"On n'est vraiment pas vite"
Course dimanche, 6 mars 2005. 14:50 vendredi, 13 déc. 2024. 12:45
MELBOURNE (PC) - Si la seconde séance qualificative de dimanche matin permettait à Jacques Villeneuve d'assurer sa place sur la deuxième ligne de la grille (4e temps), la course était loin de répondre à ses aspirations puisqu'il devait se contenter de la 13e place finale.
Après un départ moyen qui le voyait rétrograder au neuvième rang au terme du premier tour, il se retrouvait sous la menace de la Renault de Fernando Alonso. Ce n'est qu'au 17e tour que l'Espagnol trouvait l'ouverture et passait la Sauber.
"Je n'avais pas de grip lors du départ et j'ai perdu pas mal de places, soufflait Jacques après l'arrivée. Je me suis retrouvé devant la Renault de Fernando Alonso et j'ai défendu ma position. Durant une vingtaine de tours, je me suis bien amusé mais, sitôt après mon premier arrêt au 22e tour, la voiture a commencé à bouger dans tous les sens. Le phénomène n'a cessé de s'accentuer et la fin de course fut des plus pénibles."
Contraint de composer avec une monoplace lente et sans grip, le Québécois glissait lentement hors du top 10. Son équipier Felipe Massa - sur un seul arrêt alors que Jacques était sur deux - s'en sortait un peu mieux mais, au final, le bilan n'en était pas moins décevant.
"Nous ne sommes pas assez rapide, concluait Villeneuve. On est vraiment pas vite. Nous avons eu de la chance lors des qualifications mais la réalité nous a rattrapé cet après-midi. Ce qui est un peu inquiétant, c'est que nous n'avons pas de séances d'essais prévues avant le retour de Bahreïn. Autant dire que les deux prochains rendez-vous ne vont pas être des plus faciles dans la mesure où nous n'allons pas pouvoir travailler sur la voiture. Il y a pourtant du travail en perspective."
Après un départ moyen qui le voyait rétrograder au neuvième rang au terme du premier tour, il se retrouvait sous la menace de la Renault de Fernando Alonso. Ce n'est qu'au 17e tour que l'Espagnol trouvait l'ouverture et passait la Sauber.
"Je n'avais pas de grip lors du départ et j'ai perdu pas mal de places, soufflait Jacques après l'arrivée. Je me suis retrouvé devant la Renault de Fernando Alonso et j'ai défendu ma position. Durant une vingtaine de tours, je me suis bien amusé mais, sitôt après mon premier arrêt au 22e tour, la voiture a commencé à bouger dans tous les sens. Le phénomène n'a cessé de s'accentuer et la fin de course fut des plus pénibles."
Contraint de composer avec une monoplace lente et sans grip, le Québécois glissait lentement hors du top 10. Son équipier Felipe Massa - sur un seul arrêt alors que Jacques était sur deux - s'en sortait un peu mieux mais, au final, le bilan n'en était pas moins décevant.
"Nous ne sommes pas assez rapide, concluait Villeneuve. On est vraiment pas vite. Nous avons eu de la chance lors des qualifications mais la réalité nous a rattrapé cet après-midi. Ce qui est un peu inquiétant, c'est que nous n'avons pas de séances d'essais prévues avant le retour de Bahreïn. Autant dire que les deux prochains rendez-vous ne vont pas être des plus faciles dans la mesure où nous n'allons pas pouvoir travailler sur la voiture. Il y a pourtant du travail en perspective."