"Nous sommes en progression"
Course lundi, 21 avr. 2008. 11:41 samedi, 14 déc. 2024. 04:41
MADRID - Le pilote espagnol Fernando Alonso a déclaré qu'il souhaitait demeurer la saison prochaine chez Renault avec une voiture "gagnante", dans une entrevue publiée lundi par le quotidien El Pais.
Alonso, déçu par le mauvais départ de Renault cette saison, a récemment menacé de quitter l'écurie française s'il n'obtenait pas une voiture compétitive.
Interrogé à ce sujet par El Pais, il a indiqué que sa "première option est de continuer chez Renault si nous parvenons à obtenir une voiture gagnante (..) une voiture qui peut me donner la victoire".
"La vérité est que nous sommes en train de progresser", a ajouté Alonso, à la suite des essais plutôt positifs réalisés la semaine dernière par Renault sur le circuit de Montmelo, près de Barcelone, où se déroule dimanche le 4e Grand Prix de la saison.
"J'espère que notre travail finira par payer et que notre monoplace nous permettra de remonter dans le peloton", a précisé Alonso lundi à ce sujet dans des déclarations diffusées sur le site web de Renault, tout en demeurant prudent.
"Ce ne sera sans doute pas facile. Les qualifications seront une fois de plus essentielles, il faudra bien se placer et ensuite essayer de tirer le maximum pour marquer des points, aussi gros que possible", a-t-il ajouté.
"Nous sommes raisonnablement confiants : les évolutions que nous avons apportées (lors des essais) devraient produire un avantage clair et défini en termes de performance", a estimé pour sa part le directeur technique de Renault, Bob Bell.
Après les trois premiers Grands Prix de la saison, Alonso, double champion du monde de F1 avec Renault en 2005 et 2006, n'est que 9e au classement des pilotes et l'écurie française 6e au classement des constructeurs, loin derrière BMW, Ferrari et McLaren.
Revenant dans El Pais sur sa saison difficile chez McLaren-Mercedes en 2007, il a précisé qu'il n'avait eu "aucun problème" avec son coéquipier anglais Lewis Hamilton et a attribué ses difficultés aux responsables de l'écurie britannique.
"Il semblait que ça ne les intéressait pas que je continue. La McLaren était une bonne voiture qui me donnait la possibilité de gagner, mais je savais que je ne pourrais jamais le faire dans cette écurie", a-t-il souligné.
Alonso, déçu par le mauvais départ de Renault cette saison, a récemment menacé de quitter l'écurie française s'il n'obtenait pas une voiture compétitive.
Interrogé à ce sujet par El Pais, il a indiqué que sa "première option est de continuer chez Renault si nous parvenons à obtenir une voiture gagnante (..) une voiture qui peut me donner la victoire".
"La vérité est que nous sommes en train de progresser", a ajouté Alonso, à la suite des essais plutôt positifs réalisés la semaine dernière par Renault sur le circuit de Montmelo, près de Barcelone, où se déroule dimanche le 4e Grand Prix de la saison.
"J'espère que notre travail finira par payer et que notre monoplace nous permettra de remonter dans le peloton", a précisé Alonso lundi à ce sujet dans des déclarations diffusées sur le site web de Renault, tout en demeurant prudent.
"Ce ne sera sans doute pas facile. Les qualifications seront une fois de plus essentielles, il faudra bien se placer et ensuite essayer de tirer le maximum pour marquer des points, aussi gros que possible", a-t-il ajouté.
"Nous sommes raisonnablement confiants : les évolutions que nous avons apportées (lors des essais) devraient produire un avantage clair et défini en termes de performance", a estimé pour sa part le directeur technique de Renault, Bob Bell.
Après les trois premiers Grands Prix de la saison, Alonso, double champion du monde de F1 avec Renault en 2005 et 2006, n'est que 9e au classement des pilotes et l'écurie française 6e au classement des constructeurs, loin derrière BMW, Ferrari et McLaren.
Revenant dans El Pais sur sa saison difficile chez McLaren-Mercedes en 2007, il a précisé qu'il n'avait eu "aucun problème" avec son coéquipier anglais Lewis Hamilton et a attribué ses difficultés aux responsables de l'écurie britannique.
"Il semblait que ça ne les intéressait pas que je continue. La McLaren était une bonne voiture qui me donnait la possibilité de gagner, mais je savais que je ne pourrais jamais le faire dans cette écurie", a-t-il souligné.