"On est de retour dans la course"
Course dimanche, 12 juin 2005. 18:16 samedi, 14 déc. 2024. 16:08
(PC) - Un coup de baguette a transformé la malchance du Nurburgring en chance à Montréal.
Kimi Raikkonen, qui avait dû abandonner la victoire à Fernando Alonso au tout dernier tour du Grand Prix d'Europe lorsque sa suspension abîmée par une crevaison n'avait pu tenir le coup, a profité de quelques coups du sort pour s'imposer à Montréal.
"On a repris les 10 points perdus au Nurburgring et on est de retour dans la course au championnat", a constaté le terne Finlandais en étant le premier
à reconnaître sa chance d'avoir vu les deux Renault devant lui devoir abandonner et son propre équipier Juan Pablo Montoya, qui avait roulé devant lui jusque-là, être disqualifié.
Parti de la cinquième position, deux rangs devant Raikkonen, Montoya roulait devant lui depuis le départ.
Raikkonen aurait pu craindre encore d'écoper vers la toute fin de la course.
"Mon équipe m'a signalé que quelque chose clochait et je savais que c'était le volant, qui tirait à gauche. Mais il ne s'est rien passé comme à la dernière course."
Même pressé par la Ferrari de Michael Schumacher.
"Je ne voulais pas pousser trop fort. J'ai même relaxé un peu trop et je suis presque passé tout droit dans la chicane", a expliqué Raikkonen.
"J'étais aussi rapide que lui sinon plus, mais pas assez pour le doubler, a raconté Schumacher. J'espérais une faute de sa part, il m'a bien fait une petite faveur, mais il ne m'en a pas donné assez."
Content de se rapprocher d'Alonso dans la course au championnat, Raikkonen l'était aussi d'avoir l'occasion de se qualifier en tout dernier samedi à Indianapolis pour le Grand Prix des Etats-Unis.
"Ca va aider et de plus cette piste convient mieux à nos voitures. On devrait bien se classer et nous rapprocher encore plus des meneurs."
Kimi Raikkonen, qui avait dû abandonner la victoire à Fernando Alonso au tout dernier tour du Grand Prix d'Europe lorsque sa suspension abîmée par une crevaison n'avait pu tenir le coup, a profité de quelques coups du sort pour s'imposer à Montréal.
"On a repris les 10 points perdus au Nurburgring et on est de retour dans la course au championnat", a constaté le terne Finlandais en étant le premier
à reconnaître sa chance d'avoir vu les deux Renault devant lui devoir abandonner et son propre équipier Juan Pablo Montoya, qui avait roulé devant lui jusque-là, être disqualifié.
Parti de la cinquième position, deux rangs devant Raikkonen, Montoya roulait devant lui depuis le départ.
Raikkonen aurait pu craindre encore d'écoper vers la toute fin de la course.
"Mon équipe m'a signalé que quelque chose clochait et je savais que c'était le volant, qui tirait à gauche. Mais il ne s'est rien passé comme à la dernière course."
Même pressé par la Ferrari de Michael Schumacher.
"Je ne voulais pas pousser trop fort. J'ai même relaxé un peu trop et je suis presque passé tout droit dans la chicane", a expliqué Raikkonen.
"J'étais aussi rapide que lui sinon plus, mais pas assez pour le doubler, a raconté Schumacher. J'espérais une faute de sa part, il m'a bien fait une petite faveur, mais il ne m'en a pas donné assez."
Content de se rapprocher d'Alonso dans la course au championnat, Raikkonen l'était aussi d'avoir l'occasion de se qualifier en tout dernier samedi à Indianapolis pour le Grand Prix des Etats-Unis.
"Ca va aider et de plus cette piste convient mieux à nos voitures. On devrait bien se classer et nous rapprocher encore plus des meneurs."