davidson en matinée mais a dérapé après trois tours. Il est retourné en piste l'après-midi mais n'a été que le sixième plus rapide.
Schumacher a gagné quatre des six Grands Prix des Etats-Unis disputés à Indianapolis et terminé second aux deux autres occasions. Sa dernière victoire l'an dernier a cependant été remportée à l'issue d'une course entre seulement six voitures, toutes celles chaussées de pneus Michelin ayant été retirées pour des raisons de sécurité.
Alonso a répété que l'on voulait donner un bon spectacle cette fois pour se faire pardonner.
Et lui-même n'aimerait rien de mieux que de mettre fin à ses déboires sur ce circuit, comme il l'a fait à Montréal la semaine précédente.
"Indianapolis a certainement été le circuit le plus difficile pour nous", a reconnu le champion du monde espagnol qui ne s'est jamais classé mieux que 15e au Grand Prix des Etats-Unis, dont la prochaine édition sera disputée dimanche.
D'accord il n'était pas compétitif à sa première visite au volant d'une Minardi en 2001, mais il n'a pas connu plus de succès chez Renault en 2003 et 2004.
"La voiture n'a jamais été compétitive ici et je ne sais pas pourquoi, a-t-il indiqué vendredi. Nous avons été très malchanceux. Espérons que cette fois sera la bonne, mais j'ai des doutes, c'est certain."
Malgré tout, Alonso n'a pas jugé bon participer à la première séance d'essais libres vendredi matin et il a attendu que presque la moitié de la session d'après-midi soit passée avant d'aller tester sa Renault en piste.
"Un vendredi normal pour moi", a-t-il dit simplement.
Michael Schumacher a passé plus de temps sur la piste au volant de sa Ferrari.
L'ancien champion allemand n'a été devancé que par le pilote essayeur de Honda Anthony Davidson en matinée mais a dérapé après trois tours. Il est retourné en piste l'après-midi mais n'a été que le sixième plus rapide.
Schumacher a gagné quatre des six Grands Prix des Etats-Unis disputés à Indianapolis et terminé second aux deux autres occasions. Sa dernière victoire l'an dernier a cependant été remportée à l'issue d'une course entre seulement six voitures, toutes celles chaussées de pneus Michelin ayant été retirées pour des raisons de sécurité.
Alonso a répété que l'on voulait donner un bon spectacle cette fois pour se faire pardonner.
Et lui-même n'aimerait rien de mieux que de mettre fin à ses déboires sur ce circuit, comme il l'a fait à Montréal la semaine précédente.